Redis le !

Chapitre 11

Précédemment

J'ai un appel de Jalis. Je décroche.

Moi : Allo ?

Une voix de femme : Allo Lucy ... Sniff ... c'est Lara !

Moi : Qu'est-ce qui a ?! Pourquoi tu pleure ?!

Lara : Euuuuh Bha ... Sniff ... c'est Natsu

Moi : Quoi Natsu ?!

Lara : Sniff ... Il vient de se réveillé !

J'ai raccroché à la seconde même et me suis dépêché d'aller a la voiture en prévenant Sting de ce que je viens d'apprendre. On est arrivé la bas en moins de 15 minutes. Sur tout le chemin je me posais des question. Est ce qu'il va bien ? Qu'est ce qui va se passer au moment où on va se voir ? Est ce qu'il se souvient de ce qu'il s'est passé ? Est ce qu'il aura des séquelles ? Le médecin nous avait prévenu que c'était probable qu'il en ai aussi bien physique que mentale.
En arrivant y'avais juste sa famille. Quand je suis arrivé son père m'a retenu pour ne pas entré dans la salle.

Ignir : On a pas le droit d'entrer. Ils font des tests.

Moi : Alors ... Il est vraiment réveillé ? Est ce qu'il va bien ?

Lara : C'est Jalis qui était avec lui quand il s'est réveillé nous on ne l'a pas vu.

Moi : Où est Jalis ?

Lara : Il est descendu fumer pour se "détendre".

Moi : Ok.

On a patienté la, personne n'a prévenu les autres. On les préviendra après. Au bout de 10 minutes un médecin suivit de 2 infirmières sont sortit de la pièce.

Le médecin : Alors Natsu Dra ...

Moi : on peut le voir ?

Le médecin : Oui mais ...

Je suis aller dans la chambre sans entendre la suite. Il a tourné la tête vers moi. J'arrive pas a y croire. J'ai mis ma main devant ma bouche et j'ai pleurer.

Natsu : Eh pleure pas ... Viens la ...

Sa voix était tellement faible. Je me suis approché de lui.

Natsu : Ça va ?

Moi : Tu me demande a moi si ça va alors que c'est toi qui est allonger dans un lit d'hôpital ?

Natsu : Oui je m'inquiète de t'avoir laisser seule. On est quel jour ?

Moi : Lundi

Natsu : j'ai loupé l'écho ?

Moi : Oui

Natsu : Oh merde ...

Il a rejeter sa tête en arrière, a passé ses mains sur son visage.

Moi : C'est pas grave ! Y'en aura d'autre.