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22 Août 1945
Plein coeur de l'Allemagne.

Dans une maison en ruine dans les sous-sols se trouvaient des centaines de prisonniers solidements enchaîné par des chaînes en orichalques parmi tous ses prisonniers une fillette de onze ans.

Ses grands yeux noisettes étaient agrandi par la peur et ses jours crasses étaient baigné de larme, comme tout les autres détenu son torse avait été dénué pour montrer la marque de le honte, la marque de la destiné, tatoué sur son torse du côté droit.

L'enfant était perdu surtout que les gardiens hurlaient en Allemand et c'était non seulement impressionnant mais terrifiant.  Tous se qu'elle savait s'était qu'elle serait exécuté pour haute trahison.

Le corps entouré de chaînes elle ramèna ses genoux contre son torse puis allait pleurer quand la porte s'ouvrit sur deux silhouette, un sorcier plutôt âgé qui hurlait en Allemand puis une jeûne sorcière. Elle était belle comme le jour, une peau doré, des yeux noisettes, des cheveux bruns presque noires et de jolies tâches de son sur tout le visage.

Son regard balaya la pièce puis ses yeux tombèrent sur l'enfant. Ses pupilles rétrécirent elle se tourna vers le gardien et le plaqua contre le mur. Le mur se fissura. Il émanait tellement de puissance de la sorcière que beaucoup de prisonniers s'évanouir déjà affaibli par l'orichalques.

Le gardien et la sorcière échangèrent en Allemand de façon précipité puis d'un rictus méprisant la sorcière le lâcha. De dos elle était encore plus impressionnante, avec sa longue veste au épaulettes doré, gravé se trouvaient trois lettres entre lassé.  C.I.S , les longues manches se balançant dans le vide la fillette trouva immédiatement l'inconnu inspirante.

Puis elle se tourna et les prisonniers qui tenaient encore tentèrent de reculer pas la fillette qui de toute façon n'avait plus la force ni l'envie de se défendre.

L'inconnue s'approcha et plus elle s'approchait plus l'enfant constatait à quel point elle était jeune.  Elle avait même pas vingt ans c'était sur. 
Arrivant à son niveau, la sorcière se pencha et lui murmura des phrases en Allemand qu'elle fut incapable de comprendre.
Qu'elle est belle...
Ne put s'empêcher de penser l'enfant.

— Ich werde dich hier rausholen, kleiner Engel.

L'enfant cligna des yeux mais fut incapable de répondre. 

Puis l'inconnue posa la main sur les immenses chaînes et grimaça de douleurs puis elle insuffla de la magie, magie qui fut aspirer part le métal, mais l'inconnue continua, soudain il eut un vombrissement comme si le métal était arrivé à sa limite d'absorbsion il se désagrègea et l'enfant eut l'impression de se réveiller d'une longue sieste.

— Wie kann einem Kind Kriegsverbrechen vorgeworfen werden ?

L'inconnue tendit ses bras mais la fillette recula.

— Wie heißen Sie ?

L'enfant demeura silencieux, l'inconnue se mit à parler en flamand, en français puis enfin en anglais.

— Comment tu t'appelles ?

— Sorca madame.
La jolie sorcière fronça des sourcils puis claqua des doigt pour invoquer une couverture qu'elle passa sur le corps de la fillette. Après quoi elle la prit dans ses bras.

— C'est terminé petite, on rentre.
Ce fut à ce moment là qu'une dizaine de gardiens ouvrirent la porte avec fracas, baguette magique en main.
Faite de beau rêve.
La sorcière laissa éclater toute sa puissance au tour d'elle la magie sortie de son corps et tous succombèrent, les yeux des gardiens se revulsèrent puis ils tombèrent un à un inconscient.

Sorca se souviendra de ce jour toute sa vie.

La assis près d'une rivière une fillette pleurait toutes les larmes de son corps alors qu'une sorcière se tenait au dessus d'elle.

