Imagines films/séries [Tome 1]

Imagine 20: Charles Leclerc

Charles adore son travail. Il aime le bruit du moteur, monter sur le podium, voir toute l'excitation que les fans ont à lui donner et il adore voyager à travers le monde. Il ne se plaindrait jamais des choses incroyables qu'il fait, mais s'il y a une chose qu'il a appris à chérir encore plus que tout cela, c'est toi.

Vous faites désormais partie intégrante de ses journées. Que ce soit en vous réveillant à vos côtés ou en vous appelant pour prendre de vos nouvelles, il sait que vous êtes devenue sa maison. Quand les gens lui demandent comment va sa famille, il ne manque jamais de mentionner comment vous allez.

Il ne peut s'empêcher de t'admirer à chaque instant.
Chaque fois que tu passes à côté de lui, tu es un rayon de soleil dans sa vie; du moins c'est ce que tout le monde lui dit. Depuis qu'il a révélé que tu étais sa petite amie, de son coéquipier et des fans, ils peuvent tous voir à quel point vous avez illuminé son âme.

« Charles ? » dis-tu doucement, le sortant de la rêverie dans laquelle il était.

Il lève les yeux vers toi et t'observe te déplacer dans la pièce. Tu prépares ta valise, tes vêtements sont éparpillés dans la pièce, tu as certainement trop emporté de choses pour le week-end de course. Mais Charles ne te le dira pas. Il a déjà essayé et c'est peine perdue.

"Hum ?"

« Tu penses que je devrais prendre le marron ou le vermillon ? » Vous vous demandez en prenant deux types de robes différentes et en les plaçant l'une contre l'autre.

Charles fronce les sourcils, il jette un coup d'œil entre les robes et essaie de prendre une décision. Mais s'il est honnête, il ne sait pas vraiment quelle est la différence. Les coupes des robes sont pratiquement identiques et la longueur est la même à ses yeux.

« Le marron ? » dit-il d'un air dubitatif. Vous faites la moue devant sa décision, qui n'est apparemment pas celle que vous vouliez entendre.

Vous regardez une fois de plus la robe que Charles a choisie et, avec un haussement d'épaules, vous la jetez sur la pile de vêtements qui ne cesse de s'agrandir dans votre valise.

« Je pensais que pour ton dîner de famille, on devrait apporter quelque chose, non ? » lui demandes-tu, en rangeant une partie du désordre que tu as fait.

« Notre dîner de famille », vous raconte-t-il, un doux sourire aux lèvres.

« Hein ? » parvenez-vous à dire, en laissant tomber les vêtements que vous étiez en train de plier sur le lit sur lequel il se repose.

« Tu as dit que c'était mon dîner de famille, mais c'est le nôtre. »

« Oh », expirez-vous, prenant conscience du sentiment profond derrière ses mots.

Cela vous prend un peu par surprise, ce n'est pas différent de Charles d'être gentil, de vous rassurer avec des mots quand les choses deviennent difficiles. Mais cette fois, c'est presque sorti de nulle part. Vous ne vouliez pas vraiment dire quelque chose par vos mots, mais il semble qu'ils l'aient touché d'une manière que vous ne savez même pas comment décrire. La seule chose que vous savez, c'est qu'à la fin de la journée, il rentre à la maison pour vous. Parce que la maison est là où vous êtes, et c'est plus important que tout le reste.

« Tu fais partie de ma famille, chérie », dit-il après un bref instant de silence.

« Tu es aussi ma famille. » Il ne perd pas une seconde pour se lever du lit et t'embrasse en attrapant ta nuque et en t'entraînant dans le baiser comme s'il ne pourrait plus jamais le faire.

Il y a une pause dans le temps. Tandis que ses lèvres sont sur le tien, il semble que tout s'arrête. Te laissant respirer l'instant, chérir le sentiment.

Lorsque vous vous éloignez du baiser, les rides dans les yeux de Charles provoquées par le doux sourire qu'il vous adresse font fondre tous vos entrailles. Vous seriez stupide de ne pas lui rendre le même sentiment, et c'est ce que vous faites.

« Tu as le plus beau sourire que j'ai jamais vu », murmure-t-il, sa main caressant le côté de ton visage.

« Et tu as les plus beaux yeux que j'aie jamais vus », réponds-tu en admirant la profondeur du vert qu'ils contiennent.

Même si aucun de vous ne le dit, trop perdus dans l'instant, il est évident que l'amour entre vous est étincelant. Et tu sais, tu sais juste que Charles est celui qu'il te faut ; tout comme il sait que tu es faite pour lui.

S'il y a une chose que tu sais, c'est qu'il fait partie de ta famille. Qu'il est celui que tu aimes. Celui vers qui tu rentres tous les jours sans jamais t'en lasser. Parce que la monotonie avec Charles est impossible, et si jamais il y en avait une, tu la voudrais quand même.

826 mots.