In Your Arms (a Kiribaku story)

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Kirishima Eijiro:.

- Eijiro ! S'exclama Katsuki.

Il s'accrocha à moi et ancra ses doigts dans la chair de mon dos. Je continuais d'aller et venir en lui et le regardais attentivement. Son corps tremble et se resserre autour de moi. Je le vois haleter, son visage avait une jolie teinte rose. Il est tellement mignon.

Je posais alors mes lèvres sur sa nuque et y laissais quelques suçons pour le marquer. Il remonta ses mains et les glissa dans mes cheveux.

- Je t'aime. Lui dis je.

- Hmm ~ !! Je t'aime aussi ! S'est-il exclamé.

- On va vraiment finir par se faire griller si tu continues à faire autant de bruits. Lui ai je chuchoté à l'oreille.

Il posa alors son bras sur sa bouche et se mit à le mordre. Je l'ai arrêté tout de suite et fit passer son bras autour de mon cou.

- Si tu veux mordre quelque chose alors mord mon épaule. Je ne veux pas que tu te blesses. Lui dis je.

- Mais tu es blessé...

- Ce n'est pas une petite morsure qui va m'achever Katsuki...

Il hésita un moment puis vint embrasser mon épaule avant de me mordre. Un frisson parcouru mon corps au même moment. Je le prends dans mes bras, le serre contre moi. Je sais qu'il aime être contre moi, nos corps l'un contre l'autre. Je continuais alors mes va-et-viens quand une soudaine douleur à l'abdomen me pris de court et je me suis arrêté en gémissant de douleur.

- On s'arrête. Déclara Katsuki en me repoussant gentiment.

- Quoi? Non, je peux continuer t'inquiète pas. Lui ai je répondu.

- Non. Lève toi. Répondit-il d'un ton ferme.

Je me suis retiré et je suis sorti du lit. Il se redressa et sortit du lit également.

- Allonge toi maintenant.

Je me suis allongé et très vite il vient se mettre par dessus moi, ses jambes au niveau de mes hanches, et d'un habile mouvement de bassin, il souleva ma queue qui se retrouva maintenant entre ses fesses. Je le laisse donc faire, et profite de ses caresses, de ses bisous, de tous les plaisirs qu'il me procure. Son petit cul qui se trémousse afin de branler ma bite entre ses fesses, ses bisous dans mon cou, ses caresses sur mon torse .... tout cela m'excite, me comble et me rend dingue.

Après ce petit moment plus qu'intime, il souleva un peu plus mon membre et vint s'empaler dessus sans grande difficulté. Je suis aux anges, je lui souris en fermant les yeux pour ressentir encore plus la sensation de son fourreau qui glisse le long de ma queue. Il se pencha en avant et vint m'embrasser très sensuellement, jouant avec sa langue dans ma bouche. Tout en continuant de m'embrasser, il se met à onduler légèrement ses fesses sur ma queue.

J'ouvris alors les yeux et le regardai, il était dressé au dessus de ma queue, les yeux fermés et le visage rayonnant du plaisir qu'il se donne. Le voir prendre un maximum de plaisir ne fait qu'augmenter le mien. Il continuait d'onduler ses hanches et commençait à gémir de plus en plus, sa respiration s'accélérant.

J'ai posé mes mains sur ses hanches et continuais de le regarder. Il ouvrit les yeux et les ancra dans les miens. Il se pencha alors en avant en faisant attention à ne pas s'appuyer sur mon torse et pressa ses lèvres sur les miennes. Je laissais alors mes mains glisser jusqu'à ses fesses et l'aidais à bouger ses hanches plus rapidement. Je l'entendais gémir contre mes lèvres. Il s'arrêta de m'embrasser et appuya sa tête contre mon épaule.

- Eiji, c'est tellement bon ! Ta queue me rends dingue !! S'est il exclamé.

Ses bras qui soutenaient le haut de son corps tremblaient. Je levais alors le haut de mon corps et me collais contre lui. Il releva la tête et me regarda. Il commença à protester mais je le fis rapidement taire en l'embrassant. Il passa alors ses mains autour de mon cou et repris ses va-et-viens.

Nos corps collés l'un à l'autre et nos lèvres liées, partageant un langoureux baiser. Nous ne formons qu'un et nous nous laissons tous les deux allez en gémissant le nom de l'autre. Ce fut délicieux, intense et nous avions l'impression d'être les seuls sur cette Terre.

Après un petit moment passé l'un contre l'autre pour reprendre nos esprits, nous entendis quelqu'un frapper à la porte. Katsuki sursauta et sortit du lit à toute vitesse. Il enfila rapidement ses vêtements et me lança les miens pour que je m'habille également. Je n'ai pas pu m'empêcher de rire face à cette situation ce qui agaça fortement Katsuki qui me lança une boîte de mouchoirs sur la tête.

- Hé !

- Ça t'apprendra à ne pas te moquer de moi ! S'est-il exclamé.

Quelqu'un frappa une nouvelle fois à la porte et Katsuki vint lui ouvrir. Il s'agissait du docteur, Il entra et avança dans la pièce. Je me suis assis sur le lit et le regardais.

- Est ce qu'il y a un problème docteur? Lui ai je innocemment demandé.

- Il n'y a aucun problème, je venais juste pour faire un dernier check-up avant que vous ne partiez demain. Me dit il tout en plaçant son stéthoscope.

Je le laissais alors m'ausculter et prendre mon pouls puis il se dirigea vers la sortie mais avant d'ouvrir la porte il s'arrêta et se tourna vers nous.

- Ce n'est pas la première fois que ce genre de choses se produit... c'est pour cette raison que nous avons fait insonorisé la plupart des chambres de ce bâtiment. Nous dit-il alors.

- ... De quoi est ce que vous parlez ? Lui demanda Katsuki.

Le docteur le regarda alors.

- Votre t-shirt est à l'envers jeune homme... Je vous souhaite un bon rétablissement, Monsieur Kirishima. A-t-il déclaré avant de partir.

Je regardais alors le visage de Katsuki passer du beige au rouge en un quart de secondes. Je me mis à rire et me suis avancé vers lui pour le prendre dans mes bras.

- J'ai honte, oh mon Dieu...

- Je t'avais bien dit qu'il fallait être discret. Lui ai je dit avant d'embrasser le haut de son crâne.

- C'est facile à dire ! C'est pas toi qui te fait prendre ! S'est-il exclamé en me regardant d'un air furieux.

Je me remis à rire de plus belle à en avoir les larmes aux yeux ce qui l'énerva encore plus. Il s'éloigna de moi et alla bouder dans un coin de la chambre en me tournant le dos. Je me suis de nouveau dirigé vers lui et passais mes bras autour de ses hanches avant de venir l'embrasser dans le cou.

- Je t'aime mon amour. Lui ai je chuchoté à l'oreille.

- hmm...

- Tu ne m'aimes plus ?

- ... Si.

- Hmm?

Je le fis se retourner et le regardais en souriant. Il appuya son front contre mon torse et je le pris à nouveau dans mes bras.

- Je t'aime aussi.

- Alors et ces vacances dans le Sud? Quand est-ce qu'on part?

- C'était sensé être la semaine prochaine mais... tu ne seras pas encore guéris. Me dit il.

J'attrapais alors délicatement son menton et le fit lever la tête pour me regarder dans les yeux.

- Qu'est ce que tu racontes. D'ici la semaine prochaine je serais frais comme un gardon. Tu n'as pas à t'en faire d'accord? Je suis très résistant.

Il acquiesça. Je me suis alors penché en avant pour l'embrasser.

....