Dans les méandres du paysage de Victor Hugo,
Là où la lumière caresse les vallées,
Les ombres dansent sur le fil du temps,
Les arbres murmures d’histoires anciennes,
Le vent, complice des secrets du ciel.Les rivières serpentent, argentées,
Reflets d’un monde où l’âme s’égare,
Le chant des oiseaux s’élève, écho,
D’un amour perdu entre les rochers,
Des souvenirs évanouis sous les nuages.Les montagnes, gardiennes des rêves,
À leurs cimes, je lève les yeux,
Sculptées par des siècles d’émotions,
Elles racontent la grandeur de l’être,
La solitude des âmes en errance.Sous le couvert des étoiles,
Le silence pétri de beauté,
Chaque étoile est un poème,
Chaque souffle, une prière,
La terre respire, comme un cœur battant.Écoute, le crépuscule s’installe,
Peignant le ciel de couleurs envoûtantes,
Les ombres s’allongent, s’étirent,
Dans ce tableau vivant, je me perds,
Victor Hugo, tu as immortalisé l'éphémère.