Chapitre 33

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Je regarda mon portable, et mon sourire s'effaça.

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PDV Luke :

Jesse avait gueuler sur mon ex, Aleisha, et s'a m'avait amusé de la voir la remettre à sa place.

Elle croisa mon regard, et je lui sourit. Elle me fit un petit sourire en retour, et parla avec Dylan.

Elle prit son portable, et son sourire s'effaça.

Dylan pris une mine inquiète, et Jesse lui dit quelque chose, avant de partir dans le lycée rapidement.

Je la suivi du regard, et retourna mon regard vers Dylan.

Il paraissait perplexe. Il me regarda, et parti à l'intérieur du lycée lui aussi.
Je me retint de les rejoindre.

Jesse ressorti du bahut, casque à la main, et Dylan derrière elle.

Elle alla à sa moto, sorti un casque du coffre intégré qu'elle possédait, et le tendit à Dylan, qui le mit.

Elle monta sur la moto, l'alluma, faisant rugir le moteur.

Dylan s'installa derrière elle, et ils disparurent sur la route.

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PDV Jesse :

Dylan s'agrippait à moi comme si sa vie en dépendait.

Ce qui en même temps n'est pas faux.

Je regarda le compteur, et vis 100km/h.

Je comprend mieux pourquoi il s'aggrippe comme ça.

J'arrivais chez moi, gara ma moto dans l'allée, et couru à l'intérieur de celle-ci.

Bran se tenait dans le salon, d'autres loups de sa meute, les plus importants, étaient installés dans le canapé.

Moi : Mmpfffmm ?!

J'enleva mon casque, et senti Dylan derrière moi.

Moi : Comment ça révéler notre existence aux humain ?!

Bran : Jesse, calme toi-

Moi : Non ! Non, je me calmerai pas ! Les humains vont nous traqués, nous foutrent dans des labos, nous faire toutes sortes de test horrible ! Et je ne veux qu'aucun loup ne vive ça !

Je l'avais coupée, et je vis à ses traits crispés qu'il se retenait de m'en mettre une.

Bran : Jesse, le gouvernement se doutent de certaines choses.

Moi : Laisse les dans le doute.

Il souffla.

Bran : Si les humains savait, nous ne vivrions plus reclu.

Il marqua une pause.

Bran : Nous serions libres.

Moi : Libre de se faire défiguré par des agents en noir ouais.

Aaron : Je ne vois pas ce que Jesse fait là.

Je me tourna vers lui.

Moi : Je ne vois pas comment tu peux être lieutenant et Alpha sachant que même un nouveau né te battrai avec son petit doigt de pied.

Il grogna et voulu répliquer, mais Bran nous fit tairent d'un raclement de gorge.

Aaron ne m'avait jamais aimée, et cet amour à toujours été réciproque.

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