Chapitre 4 -j'ai compris

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Je rentre dans ma chambre, m'installe sur mon lit tranquillement. Ma chambre et gris et blanche et elle a des stickers argentés collés un peu partout. J'ouvre mon telephone et écoute de la music...

??:Mae-lene !! Mae ?

Pourquoi il se met à crier ?

Moi: Quoi ! Qu'est ce qui se passe encore ?
Mon pere: Mae ya Amelie !
Oh ce n'est qu'elle...J'ai du m'endormir. je me retourne et regarde l'heure,
13h43.
Je descend doucement les escaliers,
Moi: je ne te fais pas la bise. Je suis malade.
Elle me dévisage puis regarde mon père d'un air choquée puis elle me dit " ok mais tu peux dire bonjour aussi". Je la toise. Je ne l'aime vraiment pas , elle passe son temps à me dévisager comme si j'avais la peste ! Franchement elle ne me fait pas peur.. J'en ai connue des pires et crois moi elle ce n'est qu'un moucheron et je l'écrase quand elle veut...Je me dirige vers la cuisine , me sert un verre de jus d'orange  et monte quand on me dit : "Mae prépare toi. On sort " .
Je rentre dans la salle de bain me douche puis retourne dans ma chambre. Je met un slim taille haute bleu marine avec une chemise blanche puis suite à la transparence de mon je décide de mettre un débardeur blanc.
Je me lisse les cheveux , pince avec une barette quelque mèche folle qui traine sur mon visage. Un léger trait d'eyeliner pour mon maquillage avec un gloss rose pâle. Je rentre ma chemise dans mon jean et prend mon gilet bleu foncé. Je descend les escaliers et vois Amelie qui me dévisage. Je toussotte légèrement ce qui attire l'attention vers moi. Je déteste que l'on me regarde alors aussitôt je me sens genée . Mon père me dit " dépêche toi ! On t'attend !".
Je descend plus vite les escaliers enfile mes chaussures et ma veste. Je monte dans la voiture de mon père suivis d'Amelie pendant que celui-ci , ferme la porte à clef.

Sur la route, personne ne parle à part quelque chuchotement de la part d Amelie au quelle il ne prend la peine de repondre.
Ont arrivent finalement devant le lycée...attend ...quoi ?  Je ne peux pas y allez !
-pap..papa ? Dis-je trop fort malgré moi
Père:  Viens  ! La principale a quelque chose à nous dire.
Je sors et descend mon gilet qui a remonté. Je vais encore me faire disputer et après des choses étranges vont se produire....
 Amélie me dresse un bref regard, ça ne sens pas bon.
Ont rentrent et voient  madame Brook , la principale, devant son bureau.
Père: bonjour, elle sert la main de mon pere puis celle d'Amelie.
Puis elle plonge son regard dans le mien, il est mêlé de tristesse et compassion... et d'un seul coup, elle tourne le regard et dit "entrez".

. Ont pénètrent dans la pièce de couleur blanc cassé accommodé de meubles anciens.
-Bonjour chère famille, elle regarde Amélie, ravie de vous connaître madame. Aujourd'hui nous ne sommes pas là pour parler de l'incident de se matin, nous sommes présent car une offre s'ouvre a toi Mae-lene. Veux-tu écoutée ? commence madame Brook
J'oche la tete en signe de réponse
- Bien...récemment j'ai reçu une publicité. Elle me la tend et dis :"lis-la... à haute voix."
Je regarde mon père et commence a lire :


"Bonjour chère principal ,
Je me nomme, monsieur Banwarth
Je suis le principal d'une autre école...mais spécialisée... en quelque sorte pour les personnes differentes, pas comme nous.
Je souhaiterais faire connaître mon école, s i l'un de vos élèves est différents, je souhaiterais l'accueillir de sorte à se qu'il sache utiliser chacune de toute ces capacités.
Cordialement,M.Banwarth

Cettepublicitéaétéenvoyeràtoutelesécolesdelarégions. "

Je lève les yeux vers la principale et dis : j'ai compris".

nous étions simplements différents..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant