Chapitre:61

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Je me réveil a l'hôpital je touche mon épaule
par reflex je sent que j'ai un gros pansements.
la porte de ma chambre s'ouvre et je vois ma mère entré avec mon père.

Eux: ça bz ?

Moi: oui

Maman: c'est ma faute cst moi qui t'es envoyé
à la poubelle

Moi:c'est pas de ta faute maman

Elle: si

Moi: non enfin brf il est ou Yasine

Papa: yeeeh il a pt les plombs lui et ton rajel(homme) et il sont Partis voir Loubna
je ne sais quoi

Moi: Putain!

Eux: ya quoi?

Moi: non non rien

Papa: et puis pas de putain

Moi: mon téléphone

Maman: tu t'es faits planté
tu veux encore téléphone tchhhp

Moi: j'ai trop mal vous pouvez appeler
un médecin s'il vous plaît

Mon père va l'appelé et reviens avec un docteur.

Docteur: alors mademoiselle comment
vous sentais vous?

Moi: ça va sauf que j'ai mal à l'épaule
j'ai la peau qui tire

Docteur: c'est normal ce sont les point de suture
que nous vous avons fait

Moi: ok vous avez pas un médoc s'il vous plaît

Maman: parle bien salle soulacré(arabes)

Papa: kehloucha

Moi: ptdddr

Docteur: euh j'ai vous laissé et vous envoyer
une infirmière avec des médicaments
pour vous soulagé.

Moi-d'accord merci

Le docteur sort puis une infirmière
arrive me donner des médicaments
mes parents sont resté 2h et on fini par partir
Et moi je m'endors
J'étais entrain de dormir quand je sens
un souffle sur moi j'ouvre les yeux je vois medhi
je me redresse direct de peur.

Moi: sort

Lui: chuuut bb je suis là tout va bien

Moi: mais t'es fou lâche moi

Je retire sa main de ma main.

Lui: pourquoi tu me faits ça omri hein pourquoi ?

Moi: mais t'es fou medhi arrête

Lui: fous de toi habiba

Moi: t'es qu'un gros malade

Il commence à essayé de m'embrasser
je tourne ma tête puis le pousse ce qui me faits automatiquement mal à l'épaule.

Lui: TA PAS LE DROIT DE ME RÉSISTÉ SALOPE

il ma décollé une gifle
et me saisit par le coups.

Lui: MOI TU ME REPOUSSE MOI TON MARI
TU ME REPOUSSE

Je bougé comme une folle plus il serré au niveau
de mon coup je sentais se restreindre dans mes poumons je lutté tant bien que mal lui me regardais dans le blanc des yeux avec regard noir
et sans aucune pitié...

Chronique De Ines:J'ai été mariée à un inconnuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant