Chapitre 5

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Je toqua à la haute porte de chez Mélodie. J'entendis le bruit de ma main sur la porte qui résonnait à l'intérieure de chez elle. Lorsque je suis arrivé devant chez Mélodie, j'avais tout d'abord remarqué le portail en fer forgé. Son montant était façonné en formes arrondis et géométriques. Son jardin était tellement tropicale... Des plantes de toutes sortent poussaient et fleurissaient, à tel point que l'on pouvait se perdre dans sa cour avant. Le manoir qui se tenait devant moi était si différent de ceux que je pouvais avoir vu auparavant. Tout fait de pierres, aux bordures de fenêtres pintent en blanc.

Un bruit de porte me fit sortir de mes pensées. Devant moi, une femme ravissante, tout vêtue de bleue m'accueillit avec un grand sourire.

-Octave! Mais quelle surprise! Nous n'attendions pas votre visite?! Dit elle en fronçant les sourcils.

-Bonjour Mademoiselle. Je m'excuse sincèrement d'être venu à l'improviste. Mais je pensais que cela ferait plaisir à Mélodie si nous nous voyions.

-Mais bien sûr. Je m'excuse, ce n'était pas un accueil très... Eh bien... Très accueillant.

-Il n'y a aucun problème. J'aurais juste dû vous prévenir à l'avance.

Elle me fit signe d'entrer et de m'assoir sur un des imposants canapés qui se trouvait trouvait dans leur salon. Elle alla à l'étage pour chercher Mélodie. Je scruta alors la pièce du regard pour patienter. Le salon, contrairement au notre était petit et avait l'air plus familiale. Ses couleurs étaient plutôt sombre et une grande cheminée se tenait au mur en fasse de là où j'étais assis. Un homme grand et mince entra dans la pièce par la porte qui se trouvait à la droite de la cheminée. Il n'avait pas l'air de m'avoir vu car il marmonna des bribes de phrases incompréhensibles tout en regardant un livre qu'il tenait à quelques centimètre de son visage. Il s'assit dans le fauteuil à ma droite en continuant dans son activité. Je restais là, stupide, à essayer de comprendre ce qu'il disait, mais ses phrases restaient indéchiffrables. C'est homme,c'était le père de Mélodie. Il était brun au yeux bleus, et il avait un nez ni très large, ni très long, sur lequel étaient posées des petites lunettes rondes qu'il plaçait sous ses yeux. Son visage changea d'expression et donna l'air perturbé. Il s'arrêta de parlé et regarda le plafond, absorbé, puis il se posa une question que je ne compris pas tout de suite mais qu'il répéta une seconde fois:

-quelle est la signification de ce fichtre mot?

J'essayais de me pencher un peu vers ce monsieur en toute discrétion mais son livre était trop loin pour que je détecte la langue.

-Je ne comprends pas! Comment traduit t-on groet en français? Je le connais pourtant ce mot... Répéta-t-il excédé.

Je réfléchis longuement. Groet... Groet... Mais, je le connaissais ce mot. Mais, je n'arrivais pas à me souvenir ce qu'il signifiait. Groet... Groet... Je me creusais les méninge pour essayer de le reconnaître... J'étais dévoré par ce mot. Maintenant, nous étions deux à fixer le plafond à la recherche d'une réponse. Ce fût soudainement que sa signification me revint à l'esprit, ce qui m'arracha un sursaut. Mais oui... Groet...

-Cela signifie "Salutation"! Dis-je, un peu trop fort à mon goût.

L'homme se retourna vers moi, l'air ahuri. Il me regarda avec de grands yeux, comme si il ne m'avait jamais vu. Au bout de quelques secondes, qui me furent très génantes, en raison du faite que le père de Mélodie me fixait sans détourner le regard, il bâtit des paupière puis s'excusa:

-Je suis véritablement navré mon garçon, je ne vous avait pas vu. J'étais tellement absorbé par ma traduction de texte que je ne vous avais même pas remarqué.

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⏰ Dernière mise à jour : 3 days ago ⏰

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