Chapitre 7.

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Bonjour les amiiiis ( pour la première fois que j'écris en début de journée :) le pire c'est que je suis en classe et pafff l'inspiration est venue ) doncccc j'ai décidé d'écrire au moins deux chapitres avant que l'inspiration ne s'envole ( et puis c'est maths, je ne comprends absolument rien ).
Sinon, vous avez le droit de m'en vouloir pour cette absence non justifiée. Vraiment je m'excuse beaucoup, beaucoup, beaucoup. :(

Bonnnnn, le septième chapitre est là. J'espère qu'il vous plaira.

Je vous souhaite une bonneuhhhh lecture.
















^***^











CALIFORNIE, Benicia.










//LIVIA.//













23h54.










Nous sommes actuellement sur la route menant vers chez moi. Assise à l'arrière de la Rolls-Royce Cullinan noire de Ryder, j'écoutais, avec un sourire aux lèvres, Caleb me raconter quelques anecdotes de son enfance.

Ryder se concentre juste sur la route, sa main gantée sur le volant et l'autre tenant son téléphone. Ses cheveux sont plaqués derrière pour lui permettre de bien voir la route. Même si, quelques mèches retombaient sur son visage, j'avais enfin une vue complète sur ses yeux, que je ne me retiens pas d'ailleurs de contempler dans le rétroviseur.
Ils sont si hypnotisant. J'arrive pas à m'empêcher de les regarder. Et pas qu'eux, son visage même est une œuvre d'art parfaitement réussie-son corps tout entier.

Caleb: Dis moi, Livia, comment vas tu dans l'ensemble ?

J'arrête de contempler Ryder et tourne ma tête vers Caleb.

Moi: Ah, bah je vais bien. Je dors bien, je mange bien et je passe mes journées devant la télé quand je ne travaille pas.

Caleb: La chance que t'as. Moi, je suis obligé de travailler h24, comme un esclave-"il tourna son regard vers son ami, l'accusant silencieusement ".

L'ombre d'un rictus se dessina sur ses lèvres, se moquant de Caleb. Mais, ça ne dura même pas une seconde et il reprend son air impassible.

Bilan des choses que j'ai remarqué sur lui:

1) Il est calme.

2) Il n'aime pas beaucoup parler.

3) Il est effrayant.

4) Sa peau est toute blanche, livide.

C'est tout pour l'instant.

Caleb: Et Noah? Il va bien ?

Moi: Oui, d'ailleurs il attends toujours ta venue, hein.

Caleb: Ça tombe bien, je le verrais aujourd'hui.

Moi: J'en doute fortement puisqu'a l'heure là il dort.

Caleb: Mais, attends. Tu le laisses avec qui quand tu travailles?

Moi: Avec ma voisine qui est aussi une amie à moi. Et des fois, quand je ne veux pas la déranger, j'appelle mon meilleur ami pour qu'il vienne faire du babysitting.

De la prostituée à sa femme.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant