Chapitre 7

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Alba

La varicelle.

Raquel a attraper la varicelle et je plaide coupable les enfants du restaurant.

Une famille était venue il y'a quelques jours au restaurant pour déjeuner. Il y'avait trois enfants, les visages décorer par les mêmes boutons.

Je n'avais pas remarquer qu'un d'entre eux c'était approcher de ma fille.

Mon bébé.

Nous sommes à l'hôpital depuis hier soir.
Vingt quatre heures.

Lorsque nous sommes arrivés, un médecin la examiner et à tout de suite conclu qu'elle avait la varicelle.

Elle doit rester en observation pendant trois jours le temps que sa fièvre baisse.
Je ne la quitte pas.

Paula ma déposer quelques affaires ce matin mais personne n'a le droit de venir dans la chambre, mise-a-part les médecins, les infirmières et moi.

Après son dîner, Raquel c'est endormi dans mes bras. Je la berce doucement en caressant sa main ne voulant pas la lâcher.

Je pose un baiser sur son front encore chaud et l'allonge dans son lit.

En la contemplant toute endormie j'entends la porte s'ouvrir.
Je m'apprête à voir une infirmière arriver mais je suis scandalisé lorsque je vois Mario entrer dans la chambre.

- Comment elle va ?

- Qu'est-ce que tu fait ici ?

Nous disons en même temps.

Il sourit tout en s'approchant du lit de ma fille, la regardant rapidement avant de me faire face.

- Qu'est ce que tu fait ici ? Demande-je dans un murmure.

- Samuel, dévoile-t-il, il est venu à ton appartement aujourd'hui, il a paniquer quand tu n'y était pas et que tu ne répondez pas au téléphone.

Je repense à mon portable au fond de mon sac éteins à cause de ma batterie faible.

- Ça ne répond toujours pas à ma question, que fait tu ici ?

- Ma fille est à l'hôpital, Alba. Putain, tu crois que je ne vais pas bouger en apprenant ça ?

Son regard fait bouillonner le sang dans mes veines.
Je pose mes yeux sur ma fille recroquevillée dans son lit d'hôpital et je ne peux empêcher une larmes de couler sur ma joue.

Toute la tension de ces deux derniers jours retombent. Je soupire et me déplace dans la chambre pour m'éloigner de lui, de son parfum.

- Les visites sont interdites, comment tu es rentrer ?

- J'ai mes méthodes, répond-t-il.

Sa voix m'est trop proche pour penser qu'il est resté près du lit.
Et, je le confirme lorsque je tourne la tête et le retrouve debout à quelques centimètres de moi.

C'est à cet instant, au moment où je remarque ses yeux tellement similaires a ceux de ma fille que je craque.
Je m'effondre.

Je plaque mes mains sur mon visage et sanglote sans être capable de m'arrêter.

Physiquement et mentalement je suis épuisée.

Son parfum enivrant arrive à mes narines.
Il est proche, trop proche.
Mais je suis incapable de me battre contre lui.

Ses bras musclés et réconfortant me serre. Mon front se posent sur son torse alors que sa main caresse tendrement la racine de mes cheveux.

- Shh, tout va bien, mi amor...

Mi amor.

Mi amor.

Mi amor.

Ce surnom résonne tel une douce mélodie a mes oreilles, faisant palpiter les battement de mon coeur.

Il m'attrape puis me soulève du sol en me portant dans ses bras. Il s'assied sur ce qui me fait penser être le fauteuil sur lequel j'ai dormis la nuit dernière.

Ma tête reste pose sur son épaule, incapable d'ouvrir les yeux. Seul la respiration de ma fille et le parfum enivrant de son père me font sombrer dans le sommeil.

Fernàndez Tome 2 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant