Loves me as I hate you : tome 2

Chapitre 4 - Danaé

J'arpente les rayons du magasin de sport avec mon père, la semaine prochaine nous avons une sorte de voyage pédagogique, deux classes ont été tirer au sot et je fais partie de l'une d'elle, celle de Sandre aussi, ainsi que tout les rugbyman. Eux ils viennent parce que le proviseur leur offre ce cadeaux pour la victoire du championnat il y a un
mois et demi.
- Ces chaussures de randonnée sont bien non ?
- Ouais, enfin ce sont des chaussures de marche.
- Max Donnell ! S'exclame une vois roque derrière nous.
- Je me retourne tout comme mon père et en face de nous apparaissent David et Boby.
- David ! s'exclame t-il a son tour en serrant la main de celui ci. Salut Boby, dit il ensuite chaleureusement, comme si il ne s'était jamais rien passer. Celui ci, lui sourit.
- T'es venu avec ta fille, qu'est-ce qu'il vous amene dans un magasin de sport.
- On vient acheter ce qu'il faut pour la sortie pédagogique. J'imagine que tu viens pour Boby.
- Il a besoin de nouvelle coquille et d'autres petits truc. On vient renouveler son équipement quoi.

Je baisse mon regard et regarde en dessous de la ceinture de Boby. Je me demande qu'elle taille de coquille il doit prendre avec la taille de son engins. Je redirige mon regard vers son visage et lui me sourit. Je rougis et panique. Si mon père le voyait me sourire il se doutera de tout immédiatement.
- Je vais chercher ma polaire, dis je à mon père.
- Je vais chercher ma coquille, dis Boby au même moment.
Mon pere et son père acquiesce sans trop faire attention a ce que nous venons de dire et lui et moi partons chacun dans une direction opposé.

J'atteint mon rayon et moins d'une minutes après mon arrivée Boby apparaît à mes côtés.
- Prend la polaire grise, me dit il en tendant le vêtement devant moi. Elle mettra parfaitement tes seins en valeur.
- Arrête Boby ! Imagine que mon père nous vois ! Je m'exclame en regardant derrière lui et derrière moi.
- Mais non. Aller prend ça et suis moi.
- Quoi ? Te suivre où ?
Il me prend la main et m'attire jusqu'au fond du géant magasin. Il me plaque sur le mur d'un coin sombre à côté d'un rayon de ballon de rugby et m'embrasse langoureusement.
- Boby ! Je m'exclame en le repoussant doucement.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Et me dit pas que c'est parce que t'as peur que ton père nous voit parce que actuellement c'est impossible.
Je reste silencieuse un moment tête baisser pour réfléchir. Comment lui dire sans qu'il ne s'énerve.
- Tu sais, c'est pas cool comment tu te conduis avec Lucas...
- Pardon ? Demande t-il surpris.
- Il est vraiment triste que vous vous parliez plus. Surtout qu'il ne sais pas pourquoi tu agis comme ça avec lui.
- C'est à cause de toi, lâche t-il en toute honnêteté. Pour le coup j'aurai préféré qu'il le soit moins. Bien, je m'en doutais, mais il n'a jamais répondu a mon message de l'autre jour alors je n'étais pas totalement sûr.
- Tu me fais pas confiance ?
- C'est pas ça, souffle t-il. C'est juste qu'avec toute les histoires qu'il y a eu, j'arrive pas a accepter le fait que tu sois proche d'un autre mec. Le pire c'est que la moitié des mecs de notre classe n'ont d'yeux que pour toi. Même Steve qui est en couple n'arrête pas de dire des trucs vachement déplacer qu'il pourrait te faire si vous étiez seule... si tu vois ce que je veux dire.
- La n'est pas la question. Lucas lui n'as jamais montrer aucun signe d'attirance envers moi et tu le sais !
Il souffle bruyamment pour manifester son agacement naissant.

Il s'éloigne un peu de moi et me scrute légèrement.
- Quoi?
- Jamais je n'avais était jaloux avant de te rencontrer. Jamais à ce point là.
- Les mecs jaloux c'est pas trop mon truc.
Il s'avance vers moi et colle sont front au mien.
- Ah ouais ? Demande t-il avec une voix si sexy qu'elle me fit frissonner.
- Si je te le dit, dis je la voix tremblotant de désir.
- Ça n'a pas l'air de valoir pour moi, me répond t-il avant de deposer un doux baiser sur mes lèvres.
- Je vous dérange peut-être, glisse une voix à nos côtés.
Bobby se retourne brusquement, he penche ma tête et son père nous regarde amuser. Pendant un seconde j'ai cru que c'était le mien.
- Papa ! S'exclame t-il en essayant de disimuler le peu de d'étonnement que l'on peu dicerner dans sa voix.
Je pensais que...
- Je suis venu pour les ballons. Si vous vouliez vous faire discret, vous vous êtes trompés de rayon dit-il en prenant un ballon dans ses mains.

Je me decolle du mur, salut le père de Boby et avant de quitter le rayon je l'entend me dire :
- Je t'appele ce soir, on a pas fini de parler.
Sur ce je continue mon chemin p'us anxieuse que jamais. Le père de Boby n'est pas du genre à parler a tord et a traver comme sa mère mais tout de même... Lui et mon père bavarde énormément ensemble lorsqu'ils se croisent et dieu seule sait combien de fois ils se croisent dans la semaines. Si il fait ne serai-ce qu'une alusion concernant ma relation avec son fils. Mon père va tout de suite comprendre. Pourquoi faut-il que mon père comprennent et découvre toujours tout. Comme le jour de mes douze ans où j'ai essayait de reprendre contacte avec ma mère ce qui etait dailleur stupide, irréfléchie et sans doute l'une des pires erreur de ma vie, bien lui par je ne sais quel moyen avait deviner tout ce que je manigançait.
- Je l'ai vu te sourire, dit mon père en mettant le contact de la voiture.
- Me sourire ? Je demande après mettre racler la gorge.
- Vous n'avez pas l'air d'être en froid comme tu me la si bien expliquer l'autre jour dans la voiture.
- On a fait partie du même groupe en sport Lundi dernier et l'ambiance dans l'equipe etait tendu a cause de lui et moi, alors le professeur nous a dit de régler nos problème une bonne fois pour toute et de participer correctement au cour, dis je me surprennant a mentir. On a donc parler et tout mis a plat et on s'est en quelque sorte réconcilier mais ça ne va pas plus loin.

Il acquiesce la tête et commence a rouler. Même s'il veut me faire croire qu'il a avaler la pilule, je sais que ce n'est pas le cas. Je vais devoir faire encore plus attention maintenant. Comme si j'avais besoin de ça, géniale merci Boby !