— Je veux rentrer ! Je veux rentrer !

La sorcière l'observa puis s'assit en tailleur en face d'elle et lui pris délicatement le visage.

— Sorca regarde moi, c'est terminé. Tout es terminé.  Et puis je peux savoir comment tu t'es retrouvé si loin de chez toi avec la marque de Grindelwald ?

Sorca renifla.

— Ma mère.
Les pupilles de l'inconnu rétrécirent légèrement, alors qu'elle allait ouvrir sa bouche l'enfant demanda.
Et vous ? Vous vous appelez comment madame ?

L'inconnue eut un petit sourire.

— Madame ? Moi ... Allons j'ai l'âge d'être ta grande sœur.  Je m'appelle Lucrecia, Esmeralda Suenonegro enfin plus pour très longtemps, mais bon, je crois que j'ai fini par m'y  faire.

— Tu as quelle âge ?

— Dix-huit ans.

— Dix-huit ans ! Et tu fais déjà partie de l'armée trop cool !!

Lucrecia haussa un sourcil puis éclata de rire lorsque ses yeux se posèrent sur sa veste.

— Je ne ne fait pas partie de l'armée petite, Merlin m'en préserve. Mais j'ai eu beau leur dire ils ont refusé de comprendre.  Ils m'ont donné pour insigne honneur de retrouver un des leurs qui c'est carapatés juste après la chute de Grindelwald.

— Grindelwald à été défait !

— Bien-sûr il y a deux jours.

Les yeux de Sorca s'agrandirent puis ses mains se portèrent à sa poitrine alors que de l'inquiétude brilla dans ses yeux, Lucrecia le vit puis ébouriffa les cheveux de l'enfant.

— Ne t'en fais pas si tu savais le nombre de ces canailles qui réussiront à passer inaperçu et puis toi tu es une enfant, personne ne saura ton petit secret. Ta de la chance j'allais partir quand j'ai entendu les rumeurs qu'une fillette avait été emprisonné.  Je vais te ramener chez toi puis je vais poursuivre ma traque, mais j'ai peu d'espoir, ce gringalet à toujours été plus puissant que moi.

— Vous l'avez connue ?

— Hein ?

— Le sorcier qui à déserté.
Une ombre de tristesse voilà le regard de Lucrecia.

— Je suppose qu'a un moment donné je pouvait le considérer comme un ami. Il a toujours été brillant, il a été nommé amiral à dix-sept ans !!  Sa désertion m'a profondément choquée. Enfin je vais pas t'ennuyer avec des histoires d'adultes.

Déclara la jeune sorcière.

Les deux sorcières durent rester en Allemagne cinq jours supplémentaires en raison des troubles secouant l'Allemagne magique.

Sorca se souviendra de ces cinq jours comme un beaume un pansement placé sur ses plaît. Lucrecia était une sorcière intriguante et pleine de vie, si elle pouvait la décrire se serait avec un seul mot : liberté.
Elle  dégorgeait de puissance et riait au éclat facilement. Le soir elle avait l'habitude de frapper d'imposant arbres avec ses poings et sans les envelopper de magie.

Durant ses cinq jours Sorca compris pourquoi le gouvernement mondiale la voulait absolument de son côté, c'était un électron libre en mesure d'exploser à tout instant.

Enfin Lucrecia la ramèna chez elle, jamais de sa vie elle n'aura été aussi contente de retrouver Pré-au-Lard ainsi que le palais.

— Sorcaaaa !

— Minervaaa !

Les deux enfants coururent et se sauterent dans les bras en pleure.

Lucrecia était resté un léger sourire triste au lèvres puis avant de partir elle s'était rendu au près de Lady McGonagall. Nul ne sut se qui s'était passé ce jour là, mais à chaque fois que le nom de Lucrecia Suenonegro et bien plus tard Lady Potter, une terreur sans nom éliminait brièvement son regard.

L'affaire Potter Où les histoires vivent. Découvrez maintenant