CHAPITRE 6.
Nous avions mis plusieurs secondes avant d'enfin dire LA phrase :
«Esprit, es-tu la ?»
avons-nous demander synchroniquement.
Environs cinq secondes plus tard, la goutte commençait à bougé pour venir à se positionné sur une lettre après l'autre.
«Oui» avait-elle indiqué.
Malgré la peur qui commençait à m'envahir, je posa mon doigt sur la goutte avant de posé une simple question :
«Esprit, comment t'appelles-tu ?» demandai-je timidement.
«Perry.» avait-je reçus comme réponse.
Je lança ensuite un petit regard à Michael, lui faisant signe de poser immédiatement son doigt sur la goute.
C'est ce qu'il fit, dès que je retira le mien.
«C'est vous qui faites du bruit, chaque soir dans le grenier ?»
«Non.» avait répondu la goute.
Dès que Michael retira son doigt, je posa le mien.
«Alors qui es-ce ?» demandai-je.
« M »
« A »
« R »
« I »
« E »
Dès que je vit cette réponse, notre sang ne fit qu'un tour.
Juste une fraction de seconde après, je retira mon doigt de cette maudite goute.
«Marie..» dis-je doucement.
«Estelle ! Il doit parlé d'une autre Marie..» essaye de me convaincre Michael. «Ma mère n'est pas comme ça.» reprit-il, sûre de lui à quatre-vingt-dix pourcents.
«La goute ne se trompe jamais, Michael !» hurlait-je à moitié.
«Et ma mère n'est pas comme ça, Estelle !» essaya de me tenir tête, Michael.
«Tu as aussi bien vue que moi, elle était quand même bizarre au dîner ! Ne me dit pas le contraire!» hurlait-je à mon tour.
«Tu ne connais pas ma mère, alors ne parle pas d'elle comme ça.» me répondit Michael d'une voix aussi froide que viens de devenir mon humeur.
«Ne t'inquiète pas pour ça, j'vais plus parlé d'elle car j'me casse.» lui annonçait-je en restant froide.
À peine ai-je fait un pas en avant, que mon poignet fut saisi, avant que je sois retourné vers Michael.
Mon visage était à maintenant, quelques centimètres de celui de Michael.
«Reste avec moi..S'il te plait..» m'avait-il demandé, juste après m'avoir embrassé passionnément.
«Demander comme ça...» lui avais-je dit, juste avant de nous relancer dans un baisé passionné, voir sauvage.
«Je t'aime.» m'avait-il avouait, a l'instant même, tout en collant son front contre le mien, essayant de retrouvé une respiration normale suite à ce baisé.
«Je t'aime aussi.» venais-je de lui répondre, avant d'échanger un dernier baisé.
«Promet moi une chose, Michael.»
«Tout ce que tu veux, Estelle.»
«Promet moi, que nous allons sortir d'ici. Que nous allons savoir qui fait ses bruits chez toi. Promet moi, que tu ne m'abandonnera pas.»
«Je te le promet, Estelle.»
«Merci, Michael.»
«Estelle..Je ne vois plus rien. Rallume moi cette lumière..»
«Michael..C'est à toi de rallumer, arrête tes conneries la..»
Un frisson.
Un cri.
«MICHAEL ALLUME, PUTIN !»
Une source de lumière.
Aussi faible soit-elle.
«Regard..Ce mur..!»
Une source de lumière était présente sur ce mur, elle n'était pas bien grande, mais elle pouvait nous faire voir des écrits, oui, il y avait des mots sur ce mur.
Alors que Michael se dirigé vers celui-ci, je pris sa main avant de le suivre. J'ai peur.
Qui n'aurais pas peur dans ce genre de scène, aussi ?
Arrivé devant ce grand mur, je réussi à voir des écritures satanique..
«Michael..J'ai peur..» lui anonçais-je, serrant encore plus fort sa main.
Je réussi à voir un visage s'affiché devant Michael et moi, je me précipita vers la porte, qui elle était bloquée.
«PUTIN, OUVRE TOI !» hurlait-je, donnant des coups de pieds dans la porte, qui elle, ne voulait pas cédait.
Par réflexe, je pris un objet au hasard, le premier que je vit, et le pris pour défoncé la porte.
Avant même que je puisse frappé l'objet en question contre la porte, mon corps me lâcha, il s'écroula par terre.
Je ne voyais plus rien.
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La maison du Diable.
Мистика«Tic tac, tic tac, tic tac.» «Qui est là ?» «Le diable, ma chérie.»
