Chapitre 5:

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5:

Par la vue des choses, nous avions des ennuis. J'ai essayé de glisser devant Hunter mais son bras accrochant le mien, m'a donné un regard d'avertissement.

-Tu n'as pas quelque chose de mieux à faire que de me suivre toute la journée ? Demanda Hunter, en lançant un regard exaspéré à Seb.
-Ne te flatte pas, je suis ici pour prendre Kenzi, gesticula-t-il et j'ai remarquée le froncement de sourcils sur le visage d'Hunter. Je pensais que tu voulais passer du temps avec ta nouvelle pute, Seb haussa les épaules après ses mots, me laissant empourprée et très irritée.
-Um, non merci. Emmène-le avec toi si tu le souhaites. J'haussa les épaules, gagnant un nouveau froncement de sourcils d'Hunter et un sourire satisfait de Seb.
-Je te le laisse, amour. Désolé pour ça, il a répondu en toute confiance jusqu'à ce que Hunter se racla la gorge.
-Si vous avez finis vous deux, Hunter souffla et je souris, masquant ma légère crainte. Il y avait une tension terrifiante et vous seriez aveugle de ne pas voir que les deux frères ne s'aimaient pas.

J'entendis la porte de la voiture s'ouvrir et Kenzi sorti plus vite que quand vous criez " à l'aide".

-Seb ! S'exclama-t-elle, marchant vers lui pour l'enlacer. J'élargis les yeux alors que Hunter n'a pas l'air du tout surpris.
-Viens, on s'en va, il murmura. Je ne m'étais pas rendue compte à quelle distance se trouvait Hunter jusqu'à ce que sa voix et son souffle ne dansaient sur mon cou au-dessus de mon oreille. Je sentis sa main sur mon bras, la chaleur traversant ma peau.
-Je te vois plus tard, Kenzi. Je l'appelai au-dessus de l'épaule d'Hunter et elle hocha la tête avec un sourire. Seb m'a donné un clin d'œil et un petit salut avant de l'emmener loin.

Après m'être assise à l'avant de la voiture, je soufflai, fermant la portière. Les articulations d'Hunter étaient blanches sur le volant et démarra la voiture avec plus de force sur la pédale que nécessaire.

-Tu peux te détendre ? Je m'exclamais après environ cinq minutes à le regarder enfoncer les boutons de la voiture et prendre des virages, murmurant des injures dans sa barbe. Il me jeta un regard du coup de l'œil et soupira, tournant la musique pour m'empêcher de continuer.
-T'es un trou du cul, tu le sais ça ?! Hurlai-je par-dessus la musique. Il se contenta de sourire et est remonté à l'extérieur des appartements. Il ne m'a même pas attendu, il sortit de la voiture et commença à marcher vers la porte.

Trop irritée pour en prendre soin, je laissai mon sac dans le coffre et couru après lui.

-Pas étonnant que ton frère obtient toutes les filles, tu t'es vu ? Demandai-je après l'avoir rattrapé dans l'ascenseur et il se tourna vers moi avec une expression ennuyé.
-Juste tais-toi, gémit-il, se penchant en arrière contre le mur de l'ascenseur. Il semblait gémir et me suis inquiété que si je me penchais contre lui aussi, il céderait.
-Non ! Tu n'as pas le droit de me dire ce que je dois faire ! Rétorquai-je. Je radotais toujours sur le respect quand il se pencha et posa ses lèvres sur les miennes. Il m'a fallu un moment pour enregistrer ce qui se passait, principalement parce que ses lèvres étaient vraiment douces et il pressa doucement sa langue contre mes lèvres, demandant ainsi l'autorisation. Je le lui accordais avant de mordre sa langue. Il recula et jura, léchant sa lèvre.
-Tu viens de me mordre ? Il hurla, me regardant dans l'incrédulité totale. Je hochai la tête d'un air suffisant, croisant mes bras sur ma poitrine. Il n'a pas le droit de m'embrasser. Je ne sais pas ce qui m'a le plus contrariée, le fait qu'il m'ait embrassé, ou le fait que j'ai appréciée ça.
-Oui je l'ai fais ! Tu n'as pas le droit de m'embrasser sans permission ! Je soufflai, sortant de l'ascenseur et allant vers notre appartement.
-Tu sais, je commence à croire que t'es vraiment une bonne petite fille de l'église, il dit derrière moi et je me retourna pour lui faire face.
-Non, je ne le suis pas ! Je mentais et nous le savions tous les deux. Hunter s'avança et se tenait si près que je pouvais sentir l'effleurement et l'air de ses lèvres sur les miennes. Ses mains tenaient mes hanches et il me regarda, si fixement que je me perdais dans ses yeux verts. Cela peut paraître complètement cliché, mais il m'a eu exactement où il voulait.
-Prouve-le alors, il répéta et pressa ses lèvres sur les miennes. Je bougeai mes lèvres au rythme des siennes et ma main se fraya un chemin jusqu'à sa nuque. Il appuya sa langue contre mes lèvres à nouveau et je les ouvrit, permettant à sa langue d'accéder à ma bouche.

Bad boy isn't my typeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant