Mon départ se faisait de Houston au Texas ma ville natale. Pour faire un trajet en autobus d'environ 2 JOURS. Mon itinéraire que j'ai écrie sur un bout de papier me sera vraiment utile, je le regarde pour ne pas me tromper. Il est écris : 18h55 Houston Amtrak - (15 arrêt, 1 jours 13h) - 05h35 Los Angeles Union Station.- 05h46 Cesar E Chavez (2min sans arrêt) N° arrêt 656 - 06h00 Union Station Patsaouras en Megabus (7h40min 3 arrêt) vers San Francisco, CA. -13h46 Townsed St &4th St ( 8 min 8 arrêt) 14hh01 Montgomery St (36 min 11 arrêt) - 15h12 Richmond Transit Station (1h36min 4 arrêt) - 16h48 SACRAMENTO !
Mon père vient me chercher en voiture devant l'arrêt de l'autobus, lorsque je descendue l'air chaud me chatouillât le visage en ce mois de Septembre. La chaleur de ce temps me fit rosir l'arrondie de mes joues, mes cheveux flamboyant me coller au visage il devait faire 30°C. Je marchais pour rejoindre mon géniteur qui me fit un signe pour que je le voie. Comme si il avait peur que je ne le reconnaisse pas. Je trainai ma valise sur ses roulettes, avant d'arriver devant lui. Oscar Mills. Mon père. Un grand homme 1m85 aux cheveux noir corbeau, des yeux vert gris profond. Une barbe de motard, il porte son blouson en cuir noir, un jean bleu nui et ses bottes de motard aussi qui m'était tout le temps je l'ai jamais vu autrement à vrai dire. Il a des pattes d'oie au coin des yeux et une cicatrice au sourcil droit, faite un combat de boxe lorsqu'il était plus jeune. J'aime son air de motard.
Je déposai ma valise a mes coté, avant de fourrer mes mains dans mes poches. Il s'avança en se penchant pour m'enlacer. Et bizarrement, je ne me sentie pas toute chose comme je l'avais imaginer. C'était agréable d'être dans les bras de mon père, je me permis de lui embrasser la joue, lui décochant un énorme sourire. << Tu as grandie.>> dit il en se grattant l'arrière de la tête. <<Il faut bien>> ricanai-je, mal l'aise. <<Ton trajet c'est bien passé?>> <<Oui, j'ai lu tout le temps et dormie lorsque j'ai pu. Je n'ai pas vu le temps passer?>> Il me sourit. << Tu lis toujours autant?>> << Oui toujours. Et toi comment tu vas?>> Il tâtonna sa tête de droite à gauche, son regard se fit tendre et je me souviens combien il m'avait manqué. <<Ca va. Je tien encore la route.>> Je rie, en secouant la tête et il me fit signe de rejoindre la voiture , il porta la valise dans sa main droite et passa son bras gauche sur mon épaule. J'eus un nouveau sourire. Le soleil filtrait à travers un petit nuage qui se fit plus clair.
Une fois arrivé devant sa voiture une Buick Riviera de 1973 noir, le petit bijoux de mon père en plus de sa Hunting Harleys de 1980 FXB son bébé comme il dit, qui doit être dans le garage de sa maison. Il n'allait pas venir me cherche avec sa grosse moto quand même. Il mis ma valise dans le coffre, en lâchent quelques rires parce que le capot ne voulait pas se fermer. Je montais à bord côté passager mettant ma ceinture. Mon père s'installa au volant et démarra la caisse dans un bruit pétaradant. Le trajet ne se fit dans le silence comme je l'avais penser. Il me parla de sa vie à Sacramento, qu'il espérait réellement que je m'y plaise, qu'il avait repeint ma chambre avant mon arriver, as couleurs que j'aimais. Puis il me posa quelques questions sur ma vie à Houston. Si ça n'allait pas me manquer ? Je lui répondis par non catégorique qu'il ne releva pas. Si mes amis allaient me manquer ? Je n'en avais pas vraiment, j'avais plutôt des camarades de classe avec qui j'échanger quelques mots, mais pas d'amis véritable. Pas une fois, il n'aborda le sujet de mes différentes facultés accumulées depuis l'âge de mes Six as, après l'accident, mon métabolismes avait été plus particulier et hors du commun.
