Partie 1 : Puzzle

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- Voilà la reine de la journée !!

Océane et James m'accueillirent avec une joie.

- Salut les amis.
Je pris une grande inspiration.
- Je dois vous dire une chose à mon sujet, mais ne prenez pas peur et si vous ne voulez plus me parler après ça je comprendrais.

- De quoi tu parles ? me demanda James étonné.

- Et bien....
Je leur racontai toute mon histoire, ils me regardaient étonné, sans m'interrompre une seule fois.

- Woaw c'est dur à croire mais je te crois, me dit Océane après une pose.

- Moi aussi, on a tous des secrets de famille. Mais ça veut dire qu'à tout moment on ne te revoit plus après aujourd'hui...

Je déglutis.

- Oui.

- Merde, s'écria Océane, il n'y a rien qu'on puisse faire pour t'aider ?

- Pas grand chose à ce que je sache.

- Mince. Tu sais quoi ? On va te faire kiffer cette journée ok ? s'exclama James.

- Je... merci...

Je les aimais tant, je ne voulais pas les perdre, pas maintenant.

- Tout d'abord allons faire quelque recherches, proposa James.

- On pourrait trouver quelque chose à la vielle bibliothèque, ajouta Océane.

Tout à coup cela fit tilt dans ma tête, évidemment la vieille bibliothèque, je n'y allais jamais et n'y avait jamais pensé à chercher là dedans mais il y avait tellement de vitelle revue que peut-être allions-nous trouver une info.

- Bonne idée, déclarai-je.

Nous allâmes donc pour ce début de journée dans la Vieille bibliothèque. Elle m'avait toujours fait froid dans le dos, on aurait dit une sorte de manoir.

L'intérieur aussi était spécial : la salle était coupée en deux, à droites il y avait les livres neufs et nouveaux et à gauches les vieux

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L'intérieur aussi était spécial : la salle était coupée en deux, à droites il y avait les livres neufs et nouveaux et à gauches les vieux. Même le parquet avait différente couleur pour marquer le tout. Il y avait des tables et plusieurs livres étaient éparpillés par terre. En fait, ce n'était pas si désagréable mais c'était quand même étrange.

Nous allâmes directement à droite, à la recherche de livres adéquat à mon problème

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Nous allâmes directement à droite, à la recherche de livres adéquat à mon problème. J'avais la boule au ventre et étais excitée, ça faisait longtemps que ça ne m'étais pas arrivée. Nous nous séparâmes : Océane cherchait sur internet des noms d'auteur ou de livres parlant de malédiction et ou de Salem, James et moi cherchions dans les M, les P et les S. Les P et les S étant quasiment à coté ( faute de livres commençant par Q ou R ). Je trouvai un livre écrit par une certaine Jonnie More intitulé "Histoires, Légendes de Salem" je le pris donc suivit d'un autre parlant de la cartographie de Salem à l'époque des sorcières. James, lui, pris un recueil sur les poupées : "Poupées en tous genre" et sur les statuettes et poupées vaudou. Nous posâmes nos livres à nos pieds puis nous nous tournâmes vers Océane.

- Du nouveau ? l'interrogea James.

- Possible, elle se leva et se dirigea vers nous, regarder.

Elle nous tendit son téléphone, sur l'écran y paraissait un mini paragraphe fait spécialement pour Halloween, ça se voyait aux images ajoutté et au thème de base du site.

Vous avez toujours été fasciné par les histoires d'horreur ou croyait au paranormal ? Et bien cet article est pour vous ! Je m'appelle Josiane Oraçi et vous raconte tous sur mon blog du paranormal, je fais de l'urbex et mène des enquêtes afin d'éclaircir les mystères du monde.

Plus bas un lien y figurer.

- J'ai regarder et elle parle de Salem et de poupée renfermant les esprits frappeur ça pourrait nous servir.

- Tu es formidable Océane !

Je le pensais vraiment.

- Je le sais tous le monde me le dis.

- Garde ta modestie pour toi, se moqua James.

Je repris mes recherches quand le bras de James toucha le mien, mon souffle se coupa brusquement et je me figeai.

- Tu sais, dit-il en se tournant vers moi, si tu dois mourir ce soir ce que je ne veux pas il faut que tu saches une chose.

Non, c'était impossible, je lui avait déjà avoué mes sentiments dans une lettres et il m'avait répondu qu'il préféré qu'on reste amis sur cette même lettre.

- Je t'écoute...

- Je t'aime bien, il rougit, plus qu'une amie plus qu'une sœur.

- Mais non.

C'était tous ce qui était sorti de ma pauvre petite bouche.

- Quoi ??

- Je veux dire, me repris-je, je t'ai déjà dis que je t'aimais et tu m'as répondu noir sur blanc que ce n'était pas réciproque.

- Qu'est-ce que tu racontes ? Si tu me l'aurais dis je t'aurais répondu ce que je viens de te dire.

Je ne comprenais pas, c'était bien lui qui m'avait répondu non ? J'avais glissé la lettre dans son casier. Personne n'avait accès au code à part moi.

- Tu es sur de ça ?

- Évidemment je t'ai toujours aimé.

Je sortis cette fameuse lettre que je gardais toujours avec moi et lui tendis. Il la lu sans expression faciale puis plissa des yeux.

- Ce n'est pas mon écriture.

- Pardon ?

- C'est une mauvaise copie de mon écriture, il me tendit la feuille et ajouta, regarde les points sur les I, les miens ont toujours étaient plus gros. Et puis, quand me l'as-tu écrite ?

- Vers la fin de la première.

- Je faisais toujours à ce moment une faute dans le mot "réciproque".

Effectivement je m'en souvenais ! Comment ne m'étais-je pas rendus compte de ce détails plus tôt ? Mais qui pouvait bien faire ça ? Et dans quel but ?

- Tu es sur de n'avoir dis mon code à personne ?

- Oui j'en suis sur et certaine.

- Étrange.

Il m'ôtait les mots de la bouche. Je n'avais écrit le code nul part à part mon journal intime qui était bien caché dans le double fond de mon armoire ou dans mon sac à dos, cela dépendait des jours. Je lui dis ce que je pensais et sa réponse me donna des frissons.

- Ta famille.

Même si les pièces du puzzles s'emboîtaient, je ne pouvais pas y croire, ils ne fouillaient jamais dans mes affaires...sauf...sauf ma mère qui faisait le ménage ! Je sentis mes jambes tremblé sous moi. James m'attrapa les épaules et me retins de tomber.

- Tout va bien ce n'est pas la mort.

Si ça l'était. Ma mère s'avait donc à quel point je l'a détesté... mes sentiments envers James et où j'avais caché les masques ! Elle s'avait tous ! C'est pour ça que dès que j'avais une idée pour fuir qui me passait par la tête et que je l'écrivais, le lendemain une chose dont j'avais besoin disparaissait. Tous paraissait logique. Malgré tous je pris les livres et les amenai vers Océane afin de continuer les recherches, je n'allai pas me laisser abattre aussi facilement.



Happy Birthday...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant