Rencontre avec le vivant...

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Jefferson se rendit à la cuisine et se mit à faire quelques mets, ses spécialités.

Alors qu'il était encore en train, Catarina s'était réveillée et, attirée par les multiples odeurs de ces mets copieux, décida de rejoindre le monde des vivants.

Lorsqu'elle se leva et quitta le lit, elle se rendit dans la cuisine pour constater un Jefferson au top de sa forme.

Elle : Tu te prends pour Soma ou quoi ?! (Dit-elle en rigolant).

Lui : Pour un quoi ?? (N'ayant pas compris).

Elle, surprise : Tu ne connais pas Soma ?! Que Food Wars !?

Il la regardait ébahi tellement les termes utilisés lui étaient étrangers.

Elle reprit la parole après quelques minutes : Tu ne sais de quoi il s'agit ?? (La réponse fut négative). Il s'agit d'un manga qui traite de la cuisine en général. Et le personnage principal porte le nom "Soma".

Jefferson : Ah bon...je vois... et je comprend. Pouvons-nous passer à table ?

Il venait de zapper le sujet. Mais Catarina, malgré qu'elle avait compris ce changement brusque de sujet, lui répondit sans faute : Avec plaisir !

Ils passèrent à table.

Et lorsqu'ils finirent...une autre discussion.

Catarina : Tu sembles différent de tous... Et c'est ta norme à toi. C'est ton naturel.

Jefferson : De quoi parles-tu ? Je ne comprends pas...

Catarina : Es-tu sûr que tu ne comprends pas ou tu ne veux pas comprendre ?

Jefferson ne dit rien. Mais alors Catarina dû parler ouvertement : Tu n'es pas un humain comme les autres. Tu es une entité qui vit sous la forme humaine.

Le vent passa et Jefferson voulut se lever et s'en aller lorsqu'elle, d'un geste technique très vif et rapide, s'approcha de lui et voulut l'immobiliser avec les pieds après lui avoir perdu du temps en lui envoyant un coup de pied qu'il dû bloquer.

Il reçu plusieurs coups de pieds de part et d'autre mais resta impassible puisqu'il s'empêcha d'en recevoir plus en réagissant à un moment donné.

Il bloqua le premier coup de pied droit, le second de gauche, le troisième de gauche encore et il vit venir l'intention d'envoyer le pied droit après et resta sur ses gardes lorsque ce pied là se leva mais il tacla directement le pied gauche car l'idée était de le tromper dans son élan mais il vit tout.

Les gestes et échanges de coups ne durèrent en somme que dix minutes. Ils avaient déjà surpassés toute vitesse et Catarina arrêta, posant la question à Jefferson ; Comprends-tu maintenant ? (Jefferson se regardait étonné). Tu n'es pas comme les autres êtres humains. Tu es différent. Tu le sais maintenant.

Nous voici à l'après-midi...

Catarina passait dans une ruelle avec Jefferson en sa compagnie. Ils avaient décidés de faire un cent pas et certaines personnes les avaient remarqué et voulurent leur faire du mal. Donc elles les suivirent.

Catarina et Jefferson avaient bien remarqués qu'ils étaient suivis et Catarina avait dit à son compagnon de la suivre sans donner l'impression de les avoir découvert. C'est alors qu'ils conduirent ces individus dans un espace dégagé où des chariots étaient posés sur les côtés de la route, donnant une bien singulière impression.

Les poursuivants finirent par se montrer car cette ruelle là semblait vide et déserte.

Ils riaient :
_ Et nous voilà dans un cul de sac ! C'est qu'ils ne sont pas vraiment très futés les amoureux !

_ Ils voulaient rester seuls à seuls afin de faire des cochonneries ensemble, à deux. Voulez-vous bien nous permettre de nous joindre à vous dans vos ébats sexuels ? Nous pourrions faire de nouvelles découvertes très intéressantes...

Il le disait en passant la langue sur ses lèvres et leurs intentions n'étaient du tout cachées ou réservées. Ils l'exhibaient clairement.

Au moment même où il sortit sa langue pour esquisser un sourire narcissique, un fil qu'il ne vit pas, s'accrocha à elle et une force tira dessus. Le résultat fut une giclée de sang chaud et bien rouge...

Il se mit à hurler tellement la douleur était grande. Alors qu'il criait et hurlait de douleur ses collègues et amis étaient en panique et virent sur le visage de Jefferson qu'il était tout aussi ébahi qu'eux. Mais lorsqu'ils virent le visage narquois de la jeune femme se moquant pratiquement d'eux, ils comprirent mais crurent que cela venait d'elle : Alors ils la chargèrent.

Mauvaise idée.

Des fils fins arrivèrent aux devant d'eux et ceux-ci étaient invisibles à l'œil nu. Et pourtant, Jefferson les voyait, et très nettement.

D'où venait le fil, c'était là sa seule question. Et surtout, s'il s'agissait d'un manipulateur de fils, de qui cela venait !? Surtout celà.

Il regarda donc ces hommes tomber tous au sol puisqu'ils perdirent leurs jambes dans la course. Les cris qu'ils poussèrent furent des cris qui résonnèrent jusqu'au tréfonds des abysses tellement la douleur restait insupportable. Même pour leur âge. Ils ne la soutenait pas.

C'est alors que des personnes sortirent de l'ombre en se montrant aux autres...
L'un d'eux dit...: D'où viens ces chiens pour venir gémir sur notre territoire ? Qui les y a emmené ??

Un autre lui répondit : Il faudrait qu'ils la ferment parce que là ça commence par bien faire.

Et un autre dit : Laissez-les crier un peu. Cela siffle à mes oreilles comme de belles mélodies. Leur cri d'agonie ma joie. Leur douleur mon excitation...

Un autre : C'est que j'ai toujours su que tu étais dérangée toi. Je t'assure.

C'est alors qu'ils virent Catarina et Jefferson de dos.

_ Hey ! Qui va là !?

Catarina se retourne et la suite choqua Jefferson.

_ Ô ! Boss !

Le docteur Jefferson.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant