Légendes Urbaines. [Part 1]

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L'image correspond au chapitre 3.

CHAPITRE 1 : L'Homme Sur La Banquette Arrière.

Rentrant de vacances et roulant sur l'autoroute, une jeune femme remarque que sa jauge d'essence commence à être basse. Elle décide alors de s'arrêter à la prochaine aire de repos pour faire le plein.
A près avoir payé, en repartant, elle remarque un homme qui lui fait signe de s'arrêter, elle l'ignore et quitte la station.
Lorsqu'elle sort de l'autoroute, l'homme la suit en voiture. De plus en plus inquiète, elle accélère et verrouille les portes de sa voiture. Elle finit par le semer à un rond-point. Soulagée, elle continue tranquillement sa route jusque chez elle et rentre dans sa maison.

En passant devant la fenêtre, elle pousse un cri : l'homme est garé devant chez elle et lui fait de nouveau signe ! Il essayait, depuis son arrêt à la station, de la prévenir que quelqu'un se cachait sur sa banquette arrière...Le temps qu'elle comprenne il était déjà trop tard, l'homme planqué derrière le siège lui trancha la gorge !

CHAPITRE 2 : Des Alligators Dans Les Egoûts.

Cette histoire se déroule à l'origine aux Etats Unis, à New York pour être plus précis, berceau de cette légende qui à fait le tour du monde. Comme souvent, la rumeur est tirée d'un fait divers bien réel.

Il faut chercher jusqu'en février 1935 pour découvrir le fond de vérité de cette légende. En cette date un groupe de jeunes gens tombèrent nez à nez avec un alligator sortant des égouts New-Yorkais, cette même année d'autres alligators sont aperçus dans le fleuve du Bronx sur l'île de Manhattan. Une vaste campagne d'extermination est lancée jusqu'en 1937, détail « oublié » de la légende.

Le zoo New-Yorkais affirme de son coté que cette histoire fait parti des légendes de la ville.

Il informe également que cette animale à sang froid ne pourrait survivre très longtemps avec les conditions qu'offrent les égouts, l'eau y étant trop froide. Cette animale comme toutes les espèces à sang froid a besoin d'une source de chaleur externe pour réguler la température de son corps. Dans une eau dont la température est inférieure à 80°F soit un peu plus de 26°C, les enzymes de l'estomac de l'alligator ne peuvent assurer leur rôle et il ne peut donc digérer les aliments ingurgités.

CHAPITRE 3 : Le Jardin Maudit.

C'est l'histoire d'un jardinier, et il adore son métier. Un jour, il acquit une nouvelle parcelle de terrain. Et comme tous les matins, il l'a bêcha. Mais un jour, il tomba sur un os.

Au début, il n'y prêta aucune attention, se disant que c'était peut-être un os enterré là par un chien. Mais au fil des jours, il découvrit d'autres ossements dans sa parcelle.

Il alla alors à la mairie, et il découvrit que sa parcelle se trouvait sur un ancien cimetière indien. Il demanda conseil au maire, qui lui recommanda de ne rien toucher jusqu'à l'arrivée des experts le lendemain.

Mais le jardinier ne put s'en empêcher, attiré par des richesses hypothétiques, et il creusa une bonne partie de la nuit.

Le lendemain, quand les experts arrivèrent, ils découvrirent le corps du jardinier, mort, et toutes les fleurs étaient fanées autour de lui.

CHAPITRE 4 : Un Bébé Au Micro-Onde.

Un soir un couple décida d'aller au restaurant en amoureux et ils laissèrent donc le bébé encore tout jeune chez eux sous la garde d'une nouvelle baby-sitter.

Ils s'en vont et préviennent la baby-sitter qu'ils ne seront pas rentrés avant tard dans la nuit étant donné qu'ils prévoient d'aller en boite après le dîner.

A peine furent t'ils partis que la baby-sitter appela ses copains pour faire une fête dans la maison du couple.

Les copains arrivent avec de l'alcool, ils se saoulent et sous l'emprise de l'alcool décident de faire une petite expérience. Ils mettent donc le bébé dans le micro-onde, et allument ce dernier.

Quand ils rouvrirent le micro-onde, le bébé n'était plus que de la matière gluante, fumante et empestant le cochon. Ils décidèrent donc de partir avant que le couple ne revienne.

En arrivant chez eux, l'homme et la femme virent les restes de leur progéniture dans le micro-onde! On n'a jamais su ce qu'était devenue la fameuse baby-sitter...

Chapitre 5 : Des Grenouilles Dans Le Ventre.

Deux grenouilles, dont l'une pesait environ deux kilos, ont surgi du ventre d'une jeune femme alors qu'elle subissait une intervention chirurgicale.

Les batraciens avaient été avalés au cours d'une soirée entre amis. Après que cette fille est ingérée une belle quantité d'alcool, elle avait relevé le pari d'avaler deux têtards qu'un ami avait ramené d'une excursion dans un marais. La suite, on la devine.

Les grenouilles avaient grandi et quelques mois après, la fille se sentait de plus en plus faible, entendait souvent des bruits bizarres dans son ventre, et avait une recrudescence de flatulences.

Elle consulta un médecin qui lui fit passer une radio. Celle-ci révéla une importante boule au niveau de l'estomac. Craignant une tumeur cancéreuse, le médecin fit pratiquer une opération pour extraire cette mystérieuse masse. Quelle ne fut la stupeur du chirurgien quand il vit sauter au-dessus de lui les deux grenouilles, dont une qui était énorme.

Durant plusieurs mois, les grenouilles avaient vécu à l'intérieur du corps de la jeune femme en s'accaparant la nourriture qu'elle ingurgitait. Alors, si votre ventre grogne souvent, peut-être devez-vous vous inquiéter ?

CHAPITRE 6 : La Bande Des Appels De Phares.

Aux Etats-Unis, à la fin des années 90, le Bureau Fédéral d'Investigation fit parvenir une télécopie à la police de chaque état qui devait enquêter sur cette affaire mais sans avertir la population pour éviter la panique.

Le bureau avertissait que sur tout le territoire une nouvelle bande pratiquait un rituel d'initiation particulièrement vicieux.

La bande des appels de phares envoyait à la nuit tombée ses nouvelles recrues sur les routes.

Elles devaient rouler tous feux éteints et attendre qu'un brave automobiliste le lui signale en faisant des appels de phares.

Cet acte serviable condamnait celui qui le faisait. Il était poursuivi, sorti de son véhicule, battu et en cadeau de départ le criminel partait sans oublier de rouler sur sa victime.

L'info ne fut connue du grand public que plusieurs années plus tard. Ces crimes, que la police n'avait jamais pu interrompre, s'arrêtèrent car plus aucun automobiliste ne fit d'appel de phares.


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