81. Triste vérité (Poème 27)

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Lorsque j'ai compris,
Que ça ne serait pas possible,
J'ai admis,
Que me détruire était ta cible.

J'aurais bien aimé te dire,
À quel point je te haïssait,
De m'avoir laisser espérer,
Car l'espoir est la torture la plus pire.

Lorsque j'ai vu,
Ton visage se transformer,
En un masque inconnu,
Je me suis détestée.

J'aurais voulu te dire,
À quel point j'étais désolée;
T'exprimer mes sentiments désespérés,
Et j'aurais tant voulu mourir.

Lorsque je me suis rendue compte,
Que j'avais été manipulée jusque là,
Je me suis rendue compte,
Qu'avant que elle-même ne se rompe,
J'aurais du couper ma connection à toi.

Lorsque je m'étais rendue,
Compte que je t'aimais,
J'ai voulu,
Te repousser,
Tu m'en as empêchée,
Tu y as cru.

Aujourd'hui,
Je te déteste,
Et je vis,
Avec ce qu'il me reste.

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