Chapitre 28

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Je dois la voir.

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PDV Luke :

Je gara ma moto à 100 mètres de chez elle, et continua le chemin à pied.

Je croisa un grand mec brun, pâle comme la mort.

Vampire.

Je grogna quand il me frôla, et il sourit, continuant son chemin. Je fis de même, et arriva enfin sous la fenêtre de Jesse.

Heureusement qu'elle la laisse toujours ouverte.

Je pris de l'élan, et sauta, m'accrochant au rebord

Je me hissa, et deux yeux marrons apparurent.

Jesse : Bouh.

Je sursauta, et lâcha le rebord. Je sentis mon fessier atterrir lourdement contre la pelouse.

Elle rigola, et je lui donna un regard réprobateur.

Jesse : Haha, ta tête. Énorme !

Luke : Un peu comme mon sexe.

Je crut la voir rougir à mes paroles, puis elle leva les yeux au ciel.

Jesse : Que me veux tu Hemmings ?

Moi : Luke, arrête avec tes "Hemmings".

Elle leva un sourcil.

Jesse : Comme je te disais, Hemmings, que me veux tu ?

Ce fut à mon tour de lever les yeux au ciel.

Moi : Je voulais te voir.

Jesse : En quel honneur ?

Moi : Je sais pas, je voulais juste te voir !

Elle sourit.

Jesse : Bonne nuit, Luke.

Elle ferma sa fenêtre, et je me retrouva comme un con, assit sur son gazon, pour une seule et unique raison.

La voir.

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-08:35-

Elle est assise devant, adossée à la fenêtre, et discute avec Dylan, un sourire aux lèvres.

Elle me jette de temps en temps un regard, mais retourne vite à sa discussion.

Je crois que je l'ai intrigué hier soir.

Et à vrai dire, je me suis intrigué moi même.

M. Hopner : Hemmings !

Je leva les yeux vers lui.

Moi : C'est moi.

M. Hopner : Suis le cours, au lieu de comptempler ta camarade.

Jesse rigola, et me lança un bref regard.

Moi : J'me fais chier, alors j'observe les imperfections que madame nature nous a offer-

Je n'eut pas le temps de finir que je senti quelqu'un me soulever de mon siège et me plaquer contre le mur.

Dylan : Pardon ?

Je lui mis une droite, et il ne bougea pas.

Je grogna, le poussa, et lui sauta dessus.

Il atterrit lourdement sur les tables derrière nous, les cassant.

Je le rua de coups, voyant les blessures que je lui donner guérir par elles mêmes.

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