xii. a pillow of winds

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j’écoute la chanson de mon mort

c’est comme si je ne l’avais jamais fait auparavant
je l’écoute, dans les lumières tamisées de ma chambre ; l’envie de pleurer
et d’aller creuser sa tombe pour vérifier qu’il s’y trouve toujours

si je ferme les yeux assez fortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant