90. Poème 35

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Mes yeux me mentent, désormais
Tout est faux,
Je les hais,
Comme mon cerveau,
Tout est lié,
Lui et mon coeur,
Pour mon malheur,
Je me perds,
Entre prison et liberté,
Entourée de tes mystères.

Une illusion de l'un,
L'Amour pur pour l'autre,
Mais c'est trop tard, hein,
C'est juste ma faute.

Ça me tue,
Cette situation crue,
Connerie sur connerie,
C'est ainsi ma vie.

Peut-être que tu comprendrais,
Mais peut-être que je ne serai,
Même pas sûre de rester à tes côtés,
Car ma force m'a désertée,
Et je m'en veux d'avoir tout tué.

En tout cas,
Un merci, du plus profond de mon coeur,
Pour cette énorme part de bonheur,
Que j'ai pu partager avec toi.

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