chapitre 6

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Bonjour les gens. Alors je dois vous avouez que je ne pensais pas reprendre cette histoire un jour si une certaine ne m'y avait pas poussé. Alors voilà. Je vous offre un nouveau chapitre en espérant que ça vous plaisent ^^

-Reste là. Surtout ne bouge pas.(Legrand)
-Et pourquoi ? Vous vouliez me parler de l'affaire alors c'est le moment parfait.(m)
-Je vais sûrement pas te montrer une affaire de meurtre.(Legrand)
-Bah pourquoi pas ?(m)
-Parce que c'est dangereux, et parce que c'est choquant.(Legrand)
-Je vous ai connu moins trouillard très cher. Et puis vous savez vous même que j'ai vu des choses pires...(m)
-Même. Pourquoi toi tu aurais le droit et pas les autres ?(Legrand)
-Parce que moi, j'ai peut-être des infos que les autres n'ont pas.(m)
-Oui maiiiiiis...(Legrand)
-Décidé vous vite Inspecteur. L'heure tourne.(m)
Je vis Lucie sourire et sans le vouloir je me mit à sourire. Je voyais Legrand qui ne savait pas quoi choisir et j'aimais être l'objet de son dilemme.
-Bon aller viens. Mais n'en parle à personne.(Legrand)
-Vous connaissez ma réputation inspecteur.(m)
-Certes.(Legrand)

Tout en marchant au pas de course, j'entendis la première marque de gentillesse de Legrand de ma vie.
-Et sinon, tu n'a pas trop d'ennui au lycée ?(Legrand)
-Et depuis quand cela vous inquiète ?(m)
-Bah je sais que la plupart des ados peuvent être blessant et que le harcèlement est une chose horrible. Alors... Bah même si on s'aime pas, si tu as des problèmes faut que t'en parle.(Legrand)
-Quel touchantes paroles cher inspecteur. Mais il fallait y penser avant d'essayer de me faire interner et de le dire a tout le monde...(m)
-D'ailleurs tu sais, sa pourrait peut-être t'aider. Au moins te couper de ces gens qui t'harcelles.(Legrand)
Évidemment, comment aurait-il pu changer...
-Ha bah oui évidemment. Sa m'aurai étonner...(m)
-Bon... Aller penchons nous sur l'affaire. On y est.(Legrand)

C'était dans le couloir de français cette fois. Plusieurs policiers nous empêchait de passer. Il reconnu l'inspecteur est alors qu'il me bloquait, l'inspecteur me laissa passer avec lui.
-Bon, là c'est sûr qu'on a un meurtrier en série... Et il est plutôt inspiré...(Legrand)
-Ha oui effectivement...(m)
Le cadavre était carrément amoché. Plusieurs coup de couteau. À moitié éventré. Je retenait un haut le coeur. La personne était sur le dos et je ne l'avais pas reconu sûr le coup mais quand je vis son visage, c'était évident. Alexia. Je crois que c'était une personne que je détestais le plus de ce lycée, cependant, je n'étais pas heureux qu'elle sois morte. C'était quand même triste pour elle. Elle avait des amis, une famille et personne ne mérite de mourir aussi jeune.
-Bon Marc, tu as intérêt à te bouger et te souvenir.(legrand)
Je ne savais pas quoi dire. Comment j'aurai pu retrouver quelqu'un dont je ne me souviens pas.
-Marc... J'ai des souvenirs. La personne qui m'a tué... C'était une fille. Blonde comme Alexia.(lc)
Je le regardais pour lui signifier que j'avais compris
-Inspecteur. La personne qui m'est passer devant. Je crois que c'était une femme blonde. Un peu comme mathilde. (m)
-C'est un début. On va essayer de faire avec. Tu devrais retourner en cours maintenant. (Legrand)
-Très bien. Bonne chance à vous alors.(m)
Je ne voulais pas retourner en cours. Je me sentais trop fatiguer désormais. Mine de rien, voir la mort d'Alexia, même si je ne l'aimais pas m'avais un petit peu choquer. Je décidais donc de retourner dans ma chambre. Qui verrai la différence de toute façon. Arrivé dans ma chambre, je m'ecroulais sur mon lit.
-Je retounre voir l'inspecteur personnellement. D'autres souvenir reviendront peut-être.(lc)
Je ne prenait même pas la peine de répondre. Je fermais les yeux et attendit
-Tu es bien blême Marc.(l)
-C'est voir la mort d'Alexia. Ça m'a un peu choquer.(m)
-Je sais que ce n'est pas ça. Et tu ne me ferait pas croire le contraire. Je sais que c'est parce qu'on approche de CETTE date. Tu ne pourras pas échappé au 5 décembre toute ta vie.(l)
-S'il te plaît Lucie. Arrête. Je ne veux pas y penser.(m)
-Marc. Il faut qu'on en parle. Tu ne peux fuir la conversation.(l)
-Lucie. Je ne peux pas en parler.
-MARC ! Le 5 décembre, sa fera 3 ans que je suis morte. Il faudra qu'on en parle. Et il faudra qu'on parle de ta responsabilité ou non dans ma mort et le fait que je sois rester sur terre avec toi.(l)
Lucie quitta la chambre. Et elle avait raison. Un jour je devrais en parler. Mais je ne pouvais pas. Comment pourrai-je... Je m'éffondrai en larme dans mon lit.

Je ne suis pas schizophréneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant