Chapitre 4

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Il resta paralysé de stupéfaction et de terreur pendant quelques instants.
"C'est impossible..." gémit-il. Il était complètement en panique, la confiance en soi qu'il avait gagné quelques instants auparavantvenait de s'évaporer comme neige au soleil. Il se rapprocha des coussins, qu'il remit fébrilement en place., et c'est quand il les arrangea de manière convenable qu'il sentit deux mains glaciales glisser le long de sa nuque et commencer à lui serrer la gorge et le souffle rauque sur sa gorge.
Son corps entier se raidit à ce contact, il se sentit tomber en avant, la bouche ouverte en un hurlement silencieux, lesyeux à la limite de jaillir en-dehors de ses orbites.
il fixa la chose qui se dressa de derrière le sofa, une forme noire, indistincte, qui était de taille humaine. "Non..." murmura-t'il, les yeux fixés sur la "chose".
Il ferma les yeux, sentant sa mort arriver. Et il entendit un rire cristallin éclater littéralement dans la pièce. Il rouvrit les yeux, choqués. Devant lui, sa cousine disparue se tordait de rire dans le sofa, le fixant de deux yeux rieurs, affublée d'un grand sourire hilare sur le visage.
Elle réussit à grand peine à articuler, entre deux éclats de rire :
"Si vous aviez vu votre expression... " puis elle repartit d'un grand rire.
Il mit du temps à voir le ridicule de la scène qu'il lui avait offert à ses dépens. Furieux et dégouté, il lui lança un regard si noir qu'elle se sentit quelques peu coupable. Elle s'étendit lascivement sur le canapé.
"Ce n'était qu'une petite blague..Tu m'en veux ?" minauda-t'elle.
Il tenta de garder une expression fermée, mais il ne put résister au charme de sa chère cousine, qui l'enlaça dans le dos. Il sentait sa poitrine appuyer contre son dos. Elle sussurra à son oreille : "Que puis-je faire pou me faire pardonner?" Sur le moment, il avait plein d'idés en tete, et elle sembla en percevoir une partie, car sa main emprunta une destination plus ou moins inattendue.
"Oh..." dit-elle. Elle lui mordilla l'oreille et lui chuchota :
"Monsieur...pourquoi dégainer votre arme avant la joute?"
iL ne répondit pas, la bouche entrouverte, la respiration haletante, il se concentrait sur toutes les sensations qui affluait à lui;
"Ou peut etre...peut etre qu'il lui faut un fourreau, à cette arme, qu'en penses-tu, hmm? lui dit-elle, tout en continuant son mouvement habile et sur de lui.
Il tatonna en arriere avec sa main, et elle se sureleva pour placer son sein dans le creux de sa main. Il se retourna, et commença à délasser le corset de la jeune femme. Quelle expérince nouvelle pour lui, il avait du mal à se persuader que cette aventure idyllique était bien réelle.
Il enleva le lacet qui fermait le décolleté, et la courbe blache et délicate de ses seins apparut.
Il les saisit et les fit glisser horsds du col de la jeune femm' dont la respiration commençait à s'accélerer et dont le rouge commençait à naitre sur ses joues.
Il les caressa doucement, puis passa lentement sa langue sur les mamelons durcis de sa compagne. Elle gémissait doucement à présent., ce qui renfoça son excitation. Il commença à l'embrasser dans le cou, mais elle le repoussa doucement, une dorle de lueur dans les yeux.
"Allonss en haut...nous y serons mieux installés que sur le sol" dit-elle en lui adressant un sourire lubrique. Il la prit dans ses bras et commença à gravir les marches. "Au fait, pourquoi était-tu si paniqué en arrivant?" lui demanda-t'elle. J'ai entendu des bruits étranges dans la pièce fermée à clé au fond du couloir, quelle est cette pièce? "
Ell sembla songeuse un court instant, puis elle r"épondit : "C'est un vieux local que personne n'utilise jamais, tu as du imaginer ces bruits."
"Surement" pensa-t'il. Quelque chose clochait pourtant, mais pour le moment, il n'en avait cure.
Il suivait les pulsiosn charnelles de son corps, et cela lui convenait à merveille actuellement.
Arrivés à l''étage supérieur, il bifurqua vers la chambre de sa compagne, après avoir jeté un bref coup d'oeiul àla porte verrouillée. Il referma la porte derrière lui, puis il posa délicatement la jeune femme sur le gigantesque lit. Elle se leva, éteignit quelques bougies de manière à ne laisser qu'une lumière tamisée dans la pièce et enlaça son compagnon et lui dit ses deux mots, un sourire flottant sur ses lèvres :
"Baise-moi."
