Chapitre dédié à teresalisbon
Et meeerdeee... aujourd'hui il y a école... mais bon, c'est pas grave, je vais voir mes amis.
Je me leva et me prépara pour l'école.
Quand j'arriva, je vit Cho, Grace et Wayne. Mais il n'y avait pas mon coeur.Moi: Salut les gars! Mon amour n'est pas encore là?
Grace: Hey! Euh, non. Elle n'est pas encore arrivée.
Moi: Ah... ok....Nous continuons de parler de tout et de rien avant que la cloche ne sonne et d'entrer en cours.
Je remarqua tout de suite que deux places étaient vides. Celle de Teresa, et celle de John.
Soudainement, je pensa à quelque chose qui me fit un air de dégoût. Puis j'arrête de penser à ça. Ça ne pouvait pas être possible...La journée se termina et je partit directement cher moi après avoir saluer mes amis. En marchant, j'était inquiet. Je pensa à Teresa que je n'avais pas vue de la journée. J'avais peur, car d'habitude, elle me prévient quand elle ne vient pas au collège.
Mon téléphone sonna à mit chemin, et je répondit du tac au tac.«Moi: Allô?
Peter: Patrick? C'est Peter, le père de Teresa.
Moi: Ah, salut Peter. Ça va?
Peter: Euh...non, pas vraiment. En fait, ça concerne Tess. Elle a disparue. J'ai appelé tout ses amis, elle n'est toujours pas rentrée depuis hier soir, son gsm est dans sa chambre, et voilà... Je venais voir si elle était avec toi.
Patrick: Non. Désolé. Je ne l'aie pas vue de la journée.
Peter: D'accord... merci quand même. Appelle moi si tu as du nouveau.
Moi: Je n'y manquerai pas. Tu m'appelle aussi si tu as des nouvelles, hein?
Peter: Merci. Oui, ne t'inquiètes pas. Je t'appellerais aussi. Au revoir Patrick.
Moi: Au revoir Peter.»Quand je me réveilla, je me redressa et m'assit en me posant sur le mur froid, et puis je pensa directement à ce qu'il s'était passé la veille.
Flashback:
Il était là, sur le seuil de cette porte qui me séparait de la liberté, avec un plateau à la main et un sourire qui me fit frissonner de peur et de dégoût.
Il se rapprocha de moi, déposa le plateau sur lequel il y avait une pomme, un morceau de pain, et un verre d'eau, sur la table de chevet à côté du lit. Il s'assit en face de moi et passa sa main sur ma joue. De ma main libre, je le repoussa et l'insulta.Moi: Tu n'es qu'un malade John!!! Tu te rends compte de ce que tu fais au moins? Tu séquestres une mineure!
John: Je suis aussi mineur. J'ai juste un ans de plus que toi...
Moi: Mais tu n'as quand même pas le droit!
John: Tais toi! Je ne veux plus t'entendre, ne serait-ce que pour me dire que tu m'aime, ou que tu as faim et soif. Sinon, je veux rien entendre de tes discours... compris?
Moi: Mais je t'aimes pas! T'es con ou c'est moi? On se connaît depuis las 6ème primaire. Tu était gentil avant, pourquoi tu as changé comme ça?
John: Parce que!
Moi: «Parce que» n'est pas une réponse.
John: Je veux que tu m'aimes.
Moi: Mais je te déteste maintenant! Tu n'es qu'un imbécile!Sous l'effet de la colère, il me frappa au visage violement, me faisant retomber sur le matelas. Il mit son bras sur ma gorge, afin que je ne bouge pas. Il m'embrassa sur la bouche puis dans le cou. J'était dégoutée, et je pleurait. Avec mon bras libre, je tenta de le repousser, mais il fût plus rapide que moi. Il déplaça son bras de mon cou pour me maintenir ma main au dessus de la tête. Il se pencha et chuchota des mots qui me firent encore plus pleurer.
«Je t'aimes comme un fou Teresa, et rien, ni personne ne pourra nous séparer. Je te protégerait, te nourrirait, et je serais gentil avec toi su tu l'es avec moi. Tu resteras avec moi jusqu'à la fin de ta vie, et même au delà.
Je te déplacerait dans une chambre beaucoup plus luxueuse quand tu m'obéira et que tu seras sage.»Il m'embrassa une dernière fois sur la bouche avant de partir, me laissant seule, en sanglot.
Fin du flashback.
Je releva la tête quand j'entendit la porte s'ouvrir. John s'approcha de moi, et s'assit sur le lit, en face de moi. Ses yeux regardait les miens, puis ils descendirent vers mon cou, et finalement, ma poitrine. Effectivement, mon débardeur était très plongeant, on voyait le haut en dentelle de mon soutien-gorge. Ma respiration devint de plus en plus anarchique, il me faisait peur, certes, mais il me dégoûtait tout autant.
Il leva sa main vers moi, mais avant qu'il ne puisse l'avancée, je me rapprocha de lui et l'embrassa sur la bouche tendrement...