_ Mais c'est le Boss !
Jefferson : Le... Boss ?
L'individu s'approcha très rapidement de Catarina et la salua en tirant révérence. Ensuite il regarda Jefferson et le toisa de manière à faire sursauter le pauvre monsieur.
Catarina : Il est avec moi et je voudrais qu'il fasse la rencontre de la bande. Où se trouve Adruis ?
_ Il doit être en train de rechercher une autre boîte à essence. Je crois que vous lui aviez confié cette tâche la dernière fois.
Catarina : Ah c'est vrai. Et Avev ?
_ Lui...(Dit-il en ayant la chair de poule), je ne le sais Boss.
Elle : Es-tu sûr de ce que tu avances ?
Lui, ne voulant pas se faire gronder par sa patronne : Boss...il est sorti sans dire où il allait aujourd'hui...
Elle : Et pourtant tu l'as suivi n'est-ce pas ?
Lui : Oui. Tout à fait.
Elle : Et alors ?
Lui : Il s'est d'abord rendu à un motel. Il y a passé une partie de la nuit. Mais la seconde partie, il s'en alla profiter de l'air et des environs. C'est là que je l'ai perdu puisque je devais rentrer surveiller les alentours pour le levé du soleil.
Elle sembla réfléchir lorsqu'elle fini par revenir et dire à sa bande : Allons à l'intérieur et butez moi le sniper qui se trouve dans le bâtiment à côté.
Jefferson fut surpris.
Il regarda aux alentours quand Catarina le lui interdit. Il s'arrêta puis la suivit.
Il pensait, mais pour les premiers instants, il fallait plutôt agir. Lorsqu'il quitta le viseur du tireur alors, Catarina décida de tout expliquer en commençant par la fin.
_ Nous avons créé ce groupe car je n'aimais pas rester seule alors que d'autres enfants avaient besoin d'aide. Alors un jour je suis sortie de chez moi et de tout ce que mes parents avaient amassés, étant dit m'appartenir puis...je suis allée les retrouver. Ensuite je suis rentrée chez moi après avoir créé la bande mais mes parents n'étaient plus de ce monde même s'ils savaient où j'étais et ce que j'y faisais. J'avais compris que j'étais la responsable de leur mort. Ensuite j'ai pris la tête du patrimoine familial et bien-sûr, en compagnie de ma bande à qui j'ai confié la protection, gestion et surveillance de cet endroit ci qui représente notre quartier général. L'appartement où je t'ai reçu tout à l'heure est la chambre d'une amie à moi. Et moi...voici ma maison...
Elle disait toutes ces choses alors qu'ils marchaient, traversant un long couloir noir et arrivant finalement sur un lieu éclairé, aéré et purifié de toute part.
Tout y brillait et l'eau était habitée tellement pure était elle, par de beaux poissons empereurs.
Catarina mena Jefferson sur une terrasse dont les murs sont faits en bambous et bois d'ébène à certains endroits, témoignant de la richesse du propriétaire.
Jefferson était complètement à l'ouest face à tant de gloire et sa première fois de faire face à un tel paysage. Et après l'avoir laissé contempler tant de merveille, Catarina dit à Jefferson : Accepterais tu de vivre ici avec moi pour le restant de ta vie ?
Jefferson était subjugué. Quelqu'un venait de lui demander sa main, le demander en mariage. Et il s'agissait d'une femme. Il ne sut quoi dire, quoi répondre, quoi penser, quoi imaginer, il était juste...coincé.
Jefferson déglutit puis se mit à respirer de manière peu viable, presque comme s'il allait faire une crise mais en réalité, il s'agissait juste de ses émotions qu'il essayait de gérer.
Catarina comprit la situation et quitta sa chaise en bambou et vint le prendre par la taille qu'elle l'embrasse.
C'était peut-être inattendu, mais voici Jefferson dans un cercle bien défini...
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Le docteur Jefferson.
SpiritüelJe salue tous les génies qui ont décidé de faire de leur vie une consacrée qu'au soin des autres au travers de la médecine. Cette pensée selon laquelle elle, la médecine, est un lieu prestigieux, ne garderait pas son importance s'il n'y avait que d...