• Chapitre 14 •

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Précédemment dans:
« Amour au cœur de la guerre »

- Ont restera ici le temps qu'il faudra.

Dit-il d'un ton neutre. Avant de ce retourner à nouveau et quitter la pièce sans un autre mot. La porte se referma derrière lui dans un léger claquement. Je me retrouve alors seul dans ma chambre, le silence de la chambre enveloppant le silence autour de moi.

Je jetas un coup d'œil à l'horloge accrochée sur le mur. Celui-ci affichait vingt-trois heures, indiquant que la nuit était déjà tombée.

La pièce atour de moi semblait encore plus paisible à cette heure tardive, l'obscurité se faisant plus présente de l'autre côté des portes-fenêtres.
Une légère brise soufflait à travers les portes entrouvertes, apportant un courant d'air
rafraîchissant et légèrement vespéral.

Je pris mes médicaments et m'allonge sur le lit.
Les draps étant frais et confortables, s'adaptant parfaitement à mon corps.
Je sentis mes muscles se relâcher et laisse glisse peu à peu dans un état de repos paisible.

Les minutes s'écroulèrent lentement, la fatigue prenant doucement possession de mon corps. Peu à peu, je sentis mes yeux devenir de plus en plus lourds, comme si chaque battement de paupières se faisait plus lent et plus long.

La fatigue qui m'assaillait depuis quelques minutes finit par prendre le dessus.
Mes paupières finirent par se fermer entièrement et je tomba dans un sommeil profond.

Les son extérieurs étaient étouffés, comme s'ils étaient atténués par un voile d'obscurité.

La sensation de soif me réveilla en pleine. J'ouvris lentement les yeux, retrouvant soudainement dans la pénombre de la chambre. Le silence de la nuit semblait encore plus intense qu'auparavant, seuls les lointains bruits nocturnes de la ville venant parfois le couper.
Je me rendis compte que j'avais la gorge sèche et ressentais le besoin de m'hydrater.

Je jetas encore une fois un coup d'œil à l'horloge, qui indiquait maintenant une heure avancée de la nuit.
Les aiguilles semblaient s'être considérablement avancées depuis que je m'étais endormie, indiquant que plusieurs heures étaient passées.

Il était deux heures du matin.

Je sortis du lit et me retrouve debout dans la chambre. L'air frais de la nuit caressa mon visage, contrastant légèrement avec la chaleur qui régnait dans la pièce. Le silence enveloppa à nouveau l'espace autour de moi.

Chaque pas que je faisais, semblait résonner légèrement dans le silence, me faisant prendre conscience de ma tranquillité de l'endroit.
Une fois sortis de la chambre et être arriver dans le couloir je remarque que les portes des autres chambres étaient fermées, aucun signe de présence humaine n'étaient perceptibles à cet instant.

Je cheminas lentement dans le couloir, mon regard parcourant les alentours. Les ombres dansantes autour de moi s'étendaient et se rétrécissaient, créant un étrange jeu de lumière et d'obscurité. Tout semblait si paisible et silencieux, comme si j'étais la seul personne éveillée à cette heure tardive.

En descendant les marches, je pouvais sentir la froideur du marbre sous mes pieds.
Chaque marche semblait résonner légèrement, le bruit de réverbérant dans l'espace vide de l'escalier.

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