Chapitre 8

28K 1.4K 856
                                    


- Comment est-ce que tu arrive a percer mes défenses si facilement ?  Tu me fais fondre instantanément avec ton sourire, ou encore avec ta voix... se lamenta Livaï.
- Je vous veux. Je vous veux tout entier Caporal...
À nouveau je l'embrassais cependant avec moins de douceur. Un sourire releva le coin de sa bouche, je le sentis contre mes lèvres.

- C'est moi qui devrais dire ça ! Depuis ce jour au tribunal... Je te voulais. Cette lueur dans tes yeux m'appelait. Mais beaucoup de choses m'en empêchaient... Notre sexe, notre âge, notre statut. (il déglutit) Depuis je suis venu t'observer certaines nuits... Mais je ne pouvais rien faire... je pensais que tu aurait été écœuré de moi et que tu m'aurai repoussé.

J'entendais ses mots, mais c'était comme si ils n'arrivaient pas à bonne destination. Je ne savais pas comment réagir. J'étais dans les vagues.
- Je sais Caporal, je ne dormais pas lors de vos visites.
- Maintenant que tu sais tout, je n'ai plus à me contenir.
Ses lèvres retrouvèrent les miennes, puis nos langue se rencontrèrent à nouveau. 

Mon cerveau avait beau être embrumé par l'alcool, je ne pensais qu'à une chose ''Livaï''.
Son prénom était chuchoté en boucle dans mon esprit.

Il glissa ses mains sous mon t-shirt, caressa mes côtes, puis mon torse, pour ensuite les descendre sur le bas de mon ventre.
Je haletais la tension entre nous était palpable. Il enleva mon t-shirt avant que je ne me débarrasse du sien. L'alcool rendait ma température chaude, mon corps brûlait, je ne sentais pas le froid du soir.
Livaï vient s'asseoir à califourchon sur moi ce qui pressa mon érection, ce geste ne manqua pas de me faire ressentir du plaisir.

Il se pencha et m'embrassa en me mordant la lèvre, je passais mes bras autour de ses épaules pour le rapprocher de moi.
- À mon tour... déclarais-je.
Nous roulâmes sur le côté et je fus au dessus de lui cette fois.
Je me baissais pour lui déposer des baisers sur la gorge, je descendis lentement sur son corps. Lorsque je fus arrivé à son torse je ne je ne pu m'empêcher de le lécher ce qui le fit frémir.

Je continuais ma descente en bas de son ventre, je m'arrêtais.
Je voulais plus, tellement plus.
En posant mes mains sur ses cuisses protégées de son pantalon, je me rendis compte du désir grandissant que j'éprouvais. Je remontais mes paumes jusqu'à rencontrer son entrejambe en érection. Je sentais mes doigts trembler tandis que je défaisais la boucle de sa ceinture. 
J'embrassais la bosse de son caleçon, les joues rouges.

Cependant il agrippa mes cheveux afin de m'attirer jusqu'à ses lèvres et d'ardemment m'embrasser. Il en profita alors pour caresser mon bassin puis passer ses mains à l'arrière de mon pantalon, sa peau rencontra la mienne me faisant frissonner.
Il me plaqua contre lui tant dis que je l'embrassais. Je haletais. Un filet de bave nous relié. J'étais complètement en sueur.

- Nh.. Hum... C-Caporal..
Il me fit basculer sur le dos et se mit sur moi, ses cheveux me chatouillaient le front.
- Dis mon prénom... Susurra t-il ensuite dans mon cou.
Le prénom du Caporal... Je pouvais le prononcer... ?
- Caporal...Li-Livaï...
Il me demanda de recommencer, de l'appeler comme ça à partir de maintenant. Il me mordilla l'oreille comme pour conclure ce pacte.

Ma respiration était irrégulière, mon cœur déraillé. Je ne réfléchissais presque plus à mes actions et comment bien me comporter.
- Livaï... Embrasse-moi...
Il le fit sans tarder, doucement, tendrement.
Ma tête me faisait tellement mal, je crus qu'elle allait exploser.
Livaï passa ses mains autour de mon visage pour m'emprisonner de son regard.

- Tu vas passer une nuit que tu ne pourras jamais oublier gamin.
Il posa son front contre le mien et ferma les yeux, je soupirais.
J'étais tellement bien... Livaï décida alors de me déshabiller entièrement sous un œil lumineux.

Puis ma mémoire s'arrêta là.
Je me réveillais aux côtés de Livaï et je me tourmentais du fait d'avoir oublier.
Quelle ironie.
Cette nuit était ma première en sa compagnie, mais également ma première fois. Et j'étais incapable d'y voir plus clair. Blackout complet.
Mon mal de crâne me ramena à la réalité. Bordel ce que ça faisait mal !

J'épiais Livaï qui dormait à côté de moi, le visage si serein, mais complètement fatigué.
Je me sentais tellement crevé moi aussi, j'avais mal partout !

Chaque bruit que j'entendais étaient triplé d'intensité. La résonance dans ma tête était horrible. Merde alors ! Je ne boirai plus autant.
Au diable tes expériences douteuses Hanji !

Je profitais de ce moment pour passer une main dans les cheveux noir de Livaï, ils étaient fins et doux.
Cela me faisait drôle de pouvoir les toucher. Je souris.
- Je t'aime, Livaï Ackerman.

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Woooahh je trouve ce chapitre extrêmement court O_o

Mais vous avez eu un chapitre avant alors on va dire que ça compte pas vraiment ? (pitié ?) *Fais une bouille toute Kawaï*

Dans tout les cas je vous remercie de vos retours qui me font trèèèès~~ plaisir (autant que la nuit de Eren et Livaï :3 ) Muahahahha~~ !!!

Je vous fais de groooooos bisous et vous souhaite une bonne continuation c:


⚠️EN REECRITURE⚠️ Ereri/Riren : L'étoile de l'espoir dans le ciel froidOù les histoires vivent. Découvrez maintenant