Ma vue c'étais amélioré, je pouvais contrôler les objets et aussi le feu, l'eaux par exemple seulement avec la pensé. Mon organisme se régénérer plus rapidement que les autres. Les plaies se refermaient presque immédiatement après avoir été faites. Sans vous parler de ce que je pouvais faire avec mes mains sur des blessures, je pouvais faire disparaître des bleus ou une cicatrice ou encore un trou dans la peau, seulement en passant ma paume dessus ou bien les faire réapparaitre. Et le pus énorme était que je pouvais me rendre invisible. Mon père n'avait jamais était effrayé devant c'est changements. Au contraire, il était fasciné. Contrairement à ma génitrice, qui me haïssait depuis que je suis devenu comme ceci. Elle avait peur de moi en réalité, parce qu'elle savait de quoi j'étais capable.
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Nous passons le seuil de la maison de Oscar qui avait bien changé depuis ma dernière visite il y a 13 mois. J'étais venue passer 15 jours au mois de Août dernier. L'entrée se trouver dans le salon, les murs blanc et son immobilier dans les ton gris un canapé en cuir, une petite table basse et un écran plat accroché au mur en face, le sol était avec des lattes de bois massif foncé, tout à fait charmant, un style très masculin était sur ma gauche. La cuisine toutes équipée sur ma droite, avait changer aussi elle était plus rouge mais chocolat partout sur les meubles et les murs dans un blanc cassé. Une grande table ronde en plein milieu avec quatre chaises. Et au milieu des deux pièces au fond il y avait des escaliers en bois pour monté à l'étage où se trouver sur la gauche la porte de la chambre de mon père. A droite la porte de ma chambre et au milieux des deux porte des chambres, la porte de la salle de bain. On monte donc à l'étage mon père me dit d'ouvrir la porte de ma nouvelle chambre, ce que je fis et découvris ma nouvelle pièce Favorite. Je m'avancé de quelque pas bouche ouverte. les murs qui était autre fois rose pale, était à présent de couleur lilas, face à moi ce trouve un lit gigogne avec la couverture et un gros coussin au rayures blanc immaculé et gris foncé. Au sol est posé un tapis de couleur gris clair, sur ma gauche un bureau avec des étagères au dessus où je pourrais mettre tous mes livres enfin si il y assez de place, l'armoire à deux porte blanc juste à coté. Et sur ma droite une porte fenêtre qui mène sur un balcon qui donner sur le petit jardin fleuris, les rideaux en voilage blanc sont ouvert. << Papa, c'est vraiment magnifique, j'aime beaucoup se que tu as fait.>> << Elle te plait ?>> << Oui beaucoup, et puis j'aime la couleur des murs en lilas, merci papa c'est gentil se que tu as fait>> << C'est normal, je sais maintenant que tu es grande alors il te fallait une chambre de ton âge.>> dit il en me tapotant la joue de son doigt. << Je te laisse déballé tes affaire tranquillement, moi pendant se temps je vais faire quelques courses.>> J'acquiesçai et il sorti en referment la porte derrière lui. Je pris ma valise est la déposa sur le lit. Je commençai à enlever mes vêtements de la valise pour les ranger directement dans l'armoire. Il me restait mes affaires de cours et tout mes livres que je laissai pour plus tard. Je me mis par la fenêtre, Ma Vie commençai à partir de maintenant. Me réhabituer à la compagnie de mon père. Aux gens que je connaissait que très peu. La peur de ne pas réussir et d'être encore malheureuse malgré tout mes efforts pour que se soit différent est toujours là. J'ai fuit Houston à cause d'une mère tyrannique et d'un ancien beau père débauché " je vous parlerai de lui plus tard". Je n'avais pas amis ici et j'en aurai surement pas de toute manière. Je n'aime pas du tout me mêler aux autres .
Note de l'auteur :
Il faut me dire si ca vous Plais et si je Connu a vous Posté des Chapitre ou doit je Arrêté parce que c'est pas Intéressent ?
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Red fiery #pause#
FantasyCameron Mills, l'as bien compris. Elle n'avait que Dix-huit ans mais traine derrière elle un lourd passé brumeux et tortueux, qu'était son secret dévorant. Cherchant à emprunter la voie de l'isolement s'était différencier corps et âme du commun des...