Tic, tic. Les aiguilles de sa montre avançaient au rythme entraînant des battements de son cœur.
Tic, tic. L'heure avançait au rythme vagabond du soleil couchant.
Tic, tic. Son retard s'intensifiait au rythme insupportable des marchands pressés et peu polis.
Tic, tic. Son impatience grandissait au rythme des constellations.
Tic, tic. « Elle ne viendra pas » résonnait tristement dans sa caboche blasée.Tic, t-. La montre qu'il portait au poignet se trouvait désormais dans l'eau, au milieu des roseaux. Attristé d'avoir était délaissé par sa tendre aimée.
Par: moi-même
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MOTS PARFAITS
PoesíaRecueil de textes trouvés sur internet, et quelques fois provenant de mes propres mains. Bonne lecture !