chapitre 7

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« Bordel, Gabriel...Fait attention à toi...je t'en supplie...»

Pdv Jordan :

Ça fait maintenant 10 minutes maintenant que Gabriel est parti, et comme je n'ai pas son numéros de téléphone, aucun moyen de communiquer avec lui , ce qui ne m'arrange pas du tout.

Je m'assois sur mon canapé en allumant la télé histoire de me changer les idées et d'arrêter de penser à lui, mais impossible de le retirer de ma tête.

(NDA : pitié Jordan assume que tes tombé amoureux, on va rien te faire 🙏🏻)

Pdv Gabriel :

Je marche d'un pas accéléré vers l'appartement de Stéphane, la boule au ventre, plusieurs pensées parasites embrouillant mon cerveau.

Quelques minutes plus tard, j'arrive chez mon "fiancé", je pose ma main sur la poignée de la porte et ouvre celle-ci d'une main tremblante.

(Pour la scène qui va suivre, je vous conseille d'écouter la musique "black to black" de Amy Winehouse, pour la vibes ;⁠-⁠) )

Je n'eu pas le temps de faire deux pas dans le domicile que Stéphane me plaque contre le mur, à côté de la porte.

Stéphane : t'étais où ?

Gabriel : faire un tour comme je te l'ai dit.

Stéphane : ne me ment surtout pas Gabriel.

Gabriel : je te mens p-..

Il attrape ma mâchoire et me fait relever la tête, m'obligeant à le regarder dans les yeux.

Gabriel : Stéphane, tu..tu me fait mal...

Stéphane : je vois ta localisation, ça ne sert à rien de me mentir.

Je sens mes mains trembler de plus en plus, le stress montant à une vitesse fulgurante en voyant le regard noir de mon conjoint.

Gabriel : tu me piste...?

Stéphane : ne change pas de sujet.














Pdv Jordan :

Deux heures, deux heures que Gabriel est parti, je m'inquiète de plus en plus, une envie croissante de prendre ma voiture et de me rendre chez lui.

Puis... soudainement, des bruits résonne sur ma porte d'entrée, je me lève en quatrième vitesse pour aller ouvrir, puis... En voyant ce qui se présente devant moi, mes yeux s'écarquillent.

Gabriel...



















Son col de chemise déboutonner, son cou marqué de trace rouge, comme une trace de main...ses cheveux en pagaille, le regard vitreux.

Je le prend délicatement par le bras pour l'emmener à l'intérieur, puis ferme la porte, et me tourne vers lui, le regard rempli d'inquiétude.

Jordan : Gabriel... qu'es-ce qu'il c'est passé...?

Il me répond pas mais j'ai déjà la réponse, ne sachant pas quoi faire, je lui demande d'une voix assez douce:

Jordan : Tu...tu à mal au cou...? Dit-je en passant le bout des doigts contre les marque.

Toujours aucune réponse, il semble complètement bloqué.

Jordan : Vien t'assoir...

Je le prend par épaules et le guide vers le canapé, m'essayant à ses côtés.

𝑸𝒖𝒂𝒏𝒅 𝒍𝒂 𝑯𝒂𝒊𝒏𝒆 𝑭𝒍𝒂𝒏𝒄𝒉𝒆...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant