Asile mutée

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 Seule, désorientée, sans personne pour m'aider dans cette forêt

Ne plus savoir distinguer le faux du vrai

On n'est jamais mieux servi que par soi-même mais soi-même on attire plus que jamais les problèmes

Sans savoir en sortir, sollicitant sa façon d'en pâtir, prier l'empathie, personne pour compatir, satire du mal à se situer

Ne plus savoir compter, sur toi ne pas pouvoir compter, conter ses peurs, foutre un pas dans ce foutoir

Des heures à rester dans cet échange, toujours seule, sans vraiment d'échange, à aspirer à s'inspirer, interprétant un ange, des heureuses rimes qui au cours du temps périment...

En le simulant, le vrai ment. Sa solidarité sollicitée, celle de son toucher, sa bienveillance, bienséante de ma volonté, seulement s'emmener s'évader, évidemment sensuellement et sans cela la Sensuelle ment.

Poétiquement CulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant