Chapitre 13 - Danaé

2.8K 119 2
                                    

M'assoire à côté de Boby n'était peut-être pas une bonne idée. M'assoupir contre son épaule l'était encore moins. Je viens de donner à tout le monde la confirmation que lui et moi sommes bien en couple, bien que ce genre d'action ne veuille rien dire en temps normale mais quand la rumeur que nous soyons en couple s'est déjà installé, disons que mon geste venez de tout confirmer. Luttez contre l'attention que l'on nous porte depuis le début du trajet c'est ce que je fais, mais là s'en ai trop. Nous avons beau être tout au fond du car, entouré de tout nos amis, toutes ses petites pétasse trouve encore le moyen de me lancer des regard foudroyant, comme si j'avais commis le pire crime qu'il puisse exister.

Ce qui me surprend le plus sont ces regard masculin. Je ne sais pas si il se retourne vers nous à cause de Boby et moi où s'ils se retourne vers nous pour réellement parler à leurs amis faisant partis du club de rugby. Je détourne mon visage d'eux tous et dirige mon regard vers l'extérieur. Les arbres défilent sous mes yeux et le soleil éclair un magnifique ciel bleu. Puisque le froid ne peux pas m'atteindre j'ai l'impression qu'il n'existe pas, camoufler par ses long rayons chaleureux qui cogne à travers les vitres du car.
- Ça me rend dingue.
- Ça te rend dingue ? Demandais-je sans pour autant le regarder.
- Toute cette attention venant des autres. J'ai l'impression d'être l'attraction du moment ! S'exclame t-il avant de soupirer.
- Bienvenu au club.
- Soit pas désagréable Dana, dit-il le souffle chaud contre mon cou.
- Arrête, tout le monde nous regarde, dis-je plus gêné qu'ordinaire.
Il dépose ses lèvres au creux de mon coup pour y déposer un baiser rapide. Puis il me gratifie un énorme sourire angélique. J'aime quand il me sourit comme ça, avec tant d'Innocent.
- Wouah les gars. Je pensais pas que vous deux c'était si... Intense, lâcha Lucas assis à la droite de Boby.
- Si tu savais, fit Steeve.
- Qu'est ce que t'en sais toi, siffle Sandre.
- J'étais au courant les gars. Et oui, fallait être aveugle pour pas remarquer leurs comportement.
- Arrête, t'es au courant parce que tu nous as surpris près du parc, ce matin là, rectifias-je.
- Dans le parc ? Demande Marcy. Un matin ?
- Ouais pour hum, ce truc...
- Que je devais lui rendre, termina Steeve. Il m'avais demander de le rejoindre.
- Il t'a demander de le rejoindre ? Pourquoi aurais t-il fais ça si il était avec Danaé ? Insiste t-elle.
- J'en sais rien, pourquoi t'as fais ça Boby ?
Ce dernier laisse échapper un petit rire, moi de même. C'est dingue, il l'espère vraiment qu'on va tenir tête à Marcy pour le protéger de ses connerie.
- J'étais pas censé rejoindre Boby ce matin là, mais je l'ai fais quand même, dis-je.
Bon, je l'avoue j'aurai dû la fermé. S'engager dans cette histoire dans le but unique de sauver la peau de Steeve n'en vaut pas la peine. Mais honnêtement, même si il à le don de m'ahacer de temps en temps, ça ne vaut pas la peine qu'une dispute éclaté là, maintenant.
- Ça fais combien de temps ? Demande Paul.
- Officiellement, je dirais...
- Ah parce qu'il y avait quelque chose de non officielle ? Demande Lucas après m'avoir interrompu en arquant un sourcil sévère.
- Ouh, Lucas endosse son rôle de frère protecteur, lance Sandre.
- Un copain jaloux et un ami très protecteur. Je sais pour vous mais moi ça m'enthousiaste ! S'exclame Prudence, quelque siège plus loin. J'ai l'impression d'être dans un film.
- Euh ouais Prude, pourquoi pas, dit Sandre.
- Je pense que ce qu'elle veut dire par officielle c'est après le soir où on a joué contre Kingsley, lâche Josh.
- Pourquoi tant de question tantais-je de dire en vain.
Steeve et Josh s'était déjà lancer dans un débat sur notre relation, qui par je ne sais qu'elle moyen à vite fait de dériver sur du rugby. Paul à suivi le mouvement, il faut dire que des que ça parle rugby, il ne faut s'attendre à une totale absence de leurs part tant ils peuvent être absorber par le sujet.

Pourtant Boby et Lucas ne participèrent pas à la conversation. L'un me regarder et l'un regardait l'autre.
- Tu la considère vraiment comme une soeur, fit Boby après un petit moment de silence.
Lucas laisse échapper un petit rire .
- Quand je te disais que notre relation était vraiment fraternel je ne te mentais pas.
- Comment vous avez pus vous rapprochée autant en si peu de temps ?
- Les week-end à New-York sûrement et je sais pas le faite d'être tout le temps ensemble, que nos parents travaille ensemble, dis-je.
- Ma mère la considère vraiment comme sa fille, ajoute Lucas. Et tu connais ma mère mec, tu vois un peu comment elle est avec les filles qui m'approche. C'est pire que Mme Anderson.
- Tu te rappelle quand elle t'avais surpris avec Suzane en seconde année, dit Boby.
- Comment suis-je censé oublier, elle a bien fait en sorte que ce moment reste mémorable.
Ils continuèrent de se remémoré les souvenirs passée tandis que je me sens m'en aller vers d'autre horizons, le sommeille m'ayant de nouveau pris pour cible.

*

Des que le car se barre sur le parking la première tête que je vois est celle de mon père. Le voir alors que je ne suis encore à l'intérieur du bus me rappelle à quelle point être loin de mon père m'est inssuportable. C'est bien pour ça que j'ai décidé d'aller dans une université New Yorkaise. Je sais que je ne pourrais pas indéfiniment l'avoir à mes côtés c'est pour ça je veux profiter de sa présence un maximum. Cependant ce retour à Winsted n'est pas aussi plaisant que j'ai cru qu'il aurait pus être. J'avais deja des l'allee imaginer prendre mon père dans mes bras et le plaindre de ce séjour fantastique au bord du lac, mais je n'avais pas prévu le faite de dévoiler que notre relation serai devoiler au grand jour. Si quelqu'un fais une gaffe aussi petite quel soit, je serai dans un immense merdier jusqu'au nez. En ce qui concerne Boby, les garçon et l'histoire avec Braden mon père à en quelque sorte mis tout ça de côté, je ne m'inquiète pas de comment il réagirait lorsque je ou quelqu'un d'autre lui annoncerai que je suis en couple avec Boby. Non, je m'inquiète beaucoup plus de sa réaction lorsqu'il découvrira que je lui ai mentit depuis tout ce temps.

Petit à petit le car se vide et je m'apprête moi aussi à descendre mais Boby me retient par le poignet.
- Tu compte partir sans me dire au revoir ? Demande t-il avec un petit sourire en coin de bouche. Ou tu compte me dire au revoir lorsqu'on sera descendu de ce bus.
- Ne soit pas idiot, dis-je en entourant sa nuque de mes mains.
- On a même pas pus profiter pleinement pendant ces trois jours, lâche t-il au creux de mon oreille.
- On peut toujours y remédier demain matin, répondis-je un sourire malicieux en suspendu au lèvres.
- Allez embrasse vite.
Je dépose mes lèvres sur les siennes rapidement avant de finalement descendre du bus.

Loves me as I hate you : tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant