Fadeija.

Partie 95

Salut Salam Aw ni sogoma.

Pour la première fois depuis que cette histoire avait commencer je m'endormie paisiblement. Les larmes aux yeux. Des larmes d'admiration pour mes parents.

Je veux que toute cette histoire s'arrête je veux aussi goûter moi aussi au bonheur. Cela fait maintenant cinq ans que j'attends que le bonheur sonne à ma porte. Quand sonnera t'il hein ? Vais je finir ma vie comme ça ?

Passons encore deux mois vous voulez ?

Rien avais changer l'état de santé de mon père se détériorait de plus en plus. Nous ne pouvions plus rien faire.
Je n'avais plus eu de nouvelle de Saïd depuis l'autre jour. Je pense qu'il m'avait oublié...

Mon père était toujours chez moi j'avais repris de le travail aussi.

Quand je n'étais pas là. C'est Tata Aminta qui venait s'occuper de lui et quand je revenais elle remontait chez elle.

Cette situation m'agaçait beaucoup j'en avais marre j'étais tout le temps fatiguée je veillais a ce que mon père ne manque de rien Kika aussi je n'avais plus de temps pour moi.

A partir de 21h j'étais au lit.

Mes séances de rééducation me fatiguait beaucoup aussi. Sinon ça allait.

J'avais fêter mon 23 ème anniversaire avec Fathi Hasna Tata Aminta Maryam et mon père.

Ça avait été l'un des plus beaux anniversaire de ma vie. Sauf que lui n'était pas là. Saïd n'était pas là.

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Je revenais du travail.

Je vais directement me laver les mains me changer puis manger et je vais dans la chambre de mon père.

Moi : Ça va papa ?

Lui : Hmdl et toi ?

Moi : Je suis fatiguée.

Lui : Tu devrais aller de te reposer sinon tu risque de faire un malaise.

Moi : Et toi ?

Lui : Ne t'inquiète pas pour moi si j'ai un problème je te réveille.

Moi : Hmm.

Lui: Pour te rassurer viens dormir ici si tu veux même.

Moi : D'accord.

Je me couche a côté de lui et m'endors directement.

Je dormais tranquillement quand j'ai sentis du mouvement au tour de moi. Comme si quelqu'un bougeait beaucoup.

Je me suis alors réveillée en sursaut.

J'ai vu mon père se tenir le coeur et essayer de respirer.

Moi : Papa ça va pas ?

Lui : ...

Il avait du mal à respirer je me suis hissée rapidement sur mon fauteuil et je suis allée vers lui.

Je lui faisais un massage cardiaque comme me l'avait montrer l'infirmier. Voyant que ça ne servait à rien j'ai appelé une ambulance et Tata Aminta.
L'ambulance est arrivée en même temps Que Tata donc je lui ai dis de me garder Kika pendant que j'allais à l'hôpital avec mon père.

J'étais en pleurs c'était vraiment horrible. J'avais l'impression que mon père était mort car après mon massage cardiaque il a fermé les yeux et ne les a plus ouvert. J'ai peur qu'il soit mort, j'ai peur qu'il soit partit sans avoir entendu de ma bouche je l'avais pardonné.