Il lui dénoua le lacet dosal, tandis qu'elle déboutonnait son veston lentement et lascivement.
Il fit tomber la robe de ses épaules au moment où elle lui enlevait sa ceinture.
C'est debout, en tenue d'Eve et d'Adam qu'ils se trouvaient. Il la plaqua contre l mur en la caressant et en la mordant dans le cou, elle griffait son dos ce qui fit perler des gouttes de sang sur ses épaules, qu'elle lécha avidement. Il la souleva, la porta jusqu'au lit, s'allongea sur elle. Il ferlma les yeux, se concentrant sur ses sensations, et il s'enfonça en elle, dur et rigide.
Il fit de lents va-et-vient, puis il accelera le rythme. Elle gémissait de plus en plus fort, jusqu'à presque en crier au final, puis ils explsèrent d'un orgasme surpuissant simultanément. Haletants et luisants de transpiration, ils recouvirent peu à peu leurs moyens. Elle lui sourit, et elle lui dit de s'adosser au fond du lit, ce qu'il fit sans discuter. Une fois adossé au mur, elle souffla la dernière bougie de la pièce, ce qui plongea la pièce dans le noir.
Il l'entendit s'approcher de lui, puis elle saisit son membre, rien que ce contact lui redonna sa rigidité précedente. Et là, elle se mit à le sucer précautionnesement et vigoureusement à la fois.
Il ressentit une sensation indescriptible, c'était si bon, il n en pouvait plus... Une veine battait à son front, son corps entier se raidit, puis il éjacula en un rale de plaisir surpuissant et son corps se relacha entièrement.
Il se redressa un peu, et au moment où il allait remercier sa donneuse de plaisir, il sentit deux mains plaquer ses poignets contre le mur, et deux liens metalliques se déployer pour le menotter au mur. Une lumière se ralluma, et Morgane apparue, dans toute sa nudité. Une expression étrange sur le visage.
"Alors ma jolie, un autre de tes petits jeux? Si il fait autant du bien que le précedent, je serais ravi d'y jouer avec toi." l'apostropha t'il.
Elle ne répondit pas, et tendit la main vers le mur et baissa une poignée qui était un candélabre fixé au mur. Toute la partie du mur, le lit compris, se mit à pivoter.
"Eh! Eh, qu'est ce qui se passe?" hurla-t'il en vain.
Il se trouvait dans une autre pièce à présent.
"La pièce du fond..." devina-t'il. Il ne savait pas s'il devait en etre rassuré ou non.
Ses liens étaient reliés à une barre horizontale escamotée dans la paroi du lit, et cette barre se mit à s'élever, ce qui fait qu'il était en position de croix à 30 cm du sol. Des flambeaux s'allumèrent soudain dans la pièce. Momentanément, il ne distingua rien, puis après que ses yeux se soit accoutumés à la soudaine clarté, il découvrit l'intérieur de la pièce. Et il hurla. La pièce était très grande, et partout, des cadavres, ligoté dans des positions semblable à la sienne ou tout à fait différente, comme par exemple la tete à l'envers.
Le sol était souillé de sang et d'ossements, les murs et le plafond aussi. Contre un mur, un ratelier où était disposé s de nombreux outils plus menaçants les uns que les autres. Il entendit un gémissement à sa droite. Un gémissement enfantin, qu'il avait déja entendu. Il tourna la tete dans la direction du bruit, et ce qu'il vit l'épouvanta. Un enfant de 5 ou 6 ans était suspendu au mur par des pointes lui transperçant les mains et les pieds gisiait là, la tete ballotant faiblement.
Il l'interpella doucement: "Petit? Petit,tu m'entends?" L'enfant redressa brusquement la tete en criant, et il se mit à hurler aussi. L'enfant n'avait plus que deux orbites sanguinolentes en guise d'yeux, et des mouches grouillait par milliers à l'intérieur, et quand il cria, il en sortit aussi par sa bouche en un flot noir et luisant, et quand le cri s'teignit enfin, la tete retomba, sur la poitrine de l'enfant, puis se detacha avec un craquement et tomba sur le sol où elle éclata comme un fruit trop mur.
Il hurla, hurla, hurla, sans pouvoir s'arreter.

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