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L'ILLUSION
maintenant

L'ILLUSIONmaintenant

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꧁⪨𝑨𝒎𝒆𝒍𝒊𝒂⪩꧂

Le match des rivaux espagnols.
Le grand soir tant attendu.
C'était maintenant.

Prenant mon sac à main situé près de mes pieds, je descendais de la voiture de mon frère. Lui me suivant activement.

La tension dans l'air était palpable et chacun des joueurs et même des supporters pouvaient la ressentir à des kilomètres à la ronde.

Nous avancions jusqu'à l'entrée du stade où des dizaines de photographes et de fans en feux attendaient déjà les joueurs barcelonais.

Nous continuions notre route rectiligne, la tête focalisée sur nos pieds sur le sol, voulant atteindre les vestiaires et les salles de préparation au plus vite sans être aveuglés par les projecteurs.

C'était avec l'aide de la sécurité et des agents de sécurité que nous parvenions à entrer sans grande difficulté à l'enceinte du stade.

Le bras de Jules sur mes épaules, nous entrons tous les deux dans les vestiaires, m'entendant principalement avec l'ensemble du club, j'avais l'accès aux vestiaires.

L'entraîneur entrait à son tour et invitait tout le monde à s'asseoir sur leurs places respectives.

— Ce soir c'est le grand soir, un rendez-vous assez récurent et important pour vous mais aussi pour toute l'Espagne. Les supporters comptent sur vous pour donner un putain de match, et vous allez les honorer tous ensemble. il haussait la voix petit à petit.
En face ce n'est pas n'importe qui, vous le savez non ? l'ensemble des joueurs acquiesçait silencieusement les dires de Hansi Flick.
Ils n'ont que des bons joueurs et ils ont une tactique spéciale que vous allez devoir affronter minutieusement. Je veux tous vous voir répondre à l'appel, aucun absent dans la lune ce soir sinon c'est dehors. C'est bien compris ?

Tous les Culés, en train de mettre leur chaussure, succédaient la voix sérieuse et menaçante de l'entraîneur par des cris d'encouragement et de volonté de victoire de leur part.

—  Oui coach !

Mon frère, toujours son bras autour de mes épaules, était le premier à crier avec ses coéquipiers.

Il voulait m'entraîner dans son délire étant donné qu'il me poussait légèrement pour que je puisse crier avec eux. Son sourire en coin en témoignait de sa ruse.

Lui et moi savions que je préférais le club de la capitale. D'ailleurs, il s'en prenait un malin plaisir à jouer avec cela.

— Bien, je compte sur vous les gars. Et quoi qu'il puisse se passer ce soir, je suis fier de votre parcours durant tous ces mois, même si je suis seulement là depuis cette année.

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