One Sole Direction

Patatras! Et sa chute prit fin

Cette histoire est une traduction.

L'originale

One Sole Direction est de Edwill et elle est écrite en italien.

Les phrases que vous trouverez en gras sont prononcées en français par les personnages.

L'histoire est en cour de traduction aussi en anglais.

Le lien de l'histoire en italien: https://www.wattpad.com/story/32195926-one-sole-direction

''...elle y vit un petit flacon portant autour du goulot une étiquette de papier sur laquelle étaient magnifiquement imprimés en grosses lettres ces deux mots: "BOIS MOI"
C'était très joli de dire : "Bois-moi", mais notre prudente petite Alice n'allait pas se dépêcher d'obéir. «Non, je vais d'abord bien regarder, pensa-t-elle, pour voir s'il y a le mot: poison;»''

'Alice au Pays des Merveilles'
de Lewis Carroll

Cambridge, 22 Novembre 1936

'Qu'est-ce que tu lis?'
C'était impossible.
Contrôler la surprise ou la peur.

Parce qu'on peut contrôler seulement ce que nous pouvons prévoir, et tout ce que nous fait sursauter, ça arrive tout d'un coup.

En bref, chaque loi de la physique appliquée au corps humain existait pour me foutre.
Harry Styles aussi existait pour me foutre, mais malheureusement pas dans la manière que je préférais.

'Qu'est-ce que tu lis?'

Dans le silence conciliant de la bibliothèque de Pembroke, pratiquement caché dans la section de Théologie Morale -que jusqu'à aujourd'hui j'avais sérieusement pensé que c'était un lieu mythologique- plongé dans un des fauteuils, quand j'étais complètement immergé dans la lecture, cette voix a eu l'effet d'une bombe à Trafalgar Square.

Et moi bien sûr j'ai sursauté.

Qu'est-ce qu'il faisait dans cette partie de la bibliothèque oubliée par Dieu?
(où je me suis caché pour ne pas être vu par personne, surtout pas par lui)
J'ai fermé le livre et je l'ai mis à côté du fauteuil pour ne pas lui faire lire le dos.
J'étais encore légèrement irrité par notre dernière discussion et je ne voulais pas passer pour un docile.

Lui, au contraire, il semblait absolument tranquille et détendu.
Il agissait comme s'il n'avait jamais dit cette phrase.

'je te foutrais dans chaque putain de salle de ce bâtiment'

Que bien sûr elle était le leitmotiv de toute mon existence depuis cet après-midi jusqu'à aujourd'hui.

'Ce n'est pas tes affaires'
je lui ai répondu grognon.

'Plutôt, tu fais quoi toi? Tu lis les tomes de théologie maintenant?'

'Non, je t'ai vu entrer et après je suis venu te chercher ici'

'Mais je suis entré il y a deux heures'

'Oui beh, j'ai voulu de laisser un peux de temps pour t'attacher à Goldmund'

Mais il faisait comment pour savoir toujours tout?

'Pourquoi tu m'as demandé qu'est-ce que j'étais en train de lire si tu le savais déjà?'

'Parce que je voulais l'entendre venant de toi'

'Plutôt, comment le sais-tu?'

'Parce que je l'ai cherché dans les rayons et je l'ai pas trouvé'