Le lendemain, j'étais en cour de français, ma dernière heure de la journée. Je regardais les aiguilles de l'horloge bougeait au ralentit, pendant que la prof et son horrible chignon, faisait l'explication d'un texte de Voltaire. Après plusieurs longues minutes, où l'aiguille des minutes tanguait vers le 6, elle finit par s'y mettre totalement et la sonnerie retentit. Je sortis en courant de la salle de classe pour me diriger vers le parking où Dylan m'attendais. Il me percuta de plein fouet au moment où je franchis la grille du lycée.
-Ba alors, où est-ce que tu fuis comme ça ? Me demanda-t-il.
-Je m'en vais loin de ce lycée. Lui répondis-je en me dirigeant vers sa voiture.
-Bon alors on va où ? Me demanda-t-il.
-Je te guide, tu conduis. Lui dis-je en attachant ma ceinture.
Après 10 min de voiture, on arriva sur une petite route de campagne, on passa une grande pancarte avec inscrit « Centre Equestre de Ridlais ». Puis nous nous retrouvons devant l'écurie. Je restai pétrifier pendant que Dylan se garais. La dernière fois que j'étais venus ici, c'était avec ma mère, j'avais monté Evidence en saut, on été monté jusqu'à 1 mètre 10. C'était magique.
Je sursauta quand Dylan m'ouvrit la porte il avait les sourcils froncé et le regard anxieux. Je me rendis alors compte qu'une larme avait glissé sur ma joue.
Après être descendu de la voiture, je retrouvai l'air, l'univers qui m'avait tellement manqué, seulement je venais juste de m'en rendre compte. Sans un regard vers les carrières et les box club, je courus dans l'écurie des propriétaires. Je n'eus pas besoin de réfléchir où j'allais, mes jambes le savait, au milieu à droite, un box avec une magnifique jument grise dedans. Avec sur la porte écrit « Evidence de la Drou's family ♥ ». Je m'arrêtai devant l'écriture presque effacer. Je m'approchai de la jument, en sifflant les petites notes que mon frère m'avait apprises. C'est alors qu'elle releva la tête comme si elle savait. Une fois avec Steph, on avait lus que les cheveux ont une mémoire d'éléphant et donc qu'ils arrivent à se souvenir de plein de choses. Elle s'approcha du trou, où elle passa sa tête pour que je l'a caresse, ce que je fis.
-J'imagine que c'est ta jument ? Dylan était derrière moi et lui caressa la tête.
-Evidence, elle est belle hein ? Lui dis-je en me dirigeant vers la porte. La jument me suivit, et à peine avais-je décroché la chainette qui bloquer sa porte pour éviter qu'elle l'ouvre, elle l'ouvrit.
-Oui magnifique. Me dit-il en me passant le licol, que je glissai à mon tour sur elle.
Je sortis Evidence et l'accrocha a la porte avec un nœud lâche comme j'avais l'habitude de le faire. Parfois même je ne l'attachais même pas, jamais elle n'a bougeait. Je courus vers la sellerie, où les propriétaires rangeaient tous leurs affaires, après avoir retiré le petit cadenas a code, je pris mon sac de brosse, des bonbons, et de quoi faire les soins de ses sabots.
Je donnais des brosses a Dylan et lui expliquais comme faire, on se mit à brosser ma jument qui comme mon père m'avais montré devenais jaune marron. Après 1 heure à avoir utilisé une éponge mouiller, des brosses, la pierre ponce, ma jument avait récupérer son pelage gris. Je sentis une petite tape sur mon épaule, en me retournant je vis Mathieu, le propriétaire du club. Il a les cheveux tout gris ainsi qu'une barbe naissante de la même couleur et un nez très droit, ses 50 ans son très marques sur ses traits, et ses lunettes lui grossis encore plus les yeux que a l'époque où je suis partit.
-Emma Drou, comme tu as changé. Me dit-il en me prenant dans ses bras.
-Mathieu, toi aussi tu as changé. Je te présente Dylan, lui dis-je quand l'intéresser s'approcha.
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L'amour avec un grand C
RomanceEmma a perdu son frère et sa mère il y a deux ans. Depuis elle est entré dans une phase gotique interminable jusqu'à ce qu'il commence a l'embêter. Lui c'est Dylan. Et ça c'est leur histoire. L'amour avec un grand C comme deux beau cliché.