la jalousie d'Arthur

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Vous vous demander quel a été la première jalousie d'amour d'Arthur ? son premier baiser? Tout est dans se chapitre ! *ouaiiiis*

Arthur était littéralement surexciter aujourd'hui. Il avait attendu France toute la journée car celui-ci était partit depuis deux mois en mission en Espagne. Il lui manquait énormément. Il avait u la merveilleuse idée de confectionner un jolie collier de fleurs pour son retour.

Après quel que heurs a tressé son collier, il fini enfin et attendit France la ou ils se retrouvaient d'habitude après se genre d'événement.

Il chercha Francis du regard, impatient. Il entendit la voix familière de France se rapprocher, serrant son cadeau dans ses petites mains il marcha rapidement pour rattraper la jolie voix. Mais ce qu'il vit lui serra le cœur.

France discutait avec une autre nation qu'il n'avait jamais vu, des cheveux marron ornait sa tête, une peau mate colorait sa peau et deux yeux vert aux éclats rieur. Se dernier enroulait son bras sans retenue autour des épaules de Francis. Et ils discutait tout les deux, en riant aux éclat..pas comme de simples amis le ferait, non, ils étaient beaucoup trop proche a son gout. Il ne voulait même pas savoir qui était cette nation étranger qui salissait son sol, il en oublie son cadeau qu'il avait fais tombé par terre en ayant aperçu le spectacle.

Il fulminait, il couru en pleurant vers SON Francis, poussant l'horrible brun sur le coté qui accaparait son France a lui, et il se mit devant la nation blonde en écartant les bras d'une façon protecteur en s'adressant a l'intrus : « T-toi ! qu-qui est tu d'abord ? t-tu ne t-touchera plus a mon Frwance ! C'est mon Frwance ! Le mien ! Tu na pas le droit ! » et il prit le bras de la nation française qui avait une expression contrarié, pour l'emmener aux flanc d'une colline proche, courant aussi vite que ses petits pieds le pouvait, semant le brun qui voulait lui volé son Francis.

Une fois a destination, le grand blond avait préféré se taire durant le trajet mais maintenant qu'ils étaient seuls ils pouvaient discuter et remettre en question se qui venait de se produire.

France croisa les bras et son expression mélangeait, colère et incompréhension.

« Arthur ! Calme-toi mon lapin ! Nous étions juste en trains de discuter voyons ! Tu t'es très mal comporté ! as-Tu oublié les règles de politesses que je t'ai apprises ? » dit le français d'un air sévère et en fronçant ses sourcils de mécontentement , il n'aimais pas gronder son lapin mais la il avait dépassé les bornes en se comportant ainsi envers un de ses meilleure amis , qui plus es.

Arthur se lamenta en gémissant des excuses plus ou moins compréhensible tellement il reniflait, car il pleurait beaucoup. C'était très rare qu'il se face gronder par son Francis, il n'aimait pas du tout être gronder. « m-mais frwance ! Ce n'est pas juuuuste ! Je suis sure qu'il est très méchant et te veut rien que pour lui ! »

Le visage de France se radoucie très vite laissant place a un visage l'égerment souriant et il se baissa pour mieux voir son petit Lapin et lui caressa la tête « Arthur..ce n'était que Antonio, la nation Espagnole. Un vielle ami a moi que je n'avait pas vu depuis des lustres, il ne me veux rien, ne t'en fais pas." Voyant la mine contrarier et boudeuse larmoyante du petit il repris " Disons qu'il est juste très tactile..huum dis-donc petit lapin sauvage..tu ne serait pas jaloux par hasard ? »

Arthur s'arrêta de pleuré petit-a-petit et il commença a réfléchir cherchant la définition de ce mot même si pourtant il était sur de l'avoir sur le bout de la langue. Lui , jaloux ? ...il n'était pas jaloux ! N'importe quoi ! c'est juste qu'il n'aimait pas quand quel qu'un d'autre que lui approchait de trop près son France, que France passe son temps avec quel qu'un d'autre que lui, que tout les sourires de France lui était destiner et a personne d'autre. Personne. C'est tout.

Magie TemporelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant