Les Histoires Débiles du Père Paro et de son Ami Die

Chapitre 1 - le Con Texte de l'Histoire

Pour toute la durée de l'histoire, les écrits entre parenthèses sont des commentaires de Die qui ne prennent pas place dans l'histoire en elle-même.  

Il était une fois (bah oui il faut bien que ça se passe à un moment donné), il y a bien longtemps (l'utilisation du « il y a bien longtemps » est très utile quand on veut faire croire qu'une histoire c'est réellement passée, si ça se passe il y longtemps personne n'était née et donc personne ne peut contester la véracité du conte), vivait dans une grande tour dans une région isolée un méchant. Il semblait être méchant depuis toujours.

Il était très grand, environ 2m 10, mais très maigre, 10cm de tour de taille et il était très âgé, on aurait dit qu'il était là depuis la création du monde. Mais surtout il était très laid, c'est ce qu'il faisait qu'il était méchant. C'est bien connue tous les méchants sont laids (ne venez pas contester ce fait. La beauté extérieure n'est que le reflet de la beauté intérieure). Il utilisait une grande hache à 4 tranchants avec une tête de mort sur le dessus, pour ne pas oublier que c'était son arme (la tête de mort étant un signe des méchants).

Ce méchant, que nous appellerons le Grand Méchant car, comme il est méchant, il ne nous a pas donné son nom ; donc ce méchant était très fort, il avait tué dans un temps lointain 100 vaches avec sa hache à 4 tranchants. Le paysans du coin avait essayé de le contrer avec l'aide du berger d'à côté mais le Grand Méchant les avait violemment tué comme des vaches. Malheureusement pour lui il avait oublié le fils du berger qui le chassa du champ en lui bottant le cul, au sens propre, avec un balai.

Trois jours plus tard, c'est-à-dire au moment où nous en sommes (oui le temps lointain était en fait il y a 3 jours), le Grand Méchant était prêt à ré-attaquer le champ avec son armée de zombies puants et frêles enfin prête. Elle était déjà prête trois jours auparavant mais le Grand Méchant avait oublié de l'utiliser. Le fils du berger n'était plus apte à contrer le Grand Méchant, il était tout le temps soûl (les ravages de l'alcool...), la dernière fois étant une exception.

Le Grand Méchant regardait donc depuis son balcon imposant mais dépourvu de tout mobilier adéquat son armée qui n'attendait qu'un mot pour lancer son attaque mais le Grand Méchant se dit :

-« Je suis un peu fatigué, j'irai dans le champ demain. Je vais aller me prendre un bon café bien noir et bien fort en attendant... » (parce que les méchants se doivent de prendre des boissons noires et fortes. Comment ça vous buvez du café ? Monstre !)

Qui pourra l'arrêter avant qu'il ne lance son attaque ? Un Grand Gentil sûrement...