⚠️EN REECRITURE⚠️ Ereri/Riren : L'étoile de l'espoir dans le ciel froid

Chapitre 12

- Eren !
La voix semblait lointaine... Mais elle m'appelait. Je sentis mon corps être secoué à plusieurs reprise, pourtant j'étais incapable de bouger.

- EREN ! Hurla la voix suivi d'une gifle.
Je me réveillais d'un bond. Je vis le visage de Livaï éclairé de rouge, derrière le plafond était en feu. 

Je me redressais avec une secousse électrique qui parcouru mon corps.
Partout le feu nous entourait, nous étions cerné.
Nous ne pouvions pas descendre l'échelle était brûlée. Tout était en train de carboniser. J'entendais les chevaux hennir au loin.

- Je ne pensais pas que notre mort serait comme ça. Encore moins dans cet accident. Souffla t-il ses traits étaient tirés par de l'angoisse.

Il ne nous restait donc qu'un seul recourt.
Je l'embrassais aussi passionnément que je pu. J'avais peur de la situation.... Pourtant...
- Nous ne pouvons pas mourir maintenant, pas ici. Grommelais-je. Ne t'éloigne surtout pas de moi.

Je considérais ma main, sans hésitation je la mordis à en pisser le sang puis en me jetant dans le vide de la mezzanine.
Ma dernière pensée avant de me transformer fut que je devais sauver le Caporal quoi qu'il m'en coûtait.

Mon corps se métamorphosa entièrement j'étais le titan de 15 mètres.
Mon réflexe premier était de resté accroupi et le dos courbé pour ne pas provoquer l'effondrement du toit. 
Mon deuxième réflexe fut de réceptionner Livaï dans mon énorme main. Je fis attention à ne pas l'écraser en refermant un peu mes doigts sur lui, ainsi j'évitais qu'il ne se fasse brûler. La seul chose que je vis fut son air ébahi.
La chaleur des flammes me brûlaient le corps. 

Brusquement le toit craqua et un morceau se décrocha, je retiens la poutre avec une main tandis que de l'autre je prenais garde de protéger le Capitaine.
- Eren ! Laisse cette bâtisse, on ne pourra pas la récupérer elle a trop de dégâts ! Gueula t-il essayant de couvrir le bruit des crépitements et des hennissements.
Je l'écoutais et j'envoyais la poutre ailleurs.

Je créais une sortie avec un coup de poing dans le mur. Cela me permis de m'extirpais du bâtiment en feu.
Puis je repensais aux chevaux. On en avait besoin.
Je me dirigeais vers l'autre côté de l'édifice en quelques enjambés.

Je me précipitais vers l'écurie en feu et je me mis a genoux. J'ouvris toutes les portes des boxes, j'étais rassuré de les voir courir loin du danger. Certains chevaux trop affolés étaient paralysés pas la peur.
Je dû les prendre un à un aussi délicatement possible, mais surtout le plus rapidement car le bâtiment allait s'écrouler. 

Il ne restait plus que quelque chevaux. Je me rapprochais de l'un d'eux et le pris dans ma main libre. L'autre était bien fermée pour abriter mon supérieur des flammes. 

Le bâtiment explosa, je fus projeté violemment. Par réflexe j'avais lâché le cheval et j'avais renforcé ma carapace sur Livaï avec ma seconde main.
Je roulais sur le sol, n'arrivant pas à arrêter ma course.
Une fois arrêté, je ne bougeais plus. Mon corps semblait paralysé.
Ma nuque fut douloureuse, puis ce fut le vide pour moi.

J'ouvris les yeux et me dresser avec effroi. Je n'étais plus un titan.
Mais où était Livaï ?
Je me levais sur des jambes tremblantes, je n'avais pas de repères. 

Autour de moi les gens affluaient vers le bâtiment qui continuait de brûler.
Ils balançaient vainement de l'eau.
Les chevaux encore excités hennissaient à la recherche de réconfort, quelques personnes tentaient de les calmer.

Je me trouvais sur l'herbe près de la dépouille de mon titan. Mikasa et Armin me dévisageaient.
- Vas doucement Eren, tu viens d'utiliser ton corps de titan. Conseilla celui-ci.
Ma préoccupation n'était pas là.
- Le Caporal Livaï... Fis-je d'une voix angoissée.