Carlando-Ça a toujours été lui

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J'en avais marre, marre de me faire critiquer, marre de ne pas réussir mes départs, et marre d'accorder autant d'importance à ce qu'on dit sur moi. J'avais vraiment besoin que quelqu'un soit là avec moi mais j'étais énerve contre oscar, et de toute façon ce n'était pas lui que je voulais. C'était Carlos, ça a toujours était Carlos mais je m'en suis rendu compte quand il a quitté McLaren et c'était déjà trop tard. Lui n'avais pas besoin de moi, il avait Charles. J'avais essayé de m'entendre aussi bien avec Daniel qu'avec Carlos mais ce n'était pas pareil. Daniel n'avait pas l'accent espagnol de Carlos, Daniel n'avait pas le rire de Carlos, Daniel n'avait les beau yeux brun de Carlos, Daniel n'arrivait pas a calmer mes crises d'angoisse comme Carlos. Bref Daniel n'était pas Carlos. Et quand Daniel à quitter McLaren et qu'Oscar est arrivé je savais que ça ne servait à rien d'essayer. Personne ne remplacerait jamais Carlos. Parce que je n'aimais pas Carlos simplement comme un meilleur ami ou un coéquipier mais je l'aimais tout court. Je l'avais découvert quand Carlos avait quitté McLaren et que ça m'avait tellement fait mal que je n'avais pas pu le regarder durant son discoure d'au revoir et que j'avais pleuré pendant des semaines après son départ. J'avais développé des insomnies que j'avais déjà mais d'habitude Carlos m'aidé à m'endormir quand je l'appelais. Mais maintenant je ne l'appelais plus, je lui parlais tout juste, je m'étais dit qu'en m'éloignant j'aurais moins mal mais c'est tout le contraire, il me manque.

J'étais toujours entrain de pleurer dans ma driver's room quand on toqua. Je ne répondis pas, espèrent que la personne s'en irait.

Oscar : Lando je sais que tu es là, écoute j'aimerais bien qu'on parle, je m'inquiète pour toi.

Lando : va t'en Oscar, laisse moi.

Oscar : Bon de toute façon je savais que tu ne voudrais pas me parler. Je vais chercher Carlos, j'aurais dût le faire depuis le début.

Mon cœur se mit à battre plus vite, comment ça il allait chercher Carlos. Oh et puis de toute façon j'étais tellement mal que je ne voulais pas bouger.

Quelques minutes plus tard j'entendis quelqu'un courir jusqu'à ma porte. Je savais que c'était Carlos alors j'alla l'ouvrir et me remis en boule dans le canapé de ma room 

Carlos : Oh Carino...

Il se dirigea vers moi et je me jeta dans ses bras pour pleurer toutes les larmes de mon corps. C'est exactement ce dont j'avais besoin, sentir Carlos pour me persuader qu'il n'était pas parti.

Carlos : qu'est-ce qui se passe

Dit-il dans un murmure comme si il avait peur de briser ce moment

Lando : Je n'y arrive plus carlos , j'ai trop de pression sur les épaule, les gens attendent trop de choses de moi, je ne peut pas faire un truc sans que ça n'aille pas

Carlos : Lando, tu ne fait pas ce sport pour plaire au gens, tu fais ce sport pour toi. Tu es deuxième au championnat, tu n'a pas besoins qu'on te dise quoi faire

Ces mots pourtant simples m'avais calmés et Carlos passait tendrement ses mains dans mes cheveux

Lando : Pourquoi tu es là ?

Carlos : comment ça ?

Lando : Pourquoi tu es venu ? Je me suis éloigné de toi et tu n'étais pas obliger de venir alors pourquoi

Carlos : Parce que contrairement à ce que tu a l'aire de penser, je tiens à toi. Lando j'ai remarqué tes cernes et le fait que même en gagnant des gp tu ne souris plus. Je remarque toutes ces choses quand elles te concernent. Mais tu ne voulais plus me parler alors je ne pouvais pas t'obliger, même si je te surveille grâce à Oscar

OS F1 Driverx DriverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant