Chapitre 15

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Après mon cris j'ai reçu un appel de Lydia, elle m'avait entendu, elle m'a dit qu'elle m'aiderait avec mon coté banshee et on s'est promis de s'aider et de se soutenir mutuellement. Je pense que cela va beaucoup nous rapprocher.

Derek, me raccompagnai chez moi parce que je n'avais plus tellement la tête à retourner en cours.

Je suis dans la voiture avec Derek, le silence règnait, mais pas un silence genant, un silence reposant.

Arrivés sur le seuil de mon appartement, je propose à Derek d'entrer.
Il accepte poliment.
Il était assez ridicule, il évitait mon regard.

Moi: Serait-tu intimidé?

Derek: Jamais.

Moi: En es tu sur?

Derek: Certain.

Moi: Je suis sure que tu as du mal à accepter que je puisse lire tes pensées. Aurais tu peur de ne plus rien pouvoir me cacher? Ou est ce que tu as peur d'assumer tes sentiments pour moi? Tu as honte?

Sur ces dernières paroles ou disons plutot pensées, je baissai la tête.

Derek: Jamais je n'aurai honte de ce que je ressens pour toi, mes émotions me rendent plus fort.

Il place ses doigts sous mon menton et relève ma tête de sorte à ce mes yeux sois prisonnier de son regard, je me noie dans ses iris.
Oh dieu, ses yeux sont tellement profonds.

Je remarque que son regard dévie sur mes lèvres, remonte vers mes yeux puis replonge vers mes lèvres.

Moi: Si tu souhaite tant m'embrasser, fais le.

Il ne se fait pas prier, son visage s'avance vers le mien et nos lèvres se touchent.
Ce baiser est magique, il est tendre, et Derek me fait comprendre à travers ce baiser à quel point il tient à moi.
Pendant que nous nous embrassons, un flot d'image se bouscule dans ma tête. Je me vois debout dans le salon de Scott attendant qu'il me présente à la meute et j'entends les pensées de Derek à ce moment là: Je dois savoir ce qu'elle est, j'en ai besoin.
Je me vois dans les bois refusant de me retourner, puis mes yeux violets brillant et je sens Derek fière de m'avoir percé à jour.
Et je vois la première fois où Derek à réalisé qu'il m'appréciait, quand on élaborait un plan contre les chasseurs et que j'avais proposé de les distraire, au risque de griller ma couverture.
Et je vois de l'amour, Derek est amoureux de moi.

On se détache par manque de souffle. Ses yeux expriment la surprise.

Derek: Toi aussi tu as vu des choses?

Moi: Ouais.

Un silence s'installe.
Je me mets soudain à paniquer.

Moi: Attends là, tu as vu quoi?

Derek: Je sais que tu as un frère, il avait 3 ans quand tu es partis, je sais également que tu sais que tes parents ont décidé de lui cacher ton éxistance. Et je sais que ça t'a fait du mal.

Moi: Ils me croient morte, ils veulent le protèger.
Je ne dis pas qu'ils ont eu raison de faire ça mais cela part d'une bonne intention.

Derek: Mais ça te blesse.
Je n'aime pas que tu sois triste.

Moi: Tu es là, alors je vais bien.
Je te le promets.

Il me prends dans ses bras, me soulève et me porte jusque dans ma chambre.
On s'allonge dans mon lit et il me reprend dans ses bras. Ma tête est posée sur son torse, j'entends son coeur battre, ce son est tellement grisant.

Derek joue avec mes cheveux, je crois qu'il aime mes boucles brunes.

Derek: Oui j'adore tes cheveux, ils te donnent un petit côté latin.

Moi: Evidemment tu as entendu.

Derek: Oui. J'aime ce lien finalement, il me permet de toujours savoir à quoi tu penses.

Je me redresse et prends un air faussement vexé.

Moi: Moi aussi je peux savoir à quoi tu pense.

Il se redresse en s'appuyant sur ses avant-bras.

Derek: Ah vraiment? Alors quoi est-ce que je pense en ce moment.

Je pose ma main sur son torse et je le force à se rallonger.

Moi: Tu as envie de voir mes ailes.

Derek: Non.
Merde, elle m'a eu.

Moi: Je t'ai surtout entendu oui.
Mais comme je t'aime bien.

Je m'installe à califourchon sur Derek,et je déploie mes ailes.

Moi: Je sais que tu aime me voir comme ça.

Derek: J'adore oui.

Je déchire le t-shirt de Derek.
Je détache une plume blanche de mon aile, ça ne me fais pas mal.
A l'aide de la plume je retrace les lignes des abdos de Derek. Il frissonne, j'aime l'emprise que j'ai sur lui.

Moi: Je te fais de l'effet à ce que je vois.

Derek: A ton avis.

Je continu ma délicieuse torture, puis c'est avec mes ailes que je caresse son corps tout entier.
Je l'embrasse dans le cou, et lui laisse une trace violette pour lui montrer qu'il n'appartient qu'à moi. J'embrasse ses lèvres tellement parfaites, et je mords délicatement sa lèvre inférieure.
J'approche ensuite mon bouche de son oreille tout en laissant mon souffle chaud se perdre dans son cou au passage. Derek qui a les yeux fermés depuis tout à l'heure, ne peut retenir un soupir de bien être. Je rigole puis je lui dit doucement.

Moi: À en juger par tes muscles tendus sous moi ou par le bruit que tu viens de faire, je dirai que oui, assurément je te fais de l'effet.

Je rentrai mes ailes.
Derek inversa nos positions et j'enroulai mes jambes autour des ses hanches. Il déchira mon pull également.

Moi: Tu venge ton t-shirt?

Derek: Exactement.
Et je vais venger mon corps aussi.

À ces mots, il pris possession de ma bouche, nos langues densèrent ensemble.
Bon sang ce que ce mec embrasse bien.
Ses mains carressèrent mon ventre, mes cuisses et mes fesses.
Puis ce fut au tour de ses baisers, il embrasse mon cou, puis le haut de ma poitrine. Il dégrafe mon soutient gorge.

Derek: Bordel, elle est tellement belle.

Moi: J'ai entendu.

Pour que j'arrête de parler, il plaque ses lèvres contre les miennes. Ses mains malaxent mes seins et cette fois c'est trop pour moi, je gémis de plaisir.

Moi: Sa y'est tu es content de savoir que tu me fais de l'effet.

Derek: Très.

Pour taquiner mon nouveau chéri, je me lève me dirige vers ma commode et fais mine de remettre un t-shirt.

Derek: Tu fais quoi là ?

Moi: Je me rhabille, ça se voit.

Derek me plaque contre le mur et bloque mon corps à l'aide du sien.

Moi: Je délire ou je sens un truc dur contre ma cuisse?

Derek: Mon ange, tu pense bien qu'après m'avoir chauffé comme ça tu ne peux pas t'en aller comme ci de rien n'était.

Moi: Qui t'a dit que je comptais m'enfuir.

Il m'assoie sur la commode et écarte mes cuisses.

Derek: On va bien s'amuser.

Moi: Finalement, j'ai bien fais de ne pas retourner au lycée.

Unique (teen wolf)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant