Chapitre 7

132 7 4
                                    

Chapitre dédié à teresalisbon, TERESAlisbon477 et @mathou85 :-)

Je me releva avec difficulté dû au coup. Mon père était devant moi, il était soul, ça se voyait et ça se sentait.

Moi: Papa? Que fais tu? Ça va?
Alex: La ferme, sale morveux!!! Dégage!
Moi: Hein?
Alex: Prends tes affaires et sort de la maison, de MA maison!
Moi: Mais... Je...
Alex: Ne discute pas!
Moi: Je... Ok...

Je parti et prit quelques vêtements dans un sac en bandoulière, des photos de ma mère, mon gsm, avec son chargeur et mon sac d'école que je prit sur le dos. Je parti ensuite, ne sachant pas trop où aller.
Je marcha dans les rues. Il faisait noir noir maintenant, et j'avais froid, malgré la veste que je portait.
Je décida alors d'aller chez Kimball.
Quand je sonna, personne vint m'ouvrir, je me souvena que Cho l'avis dit qu'il était de sortie avec ses parents, Grace, Risgby et leurs parents à eux aussi.
Je savais pas où aller... j'était perdu. Alors j'erra dans le rues, en commençant à être envahit par la fatigue...

Quand je me réveilla, je regarda par la petite fenêtre de ma prison pour voir qu'il faisait encore nuit, pourtant, je n'arrivais plus à dormir. Je pensais trop à Patrick. Il me manquait terriblement. C'est bizarre, mais je pense que je suis amoureuse de lui... ce qui me fait peur, c'est que lui ne le soit pas, qu'il préfère cette tepu de Frye... j'allait encore penser à autre chose quand la porte s'ouvrit, laissant vue à ce con de John. Celui ci s'approcha de moi, et s'assit sur le lit. Je me redressant et m'assit également, mon dos contre le mur. Il ne parlais pas, et ce silence commençait à me peser lourd, alors je prit la parole la première.

Moi: Écoute John, j'aimerais que tu me laisses partir, tu vois bien que je ne t'aimes pas et que je ne j'aimerais jamais. Ma famille et mes amis se font énormément d'inquiétude, et connaissant mon père, un avis pour me trouver à déjà été lancé. Alors si tu ne veux pas avoir de soucis, tu ferais bien de me libérer.
John: Teresa, je te l'ai déjà dit, mais je te le répète su tu veux...

Il s'approcha de moi et me souffla à l'oreille.

John: Tu ne sortiras jamais d'ici, tu es à moi tout seul maintenant, et je ne veux pas te partager, encore moins avec ce très chère Patrick...

Je le repoussa avec une force qui moi même m'étonna. Mais j'était tellement dégoûté par ce con que je n'y prêta pas plus d'attention.

Moi: Je te déteste John, tu n'est qu'une pourriture! Personne ne t'aime de toute façon, t'es un gros paumé...
John: Quoi? Répète un peu?
Moi: Je pense pas que j'ai besoin de répéter. Tu vois, les deux trucs qui sont sur chaque côté de ta tête, c'est des oreilles, et ça te sert à entendre. Alors non, je pense pas que je vais répéter. De toute façon, te le redire ne servira à rien, tu resteras toujours comme ça! Et ne crois pas que tu me fais peur, au contraire, tu me fait pitié! T'es un minable! Je ne ferais plus ce que tu me diras de faire, c'est fini, et je m'en fou si tu me tue, tu finiras en prison!
John: Tais toi! Tu crois que tu arriveras à ne pas m'obéir??
Moi: Non je ne me tais pas, tu n'as plus rien à me dire. Et je ne t'obéirai plus, plus jamais.
John: Tu crois ça toi?
Moi: Donne moi une raison de t'obéir, à part me torturer, car ça, j'en ai plus rien à foutre.
John:...
Moi: Tu ne sais pas. Alors laisse moi partir.
John : Patrick Jane.
Moi: Quoi Patrick Jane?
John: Si je te dit que je le prendrais bien avec nous pour que tu m'obéisse...
Moi: Laisse Jane en dehors de ça. Il n'a rien fait!
John: D'accord, il est ton point faible...
Moi: Non, John, je...

Il me mit un doigt sur mes lèvres. Il décrocha ensuite mes menottes pour me les mettres dans le dos.

Moi: John? Qu'est ce que tu fais?
John: Chut... ne dit rien.
Moi: Mais...

Il souffla puis sorti de sa poche un foulard qu'il mit sur ma bouche et qu'il serra assez fort pour que je ne sache plus parler.

John: Je vais devoir m'absenter pendant un moment ma chérie. Quand je reviens, un cadeau m'accompagnera.

Je voulu lui répondre d'aller se faire voir, mais je ne peut le faire. Il souria puis s'en alla.

Je m'était assouppis sur un banc. J'entendis soudain un bruit étrange. Je me leva et découvrit une silhouette avec un arme pointée vers moi.

John: Patrick, comme on se retrouve!
Moi: John... Je sais que c'est toi qui détient Teresa.
John: Effectivement, c'est moi. Elle est tellement belle et envoûtante...
Moi: Ne parle pas d'elle comme ça. Qu'es ce que tu veux?
John: Teresa ne veut pas faire ce que je lui demande... Alors j'ai décidé d'aller chercher son point faible, toi.
Moi: Pourquoi l'obliger? Elle ne t'aime pas de toute façon.
John: Elle apprendra à m'aimer. De toute façon, elle n'aura pas le choix.
Moi: Et si je décide de ne pas venir avec toi? Tu la tueras?
John: Oui.

Malgré qu'il faisait noir, je vit John sourire de toute ses dents, il me fit signe de passer devant lui.
Nous marchons pendant un peu près une demi heure. Il m'arrêta avant d'entrer dans la maison.
Il ordonna de mettre mes mains dans le dos, ce que je fit. Il les attacha avec de la cordes, et il serra très fort. Je suppose qu'il sait que je sais crocheter des serrure, autrement, il m'aurait lit des menottes.
Nous entrons dans la maison, et nous descendirent d'un étage. Il ouvrit une grosse porte en fer et me poussa à l'intérieur.
Il m'accrocha les pieds ensemble et au sol. Je ne pouvais plus bouger du tout, à part la tête et le corps, sans pour autant me déplacer.
J'entendit des petits gémissements, comme si quelqu'un pleurait en dessous d'une grosse couverture.
Quand John se retira, je découvrit celle pour qui mon coeur battait. Elle était toujours en mauvais états, un peu comme quand je l'avais vue sur la vidéo. Ce bâtard n'avais même pas prit la peine de lui remettre ses vêtements alors qu'elle avait très froid.
Je vit John s'approcher d'elle, et J'essaya de me déplacer pour venir en aide de MA Teresa, mais je ne peut le faire. Je regarda alors John avec des yeux noirs.
Il était à côté d'elle et caressait sa joue. Elle esseya de le rejeter, mais ses mains étaient liées dans son dos. Il la tint par le menton et mit sa bouche sur la sienne et tira vers le bas le bandeau qui emprisonnait ses lèvres pour le lui enlever.
Elle peut enfin parler, mais l'entendre parler ainsi me fit mal au coeur. Sa voix était faible et suppliante. Suppliante? Pour John?

Teresa: John, je t'en prie, relâche Jane! Je ferais tout ce que tu veux, mais laisse le, je t'en supplie!!!
John: Ah... ce n'est pas ce que tu me disais tout à l'heure, ma chérie... Patrick va encore rester, on s'amuse bien à trois, n'est ce pas?....

MENTALIST YOUNGOù les histoires vivent. Découvrez maintenant