Always

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Un journal était broyé dans une main.
Une silhouette se trouvait assise sur un trône et tenait dans son poing serré une coupure de journal.

Guérison miraculeuse hein ...
Murmura la silhouette...

— Votre majesté c'est la potion de jouvence n'est-ce pas ?

—  C'est l'œuvre d'un génie c'est incontestable. Il doit avoir du sang Prince dans les veines.   Réunissez les généraux et amiraux. Faites leurs savoirs que la famille Prince est ennemie à la paix mondiale. 

— Et le gamin ? Si les rumeurs sont vraies il peut remarcher et il s'est réveillé de son coma.

La silhouette grimaça de dépit.

— Prévenez les personnes adéquates mais laissons le vivre pour le moment. Augmentez sa surveillance.

— Bien votre majesté.

  On était le huit octobre mille neuf cent soixante-douze, Dorothea, se trouvait de nouveau à ce barre décidément... Elle aimait bien cet endroit, loin de tout les précepteurs que lui avait alloué Lady Douglas.

Elle pouvait être elle-même et pas être sollicitée par un tel pour apprendre à être une bonne sorcière en société. Elle,  se qu'elle voulait par-dessus tout s'était de mettre un terme au règne des Hommes. Voilà trop longtemps qu'ils pullulaient sur cette planète et regardez le résultat....

Une planète saturée, des animaux non magiques disparaissant par dizaines, même les animaux étaient touchés ce qui en disait long de la gravité de la situation.  Et puis il y avait ce maudit code qui obligeait le véritable monde à se terrer comme des criminel à raser les murs, comme des bêtes sauvages.

Dans l'Égypte ancienne les gens bénis par la magie étaient appelés grands anciens et étaient vénérés comme des dieux. Chez les grecs et les romains ce fut carrément un panthéon qu'on leur dédia.

Les celtes les appelaient druides ou esprit de la forêt et les hommes du Nord les avaient intégrés à leur folklore. Nain, Elf ... Tout cela arrangeait bien
les races magiques.

Mais aujourd'hui... Si elle faisait de la magie dans le monde des Hommes, elle risquait des poursuites nationales voir international . Il était de nature publique que le gouvernement britannique était des plus impitoyables en se qui concernait la répréhension, juste derrière et le gouvernement des États-Unis d'Amérique, mais la C.I.S n'avait de pitié pour rien ni personne. Lorsque le gouvernement mondial vous tombait dessus pour usage abusif de la magie où autre crime s'était une exécution publique sur Emrys Islande. Et quelque soit la race, personne n'avait jamais osé s'interposer.  Si bien qu'au fil des siècles Emrys Islande avait été surnommé l'ile de non retour pour tout civile non invité.

En général les pays préfèreraient gérer cas par cas leurs propres ressortissants hors-la-loi.  l'Angleterre elle avait et  depuis toujours, ordonné à ses aurores de tirer a vu.

C'était l'une des raisons pour laquelle en enfant très lucide et précos, Dorothéa s'était vite méfie du gouvernement et à plus forte raison du gouvernement mondial.

La C.I.S prêchait la bonne parole depuis plus de trois cents ans, mais êtes-ce bien la bonne parole...

Cela , plus Dorothéa grandissait plus elle s'interogeait et plus cela énervait sa tutrice. Un jour alors qu'elle avait sorti un vieux livre poussiéreux de la bibliothèque de son grand-oncle, elle était tombée sur un mot qu'elle n'avait pas compris.

Elle s'en était référé à sa mère qui exceptionnellement été resté chez son bel oncle quelques jours. Sa mère avait pâli et lui avait demandé où est-ce qu'elle avait put bien mettre la main sur un ouvrage pareil. S'en était suivit une longue dispute avec Fleamont. Sa mère lui avait alors présenté sa future tutrice qui lui avait fait un long très long sermon sur les livres dangereux. Un mois plus tard son grand-père décida d'envoyer des mangemorts pour intimider Lord Fleamont Potter, ce fut là dernière fois que l'on entendit parler de lui.

L'affaire Potter Où les histoires vivent. Découvrez maintenant