Partie 17

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Salut Salam Aw ni sogoma.

Moi : Pourquoi tu mens ?

Aida : Je te jure Fadeija wallah c'était pas voulu je te jure.

Moi : Mais qu'est ce que tu racontes ?

Aida : Elles m'ont mis un somnifère dans mon verre

Moi : Qui elles ?

Aida : Fily et Fatouma

Moi : Pourquoi elles auraient fait ça ?

Aïda : Tu vois Saïd ? Le gars de Fily ?

Moi : Oui.

Aïda : Il est dingue de moi. Quand Fily l'a su elle m'a niqué regarde ?

Elle souleva son haut et je vis une grosse cicatrice. Mais on aurait plus dis une trace de marqueurs wallah.

Moi : Elle t'a planté ?

Elle: Ou...oui.

Elle avait la voix qui tremblait elle allait craqué je le sentais.

Moi : Et après ?

Aida : L'autre soir il y avait l'anniversaire de Sadio. On était toutes les trois invitées. J'ai passé la soirée seule puis à un moment Fily vint me donner un verre. Je l'ai bu sans me soucier de ce qui allait se passer après.

Moi : Tu sais qui a fais ça ? Avec qui tu as couché ?

Aida : Oui...

Moi : Qui est ce ?

Aida : C'est c'est...

Elle explosa en sanglots.
J'essayais de la calmer mais rien à faire elle pleurait de grosses larmes.

Je la pris alors dans mes bras. Je lui caressais les cheveux en lui demandant de se calmer.

Quelques minutes après elle reprit son calme.

Elle me prit la main et me regarda dans les yeux...

Aïda : Fadeija pardonnes moi wallah c'était pas voulu enfin pas de mon côté.

Moi : Pas de ton côté ?

Aida : C'était Cheick.

Moi : Quoi Cheick ?

Aida : C'était... C'était lui Fadeija c'est lui qui m'a violé.

Moi : Attends attends ça c'est passé quand ?

Aida : Une semaine avant votre mariage

Moi : Arrêtes de mentir.

Aida : Fadeija par Allah que c'est vrai wallah je voulais pas crois moi. Je ne voulais rien de tout ça.

Elle pleurait dans ses mains moi je la regardais.
Puis elle se mit à genoux devant moi.

Aïda : S'il te plait Fadeija pardonnes moi je n'étais pas dans mon état normal. Il a abusé de moi.

Elle me faisait vraiment de la peine. Je savais qu'elle aimait Cheick mais qu'elle n'allait pas aller jusqu'à se donner à lui.

Je l'ai relevé et je l'ai serré dans mes bras la pauvre elle tremblait et tout.

Moi : Ohh ! Aïda je sais que tu le voulais pas t'es une fille pleine de principes. Je sais que tu l'aime a en mourir Cheick mais laisse le il te fais souffrir. Tu mérite beaucoup mieux que lui. Moi je ne l'aime pas j'ai été forcé à me marier avec lui.

Elle me regarda avec de gros yeux.

Aïda : Vraiment ?

Moi : Oui Wallah.

Fadeija.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant