Avant l'horreur

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12 novembre 2015                                                                                                                                                                     20h

Antoine (sourire) : Alors, tu vas mettre quoi demain soir pour le concert ? Parce qu'on ne se verra pas, alors j'aimerais bien savoir !


Gulia (avec un sourire espiègle) : Tu veux vraiment savoir ?

Antoine : Bien sûr ! Tu sais bien que j'aime te voir me surprendre.

Gulia (se levant de son canapé et commençant à enlever son pyjama, parlant tout en se déshabillant) : Bon, je vais t'envoyer une surprise alors. Prépare-toi !

Antoine (en rigolant, un peu surpris) : Tu... tu te changes devant moi sur FaceTime ?!

Gulia (enlevant son pyjama et enfilant la robe) : Ben ouais, pourquoi pas ? Tu me connais !

Antoine (étonné mais amusé) : Mais t'es folle ! Et si un des gars rentrent dans ma chambre, ou pire, Paul ou Olivier er qu'ils prennent mon téléphone ?

Gulia (riant) : Ça va, tranquille. 

Antoine (riant aussi) :si ils te vois comme ça c'est pas ma faute j'aurais pas un mot à dire je te préviens. Bon, sérieusement, la robe te va super bien. T'es trop belle.

Gulia (souriant) : je te connais trop et tu serais beaucoup trop jaloux que tes collègues voient ta copine en sous vêtements, avec un corps incroyable (dit-elle pour rigoler) mais merci pour la robe, c'est simple, mais je voulais un truc qui reste chic. Mais tu sais, moi je préfère des trucs plus... comment dire... calmes ! 

Antoine : Oui, tu m'as dit que tu n'étais pas trop dans ce style. T'aimes du Coldplay ou du David Guetta, non ?

Gulia : Exactement ! Ou du Calogero, parfois même du Nolwenn. Tu vois le genre, pas du tout le groupe de demain !

Antoine : Ah, ça, je vois ! Bon, il faut qu'on se fasse ça à deux un jour, un concert où on kiffe tous les deux.

Gulia : T'inquiète, ça arrivera. Mais demain, je vais quand même passer un bon moment avec ma copine, même si c'est pas trop ma musique.


Antoine : Et moi, je serai là, sur le terrain, mais je penserai fort à toi. Fais attention à toi, hein ?

Gulia : Oui, je te promets. Et toi, tu vas tout déchirer. Je serai là en pensée avec toi, même si je ne peux pas être là en personne.

Antoine : Merci, je vais tout donner pour toi. À très vite, d'accord ?

Gulia : Très vite. Je t'aime.


Antoine : Je t'aime aussi, Gulia. Passe une bonne soirée demain, et fais attention

fin de l'appel


CombattanteWhere stories live. Discover now