"Réveille toi incapable".Il termina sa phrase en m'agrippant le bras tellement fort que je savais déjà que j'allais avoir un bleu. Pour changer. Mon père me fit descendre de son jet privé ne dé-serrant pas son emprise sur mon bras, qui me faisait souffrir. Une fois sortie de l'aéroport nous montâmes dans la voiture de mon père, dans laquelle le chauffeur nous attendait. Il démarra, direction la maison.
Et... Wouah! San Francisco est magnifique. Mais qu'est-ce que nous venions faire ici? Mon père refuse de répondre à cette question, disant que c'est inutile que je m'intéresse à ses affaires vu que, selon lui, je finirais prostituée comme ma mère. Ma mère n'était pas une prostituée, loin de là. C'était la femme la plus courageuse que je connaisse,c'est vrai, qui resterait avec un mari qui la frappe? Mais elle n'avait pas le choix, lorsqu'elle c'était mariée avec lui, elle ne pensait que sa vie serait chamboulée. Ma mère fut forte, mais pas assez. Aujourd'hui, elle n'est plus là, ça fait seulement 3 ans..Elle ne supportait plus la douleur et elle a décidée de partir, de son plein gré. La douleur reste immense et mon père ne cesse de répéter qu'elle m'a abandonnée mais je sais que j'aurais fait la même chose. Je ne lui en voudrais jamais à elle, mais à moi oui.Je m'en veux terriblement. Pourquoi n'ai-je pas agis.. Je suis sûre que j'aurais pu faire quelque chose, la raisonner mais nous n'aurions pu nous sauvées, la fortune appartient à mon père. Si nous étions parties nous serions sûrement dehors.
Une fois arrivés à la maison, toutes nos affaires étaient déjà rangées et tout était meublé. Je couru hors de la voiture et me jeta dans les bras de Gina. Gina est la maîtresse de maison. Je l'adore. Elle est là depuis aussi longtemps que je vis. C'est comme une deuxième maman,elle est adorable. Elle aurait pu partir elle aussi, dénoncer mon père à la police mais mon père l'en a empêchée. Gina est pauvre alors sans mon père elle se retrouverait à la rue. Ici, elle a un logement et un salaire. Je crois que c'est la seule personne que jamais je ne pourrais arrêter d'aimer. Gina me montra ma chambre,elle était simple, les murs étaient blancs avec une table de chevet et un bureau blanc, les draps de mon lits étaient blancs aussi comme celui-ci. Il y avait deux autres portes, une qui donnait sur un dressing dans lequel Gina avait rangé tout mes vêtements et l'autre qui donnait sur une salle de bain. Je voyais le regard inquiet de Gina, je me demandais quand est-ce qu'elle allait me dire ce qu'elle avait sur le cœur. "Que se passe-t-il Gina?", elle me regarda avec se même air soucieux. "Est-ce qu'il continue?", je savais très bien de quoi elle parlait mais je n'avais pas la force de répondre, les larmes menaçaient de tomber alors si un seul son sortait de ma bouche, je ne pourrais les retenir. Gina me pris dans ses bras,l'endroit le plus réconfortant que je connaissais, et le seul. "Oh mon chaton, je serais toujours à quoiqu'il arrive, je te le promet!", je me retirais de son étreinte et lui murmura avec certitude. "Un jour on se sauvera Gina, je te le promet".
Il était tard et demain je devais aller au lycée. Vous savez ce que c'est que d'arriver en milieu d'année? Les regards son tous braqués sur nous et les chuchotements se font entendre, les rumeurs vont vite, tu ne peux te fier à personne de peur que tes secrets soient dévoilés. J'ai eu pour mauvaise habitude de m'attacher aux gens qui se montraient accueillant, chaque année, me faisant des amis. Pour les quitter parla suite parce que mon père décidait de partir. Et je n'avais pas mon mot à dire. Je décidai d'aller me coucher, la journée de demain sera dure.
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Hello! Pour commencer je tiens à vous informer que c'est ma toute première histoire et donc que je débute. Je suis débordante d'imagination pour le moment en espérant que ça continue! Le premier chapitre arrivera bientôt, sûrement dans la foulée, en attendant, j'attends vos avis avec impatience!
Bisouilles, Emma.
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Mr. Naughty
Teen Fiction« Et si je te disais que quoique tu fasses, ou quoi que tu dises tu resteras une belle ordure à mes yeux? » Lui crachais-je, un regard méprisant et remplis de haine. « Tu as tout de même dit que j'étais beau » Répondit-il sur un ton se voulant taqui...