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Des cellules. Des dizaines de cellules avec des prisonniers à l'intérieure... Mais le pire c'était les cris. Je les reconnaissait. Ses cris à elle, puis les siens. Tout les deux, simultanés. Je courrais. Je suivis les cris. J'avais les larmes aux yeux. Je ne voyais plus grand chose. Une porte... Défoncée. Une autre porte... Défoncée. Des hommes armées... Mitraillés. Puis se fut lui que j'eu sous les yeux. Je voulais qu'il souffre. Mais quelque chose m'en empêcha. Avec une étonnante lenteur, une photo tomba de son manteau. Une horrible photo. Je poussai un cris d'horreur. Je hurlais. Je me suis jetée sur lui je le rouait de coup, alors que j'aurais pu le tuer avec ma mitraillette. 


Une photo de ses deux enfants, ensanglantés.

Je le laissai là. Puis poursuivis ma route. Deux corps, enchaînés par les pieds et les jambes, baignant dans leur sang.

-DES SECOURS!!!! VITE!!!! JE VOUS EN SUPPLIE!!!!

Les secondes suivantes se passèrent comme dans un rêve. Des ambulanciers étaient arrivés entre temps. J'imagine que la vue de trois corps étendus par terre dans du sang ne devaient pas être très réjouissante, mais à se moment là, je ne sentais plus rien. Je les voyais tout les deux respirer difficilement. Je ne pouvais rien faire, j'étais trop sous le choc. J'avais beau avoir eu une formation sur ce genre de situation, rien ne me préparait à cela. Je crois que je me suis évanouie après avoir vu les ambulanciers mettre Annabelle et Raphaël, car s'étaient bien eux, sur des civières. C'est comme si en sachant qu'ils étaient en à peu près bonne main, mon esprit est parti. Je n'était plus là. Par contre quand je me suis réveillée, je n'ai pas dit le traditionnel « Où suis-je », j'ai plutôt hurlé un truc du genre de:

-OÙ SONT-ILS?!!!

L'imfirmier qui était dans la pièce à sauté au plafond. 

-Qu... Qui ça?

-Annabelle... Raphaël... Où sont-ils?

-Ils sont en salle d'opération je crois. C'est ceux qui étaient le plus mal en point?

-J'imagine... Ont-ils des chances de survivre?

-Les chances sont bonnes qu'ils survivent.

Je poussais un soupir de soulagement.

-J'ai été inconsciente combien de temps?

-Deux heures. Je vous en pris ne bouger pas, je vais chercher un médecin.

Il sortit. Malgré ce qu'il a dit, je me suis levée, ai remis mes vêtement et ai déposé la robe d'hôpital sur le lit. J'attendis le médecin. Il finit par arriver.

-Est-ce que le propriétaire de l'établissement est mort? lui demandais-je précipitamment.

-Oui, il est mort en salle de réanimation.

-Bien... Attendez, quoi? Que faisait-il en salle de réanimation?

-Il a bien fallut essayer de le réanimer!

-Le réanimer? Vous vous fichez de moi?!! Il aurait été jugé coupable par l'ATE de toute façon!! Vous n'auriez fait que ralentir le processus en le réanimant.

Il ne répondit pas, se rendant compte que c'était stupide de réanimer un condamné à mort. Il repartit, voyant que je n'avais pas besoin d'aide. Puis je me rendit pleinement compte de se que cela signifiait. Il était mort, c'était fini...


Je me demandais si vous vouliez que sa finisse ou si vous préféreriez que je la continu. Si j'ai plus d'avis qui veulent qu'elle se finisse je vais mettre un épilogue et se sera fini. Si j'ai plus d'avis qui veulent que je la continu j'ai encore une ou deux idées, alors c'est à vous de choisir...


EsclavageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant