La fille de la liberté : Maudit corbeaux [ 1 ]

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Elle avait été traité comme un parasite  durant un mois entier.
Le général Scamender avait ramené la fillette dans la demeure familiale malgré ses protestation et s'était excusé en expliquant que la jeune fille avait fait de la magie accidentel et avait transplané à un endroit inconnu.

Señor Hernandez s'était plein que s'était un scandale et avait sous-entendu que c'était une ingérence de la part de l'Angleterre. Que de tel agissements pouvait amener à des conséquences graves.

—  Pour la énième fois cette enfant a fait une magie accidentel. Si elle avait été mieux préparé, cela ne serait jamais arrivé et je vous l'ai ramené si cela avait échappé à sa seigneurie.

— Vous êtes à la solde du gouvernement britannique, général Scamender. Je n'ai aucune confiance en vous.

— Pourquoi parce que vous avez peur que l'on découvre vos passes temps ?

Hernandez plissa ses yeux mais ne répondit rien. Que pouvait-il répondre de toute façon, bien qu'il soit argentin et Señor Salazar Suenonegro espagnol, il était quand même face à un Aurore. Le représentant de l'autorité même. Et si l'Angleterre n'avait aucun pouvoir sur lui, le Conseil Internationale des Sorciers,  si.

— Nous vous remercions pour votre service, général Scamender. Bien et si vous retourniez à vos occupations ? Comme attraper un quelconques animal échapper d'une valise par exemple.  Après tout c'est grâce à ça que vôtre famille est entré dans la postérité.  Sans cela vous ne seriez resté que de simples figurant en bas de page sur le livre de quelqu'un d'autre.

Les yeux de Théséus se plissèrent et ses pupilles rétrécirent légèrement.
Alors qu'il allait répondre il se tourna baissa les yeux et demanda.

— Où.... Où est-elle ?

Une fois qu'ils étaient réapparus dans le salon, la fillette de dix ans avait profité de la dispute pour rentrer dans sa chambre. Tous se qu'elle voulait s'était pleurer, se vider de toute les larmes de son corps.

Alors qu'elle allait monter les escaliers une main se posa sur son épaule, mu par deux ans d'entraînement elle se retourna et balança son poing dans le ventre de celui qui avait osé le toucher.

Du moins tanta car une main attrapa son poing.

— Qu'elle fougue.
Fit l'adolescent un sourire au lèvres.
Lucretia hoqueta de surprise et voulue se dégager.

Laissez moi.

— Oh vous pouvez m'appeler par mon prénom, car bientôt nous nous appartiendront.
Lucretia se figea comme tétanisé, elle voulait bouger, elle voulait crier, le griffer lui faire mal, mais son maudit corps refusa de bouger.

Antonio approcha sa main de la fillette et sécha les larmes qui dégoulinait.

Allons, allons , je vais te montrer un truc que j'ai essayé sur des humaines sans importance, regarde sa va te changer les idées.

Puis lentement le garçon ,se pencha sur son visage.
Lucretia pouvait voir chaque détail de son visage, sentir son souffle et ses lèvres si proche des siennes. Soudain ses pupilles rétrécirent et alors que des arcs électriques minuscules sortaient de son corps, l'adolescent inconscient du danger était sur le point de poser ses lèvres sur les siennes quand des pas les interrompirent.

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