I was the other one

Chapitre 12

Des que j'ouvris la porte je fus scotchée par la personne qui se tenait devant moi, il ne prononça pas un mot me laissant le temps d'assimiler le faites qu'il soit bel et bien là devant moi a cet instant. On restait là a se regarder dans le blanc des yeux pendant dix bonnes minutes.

- Je peux vous aidez, dis-je du ton le plus cordiale et professionnel que je pus.

Il ferma lourdement les yeux et baissa je sais qu'après tout ce qui s'est passer notre relation et plus que professionnelle  mais j'avais décider de passer a autre chose et de laisser le passe derrière moi, et David n'est que mon ancien employeur.

- Je peux entrer? dit-il en en relevant les yeux vers moi.

Je fus surprise de sa question, me voyant hésiter il ajouta:

- S'il te plais.

Je soupirais avant de le laisser passer.

- Merci, bafouilla-t-il en entrant.

Une fois a l'intérieur, je croisais les bras en attendant se qu'il pouvait bien avoir a me dire. 

- Ecoute Kat, je sais que ce qui s'est passer entre nous n'était pas idéale, loin de là et que je t'ai fais souffrir. Mais je veux que tu sache que tu n'es pas la seul a avoir souffert dans l'histoire...

Je fronçais les sourcils pendant qu'il cherchait ses mots, le regard lourd comme si il ne voulait pas trop en parler. Il prit une grande inspiration avant de reprendre:

- Notre relation n'est certes pas facile, mais elle es ce qu'elle est et jour ou tu m'a dit que tu n'étais qu'une passade dans ma vie et que tu avais été trop naïve pour y croire et que pour moi ce n'était que physique pour moi, les yeux encore humide, c'était probablement la chose la plus difficile a entendre de toute ma vie. Dans l'histoire c'est moi qui me suis comporter en idiot, j'ai été lâche et je ne te dirais jamais assez pardon pour ça. Je te demande pardon pour ne pas avoir été assez courageux pour assumer mes sentiments a ton égard, je te demande pardon d'avoir choisi la facilité. Tout ça je me suis rendu compte quand tu es partie, je me rappelais de tes boucles qui dévalaient sur ton oreiller quand tu dormais, tout ses souvenirs me hantaient pendant ces derniers jours, même si j'essayais de me ramener a la raison de me dire que ma femme c'est Carol et puis c'est tout, je ne le pouvais pas. Et peut être que c'est trop tard, peut être que je t'ai trop fait souffrir pour ça mais.... Kat je t'aime, dure dans ma vie avec moi..

J'étais bouche bée, ces derniers mots sont restés en suspens a tel point qu'ils avaient emplis la pièce toute entière. Quand a moi je n'y crois, je ne pouvais pas y croire, a tel point que je me mettais a penser que ce n'était qu'un rêve et que tout ça était faux, mais son regard impatient me fit comprendre que c'était bel et bien la réalité. J'essayais de parler mais aucun ne sortait de ma bouche, une ombre passa sur son visage et son beau sourire disparu, en me voyant ne rien dire. Il soupira et pris un air désolé.

- C'est pas grave, dit-il tellement bas que je suis étonné de l'avoir entendu =.

Il se retourna et commença a marcher. En le voyant dos a moi en train de s'éloigner mon cœur se serra dans ma poitrine.

- David.,dis-je d'une toue petite voix enrouée par l'émotion.

Il se retourna en un éclaire, en voyant l'espoir dans ses yeux des larmes roulèrent sur mes joues. Il couru vers moi avant de soulever et de m'embrasser durant de longues minutes. Je mis tout mon amour dans se baiser, toutes mes joies, mes peines, tout. Il se détacha de moi pour me contempler, en voyant mes joues humides il fronça les sourcils et leva la main vers ma joue droite.

- Ce sont des larmes de joies, dis-je en retenant son bras.

Son expression se détendit immédiatement et il me prit dans ses bras. C'est alors que je me rappelais de quelque chose, c'est vrai qu'avec tout ça j'avais carrément oublier Carol, je l'avais enfouie au fin fond de ma mémoire. 

- Qu'est ce qu'il y a? me demanda-t-il en me voyant grimacer.

Je me détachais de lui, oh non, c'est une blague il veut que je joue encore les maîtresse?

- Et Carol? dis-je sèchement.

- Ah j'ai oublier, je l'ai quitté, dit-il d'un ton un peu trop léger pour ce genre d'annonce.

- Et qu'est ce qu'elle a dit?

- Elle a appeler son père et le mien, dit-il toujours sur le même ton.

- Et ton entreprise?

- Oh tu sais si j'ai cette entreprise c'est bien grâce a mon père, sans lui je n'aurais jamais eu les fonds nécessaire ni mes contacts et en retour je devais me marier avec la fille de son choix, et quand il m'a présenter Carol, je l'ai trouver belle et intelligente alors je l'ai épouser, mais je n'ai jamais rien ressentie pour elle hormis de l'affection, mais je savais que elle avait des sentiments pour moi alors je l'ai toujours respectée et traitée de la meilleure façon qu'il soit, mais je savais qu'elle n'était pas quelqu'un de bien, mais je m'y suis fait et je me suis contenter de ça, jusqu'au jour ou la délicieuse Katherine Harris est entrer dans mon bureau et a changer ma vie, dit-il en me tirant vers lui

A après ses quelques mots il me tint fermement les hanches contre lui, a se geste mon cœur s'emballa et mes joues s'enflammèrent. Je fus emplis de bonheur a tel point que je ne pouvais pas y croire. Mais il y avait une dernière chose a éclaircir.

- Elle sait pour nous?

- Oui. Elle ma demander pourquoi je m'en allai et je lui ai tout expliquer.

Je fronçais les sourcils, même si je la portait pas dans mon cœur, ce qui lui arrivait n'étais pas juste en plus j'étais sur qu'elle l'aimait, je le voyait dans ses yeux.

- A quoi tu pense? dit-il en me caressant la joue.

- Je ne peux pas m'empêcher de me sentir coupable, elle ne mérite pas ça.

- Je sais, mais je n'y peu rien, dit-il en baissant la tête.

Il avait raison, on n'avait pas choisi de tomber amoureux et de briser se mariage loin de là.

- N'y pense plus, me dit-il avant de me humer les cheveux.

Je sentais son souffle dans mon cou et tout mon corps répondait, il m'avait vraiment manquer.

- Je t'aime.

- Je t'aime, me dit-il avant de me soulever et de mettre mes jambes sur ses hanches.

- Tu m'avais manquer, dis-je en prenant sa tête dans mes mains pendant qu'il marchait vers la chambre.

- Toi aussi, dit-il en me souriant.

C'était probablement la meilleure journée de ma vie, je savais que Carol et la famille de David allait nous causer des problèmes mais franchement a se moment là je n'y pensais pas je voulais être avec lui et lui exprimer tout mon amour. 

On y pensait pas mais on ne savait probablement pas dans quoi on se lançais...