Partie 18

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Bonne rentrée à toutes :)

Salut Salam Aw ni sogoma.

Les jours et le semaines passèrent. Cheick et moi sommes mariés depuis deux mois maintenant. Je m'y fais petit à petit. Nous ne nous parlons pas on s'ignore.

Mon père n'a pas essayé de prendre de mes nouvelles depuis ces deux mois la. Il doit sûrement bien se porter hein.

Quant à moi je passe mes journées avec Aida et Aïcha.

Un soir j'étais assise dans le salon quand Cheick vint s'assoir à côté de moi.

Cheick : Fadeija j'ai merdé wallah.

Il avait l'air inquiet.

Moi : T'as fait quoi encore ?

Cheick : Putain !

Il se leva et mis un gros coup dans le mur.

Cheick : Aida.

Moi : Je sais tu l'a violé.

Il se retourne vers moi.

Cheick : JE L'AI PAS VIOLÉ.

Moi : Bah si.

Il me prit par les épaules et me secoua.

Cheick : JE L'AI PAS VIOLÉ OK ? C'ÉTAIT UNE ERREUR. JE VOULAIS PAS.

Moi : MAIS TU L'AS FAIS. ELLE ETAIT MÊME PAS DANS SON ÉTAT NORMALE ET TOI T'AS ABUSÉ D'ELLE CHEICK.

Cheixk : J'ai pas abusé d'elle. C'est faux. C'est elle qui est venue vers moi.

Moi : Elle est venue vers toi pour que tu l'aide et toi t'as vu qu'elle était en position de faiblesse. Tu l'a tiré vers une chambre et tu l'as violé.

Cheick : NON NON C'ÉTAIT PAS MOI.

Moi : Attends.

Je prends mon téléphone et appelle Aida

Moi : Viens à la maison stp.

Aïda : Pourquoi ?

Moi : Il est temps de mettre les choses au clair.

Et je raccroche.

Nous étions tous les deux assis dans le salon lui avait la tête baisser moi je réfléchissais.

Quelques minutes après Aida arriva. Dés qu'elle vit Cheick elle se figea.

Moi : Viens ici il va rien te faire wallah.

Elle s'avança vers moi hésitante.

Moi : Dis moi tout Aida.

Aïda : Dire quoi?

Moi : Dis moi, il t'as fait quoi Cheick ?

Aida : Fadeija s'il te plait.... Tout sauf..ça.

Moi : S'il te plait Aida.

Aïda : Je peux pas wallah c'est trop dur.

Cheick : Parles !

Elle sursauta.

Aïda : Tu m'as violé !

Cheick : C'est faux!

Aïda : Fadeija je te jure qu'il m'a violé. Je n'étais pas dans mon état normale. Les filles m'avaient donné un truc à boir et y'avais quelque chose dedans. J'étais dans un état second. Et lui... Il a profité de moi...

Elle explosa en sanglots.

Cheick : Je t'ai écouté mentir maintenant regarde ça.

Il alluma la télé et Starfourlah on voyait Aida et Cheick ensemble entrain de danser.
Puis au fil de la vidéo on la voyait le tiré vers une pièce.
Elle était bel et bien dans son état normal elle était lucide.

Cheick : Alors ? Je l'ai violé Fadeija ? Ta pote c'est une pute. C'est tout. Tu veux voir le reste où c'est bon ?

Moi : Mets la deuxième vidéo.

Cheick : Tu tu es sûre ?

Moi : METS LA !

Sur la deuxième vidéo on voyait bien qu'elle le voulait. Ce n'était pas un viol

Moi : Toi ! En pointant Aida du doigt. Tu m'as bien prise pour une conne hein.

Aïda : Wallah Fadeija..

Moi : Sors pas mon nom de ta bouche de crasseuse.

Aïda : ...

Moi : Je t'ai refait confiance et toi tu m'as poignardé dans mon dos. Et après tu viens te victimiser en me disant qu'il t'a violer et que tu t'es fais droguée ?

Aida : ...

Je m'avance vers elle et lui mets une gifle j'avais trop la rage.

Moi : SORS DE CHEZ MOI.

Elle ne se fit pas prier elle prit ses affaires et s'en alla.

Quelle conne de l'avoir cru elle s'est bien foutu de ma gueule.

J'étais assise dans le canapé la tête entre les mains j'étais déçue. Comment a t-elle pu me mentir ? Moi qui avais commencé à lui refaire confiance.

Cheick me fit sortir de mes pensés.

Cheick : Je te l'avais bien dis.

Moi : Ferme ta gueule.

Cheick : Je l'ai pas violé mais je peux faire la même avec toi.

Il avait un petit sourire en coin.

Il s'approcha de moi dangereusement mon je reculais.

Moi : Ne me touche pas.

Cheick : Tu l'as cherché.

Il se jetta sur moi. Moi je me débattais mais ma force n'était rien par rapport à la sienne.

Moi : LAISSE MOI ME TOUCHE PAS !

Cheick : Ferme ta gueule.

Il me mit trois grosses gifles à la suite j'étais sonnée.

Il me faisais des bisous dans le cou. Moi je ne réagissais pas j'essayai juste de me débattre. Il me prit et m'emmena dans sa chambre

Il commença à me déshabiller je me suis très vite retrouver en sous-vêtement.

Il allait passé à l'acte quand il se releva et dis.

Cheick : Je peux pas je dois attendre.

Il se leva et quitta la pièce en me laissant en état de choque.

À suivre...

Fadeija.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant